La Vengeance Est Elle Juste

Thésée pour avouer son amour à son bien-aimé. Phèdre a conscience du caractère criminel de son acte ; elle confie : « J’ai conçu pour mon crime une juste terreur » v.307. Ce terme de « crime » renvoie à l’idée que son amour est un amour coupable et que sa révélation la fait souffrir ; le fait que la terreur qu’elle ressent soit qualifiée par l’adjectif « juste » oppose au caractère impie et illégal de son amour la justice de son châtiment moral. Or, cette « terreur » dont elle parle, ce n’est pas seulement

révèle à Don César, qu'il reconnaît comme Zafari, un ancien ami. Don Salluste ayant tout entendu, fait enlever Don César, en le vendant à des corsaires d'Afrique, puis fait passer Ruy Blas pour celui-ci. Après l'avoir présenté à la cour, il lui demande juste de séduire la reine, après lui avoir fait écrire une invitation pour celle-ci et une lettre dans laquelle Ruy Blas reconnait être son valet. Puis, il se retire. Acte II La jeune femme du roi Charles II s'ennuie, loin de son Allemagne natale. Le

Suffit-il d'obéir aux lois pour être juste ?I- Il faut et il suffit d'obéir aux lois pour être justeA- Lien entre justice, droit positif et loi civileJUSTICE = ordre établi, règle, frontière → sens moral = légitime → sens juridique = légalINJUSTICE → suscite indignationDROIT POSITIF → ensemble règles juridiques établies par sô donnée. Définit frontières entre légal et illégal. Lois civiles inscritent dans droit positif, définissent ce qui est permis ou proscrit. Ê juste en tant que citoyen

reconnaître ses défauts. - Cléanthis, esclave d'Euphrosine et maîtresse d'Arlequin. Rancunière, elle profite de son renversement de statut pour assouvir sa vengeance et refuse d'abord de rendre son statut de maître. - Trivelin, gouverneur de l'île. Il s'agit d'un ancien esclave, qui a supprimé les maîtres à son arrivée sur l'île par désir de vengeance. Dans la pièce il est compatissant envers les maîtres durant la passation de pouvoirs. Résumé par scène : Scène 1 : Arlequin est le valet d'Iphicrate

reconnaître ses défauts. Cléanthis : Esclave d'Euphrosine et maîtresse d'Arlequin. Rancunière, elle profite de son renversement de statut pour assouvir sa vengeance et refuse d'abord de rendre son statut de maître. Trivelin : Gouverneur de l'île. Il s'agit d'un ancien esclave, qui a supprimé les maîtres à son arrivée sur l'île par désir de vengeance. Dans la pièce il est compatissant envers les maîtres durant la passation de pouvoirs RESUMEE Scène 1 Le général de l’Athènes

du meurtre de leur père et dont la culpabilité n'avait soi-disant pas été prouvée par la justice. Elle lui fait bien comprendre qu'elle veut qu'il les venge, en tant que nouveau chef de la famille, et ce malgré ses réticences envers la vendetta (vengeance corse). Le lendemain, Colomba et Orso repartent pour leur village natal, Pietranera ; Lydia laisse à Orso une bague égyptienne, et tous deux espèrent se revoir bientôt. Arrivés au village , tous acclament Orso. Encouragés par sa sœur et les "Rebbianistes"

adversaire de corps à corps comme son meilleur ami, le fiancé de sa soeur Camille) ; v. 64- 67, après la déclaration solennelle d’Horace, les trois verbes en modalité durative présentent un tableau, une vignette pathétique de la victime sacrificielle, juste avant le coup final qui assure la victoire de Rome. 3. Orchestrer les émotions (questions 4, 5) Mise à part cette image touchante d’un guerrier essayant encore de combattre, au bord de l’agonie, l’ensemble du récit valorise le vainqueur, sans se

donc relativiste de la justice ne risque-t-elle pas d’instaurer le règne de la vengeance, de la violence et donc l’injustice en lieu et place de la justice ? Le droit peut-il alors constituer un fondement plus objectif et plus légitime de la justice ? Si par droit on entend d’abord le droit positif, institué par les hommes dans un Etat particulier, alors on peut s’interroger : une loi positive est-elle toujours juste ? La justice légale (conforme au droit positif, à la loi positive) est-elle toujours

qualifiée de « crime capital ». La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est pas réalisé par une institution reconnue, on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. A) Histoire La peine de mort est l'une des premières sanctions pénales. Appliquée, au moins depuis l'Antiquité (et peut-être même avant), elle est présente dans les textes juridiques les plus anciens comme dans le code d'Hammourabi

sociales, c'est-à-dire il ne faut pas qu'un homme noble aime une jeune fille du peuple ou d'une classe inférieure de la sienne et ainsi de suite… III- la vengeance dans la société : La noblesse du temps attache tant d'importance aux affaires d'honneur, certains seigneurs croient avoir le droit de se faire justice eux-mêmes. La vengeance repose avant tout sur un principe d’honneur. On ne peut laisser une action impunie si elle salit l’honneur d’une famille.   Le duel devient un véritable fléau :