La Vengeance Est Elle Juste

se fonde, Une calamité moins haute et moins profonde, Un coup moins lamentable et moins infortuné Qu'un innocent, - un seul innocent condamné, - Dont le sang, ruisselant sous un infâme glaive, Fume entre les pavés de la place de Grève, Qu'un juste assassiné dans la forêt des lois, Et dont l'âme a le droit d'aller dire à Dieu : Vois ! Victor HUGO   (1802-1885) Bêtise de la guerre Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille, Guerre, ô guerre occupée

longtemps été interchangeable. Distinction = code pénal 1810. Quel peuvent ê les différentes formes de réponses au phénomène criminel : X4 ; - la vengeance privé illimitée : une vengeance mise en œuvre par la victime s’exprimant sans fin et génératrice de violence réciproque enchaîné dans un cycle sans fin. - La vengeance privée canalisée, réglementée : Privée car c’est la victime qui l’exerce et réglementée car elle s’exerce à l’intérieure de limite (la norme = inscrite dans

du Commandeur à dîner avec eux le soir même. La statue répond d’un signe de tête. Puis voilà que la statue les invite, Dom Juan et son fidèle Sganarelle, à dîner le lendemain. A ce repas, Dom Juan meurt, brûlé par un feu invisible (surement une vengeance divine). Tout le monde se réjouit de cette mort, sauf Sganarelle qui … n’a jamais été payé pour son rôle de valet dévoué.  Portrait de Dom Juan Tenerio : Dom Juan Tenerio est le fils de Dom Louis Tenerio. Il est le descendant d’une très noble

cependant, au fil du temps, cette méthode a évolué. En effet, certaines civilisations l’ont abolie alors que d’autres l’ont renforcée. Dès lors, une question s’est posée, est-ce que rétablir la peine de mort permettrait de vivre dans une société plus juste ? Ce débat ne perdant pas de son actualité, je vais tenter, à l’aide de cette présente dissertation, de prendre position par rapport à ce sujet. Premièrement, j’aborderai un argument en faveur de la réhabilitation de la peine de mort, cette dernière

l’amitié est détruite. Dans le premier récit, « Inconnu à cette adresse », ce n’était plus une vraie amitié, Martin avait abandonné son ami, il avait refusé d’aider la sœur de Max, Giselle. Voici un passage qui démontre qu’il ne voulait rien perdre juste pour aider Max, « Je ne veux plus rien avoir à faire avec les Juifs, mis à part les virements bancaires et leurs reçus ». Tandis que dans l’autre livre, il avait une vraie amitié, ils étaient prêts a mourir l’un pour l’autre, un passage dans le livre

Amérique, disparaissez. On retrouve le même rythme ternaire que précédemment, qui traduit l'emphase du discours. Ajoutant que le narrateur n’a pas cessé d’utiliser des mots et des expressions qui affirme son besoin de révolte, de vengeance. la désigne la vengeance, évoquée juste avant par la première voix, et toute apparaît comme une allusion aux tout répétés plusieurs fois par la première voix : on a le même besoin de totalité, de tout embrasser. On a donc bien un dialogue, puisqu'il reprend des éléments

disculper Cinna en affirmant à Auguste qu'elle en est « la cause, et le salaire » (vers 1566), autrement dit que Cinna a comploter contre lui parce qu'il a juré à Émilie de venger son père afin de la posséder :« Qu'il ne m'eût de mon père assuré la vengeance, / Je la lui fis jurer [...] » (vers 1578-1580). Là commence un débat entre les deux amants, Cinna tente de disculper Émilie en se remettant la totalité du complot sur ses épaules : « J'en suis le seul auteur, elle n'est que complice. » (vers 1638)

mais aussi des sentiments de mépris. Quoi qu’il en soit on ne reste pas indifférent aux phénomènes criminels. L’individu va toujours réagir. Les réactions individuelles face au crime peuvent être fort divers, on peut ressentir le besoin de vengeance, la vengeance peut conduire l’individu à faire n’importe quoi. On peut ressentir le besoin de justice. Réaction de compassion. Réaction de protection. Il nous faut un bon juge, il ne doit pas être complaisant, intelligent. Chapitre 1 : La peur inspirée

comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant une gifle (un « soufflet » dans le langage de l'époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour et le cache au roi, à qui elle demande la tête de Rodrigue. Mais

pays, vient tout juste de mourir et que son frère, Claudius, a donc pris possession du trône. De plus, en l'espace de deux mois seulement, il épousa la reine veuve. Le spectre du père d'Hamlet apparaît alors une nuit, devant son fils, et lui révèle la choquante vérité; il a été tué par Claudius. Évidemment, la mission du jeune homme est de venger son père. Pourtant, ce dernier hésite longuement à le faire, se questionnant sur de nombreux sujets tels que l'honneur, la vengeance, etc. Il décide alors