La Verité Desirable

sienne les propositions freudiennes. Le conflit amour/haine est inné. La violence résulte de l'envi, auquel va s'ajouter jalousie et avidité. L'envie est un sentiment de colère qu'éprouve le sujet lorqu'il craint qu'un autre sujet ne possède qch de désirable et en jouisse. Del'issu de ce conflit dépendent son devenir et sa personnalité. (capacité à tolérer le négatif et à contenir sa destructivité) WINICOTT Il est plus optimiste. La violence serait un appel vers autrui. L'environnement est très

Introduction L'objet du texte est de déterminer la valeur de la vérité en matière morale : est-ce un devoir, càd aussi une vertu, de dire la vérité ? Et ce devoir est-il absolu, càd n'admettant aucune exception, ou bien au contraire doit-il dans certaines circonstances, et lesquelles, être abandonné ? Le problème auquel s'attache le texte est donc d'examiner le statut de la vérité en matière morale : le mensonge est-il toujours immoral et la vérité est-elle toujours morale ? La thèse défendue par Mill

beau et du bien et l’amour ( puisque ces valeurs ne valent qu’à proportion de l’amour que nous leur portons > Cours sur le devoir ) qui sont les quatre formes fondamentales de l’intersubjectivité ; ces valeurs présentent à la fois le caractère du désirable, du délectable – valeur subjective – et le caractère de l’universel, qui mérite d’être désiré – valeur objective. Avènement de la valeur, donc, et de l’histoire : analyse de l’exemple de KOJEVE du « soldat au drapeau » ( passage de l’être au

à une époque, est arbitraire et donc contraignant. L’universel est au contraire ce que chacun peut retrouver en soi-même, et donc le rend libre ; il est, comme le dit Pascal, « le consentement de vous à vousmême ». Bref, une valeur, tout comme une vérité scientifique, peut être universelle sans faire pour autant l’accord unanime des hommes. Je pense qu’il est pourtant une analogie bien plus pertinente que celle de la science, c’est celle du langage.(…) Les linguistes se préoccupent de chercher, à

La passion dont il est question ici est celle d' une souffrance, une perte de la liberté et de la paix intérieure. Pierre Marbeuf y ajoute un style baroque en nous montrant que la passion est signe d’élection, elle est dans une certaine mesure désirable, elle permet une vie aventureuse loin des banalités de l'amour. Ce qui est marquant c'est sa façon de jouer avec les mots, leur sens et les métaphores tout en gardant une mélodie et en restant très sincère. Et la mer et l'amour Et la

écrire ses 1è œuvres politiques et entretient une brillante correspondance avec Frédéric II de Prusse → invité à sa cour 2 ans pour conseiller sur la manière de conduire un état Fin de sa vie menacée par le gouvernement de Louis XV (critique) plus désirable à la cour ou à Paris → exile en Suisse à Ferney à côté du pays de Jex (frontière) → Les délices de Ferney → malice politicienne de Voltaire quand il y habite : il joue de cette frontière + mets en place une manufacture de bas de soie → prospérité

 Vénus est ainsi dépeinte, dans une innocente nudité et pulpeuse. On soulignera le caractère érotique apporté à la femme s’inspirant des canons antiques. Ici, la morphologie de Vénus délivre une impression de santé et de fraîcheur, ce qui la rend désirable. Dans cette composition, Vénus elle-même incarne ce mariage entre amour charnel et spirituel. Elle apparaît comme une divinité prude, tout en inspirant une certaine sensualité. Et c’est une révolution dans l’art, la mise en scène de la femme dans

dépouillent de leur nature d’Homme pour se transformer en « bêtes humaines », animalisées, grossières et dégoutantes. La comparaison de Gervaise « gloutonne comme une chatte » ébauche sur l’animosité, son appétit convertit la femme ravissante et plutôt désirable en une femelle « énorme ». Les comportements à table et bestiaux des convives sont révélés par les verbes et locutions verbales : « s’enlever un bout d’aile de la bouche », « abêti de tant bâfrer », « avalait tout, la tête basse », « grattaient des

a) Mythes fondateurs---------------------------------p b) Le vampire dans l’histoire--------------------------p c) Le vampire dans la littérature---------------------p II/ Un être fascinant et sensuel---------------------p a) Une monstruosité désirable------------------------p b) La morte amoureuse--------------------------------p c) Le vampire d’Edvard Munch------------------------p III/ Un monstre infiltré parmi les humains---------p a) Une apparence humaine-----------------------------p

en lui appliquant la formule pessimiste de Hobbes : “Ne vous êtes-vous pas l’un à l’autre des Loups?” Mais dans l’usage qu’ils en font, l’adage “l’homme est un loup pour l’homme” n’est plus un constat négatif : ils l’érigent en programme, en fin désirable : “Tout bien considéré, je te soutiens en somme/ Que scélérat pour scélérat,/ Il vaut mieux être un Loup qu’un Homme.” Ils ne veulent pas échapper à l’homme pour devenir véritablement loups, mais singer le plus efficacement possible l’homme prédateur