La Veuve Vauquer

impliquant un laisser-aller. On note de plus une allitération en « s » a la ligne 6 : « Elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées » faisant penser au bruit des pantoufles frottant le sol, ce qui montre une certaine nonchalance de la part de Mme Vauquer, Balzac renforce cette description péjorative par des comparaisons d'animaux dévalorisantes : « nez à bec de perroquet » (l.7) c'est-a-dire un nez pointu, faisant penser a une sorcière qui un personnage malsain, aigrie ; « comme un rat d'église »

de ce roman. Peu avant icelui, on y pouvait découvrir la situation géographique de la pension Vauquer ; il s’agit là d’une visite guidée, extrêmement détaillée, du rez-de-chaussée. Cette description porte en elle un réalisme inouï, provoquant une forte aversion par la stimulation de nos sens. Par là nous pouvons découvrir quelques traits des résidents du lieu, et nous faire une première image de Mme Vauquer. L’on comprend par cette description que de Balzac puisse être réduit à son seul attribut

COMEDIE HUMAINE De 1829 à 1850 Balzac aura donc écrit environ 90 romans et nouvelles, 30 contes et 5 pièces de théâtre en trouvant encore le temps de voyager et de faire fortune. En 1850 finalement riche et célèbre il peut enfin épouser Madame HANSKA, veuve mais sa santé est si mauvaise qu’il mourra en aout 1850. Résumé : C’est Balzac lui-même qui a résumé en en une seule phrase ce roman et la destinée de son personnage principal, le Père Goriot : « Un brave homme- pension bourgeoise-600 francs

Taillefer, pour en avoir une partie de sa fortune. Sa tatouage le trahit et il est identifié. Il finit par se faire arrêter par la police. Madame Vauquer- Elle est chargée de la Maison Vauquer, pension bourgeoise des deux sexes et autres.  Mademoiselle Michonneau- une vieille fille nommée. Bianchon- l'étudiant en médicine, un ami de Rastigniac.  Madame Couture- veuve d'un commissaire ordonnateur de la République française. Victorine Taillefer- une jeune femme qui habite avec Madame Couture. Christophe-

Balzac, le Père Goriot Nous sommes ici dans les premières pages du roman. La pension Vauquer et ses pensionnaires viennent d’être évoqués. La description a été faite selon le critère de la fortune, description ordonnée selon la hiérarchie sociale. L’analyse se focalise ensuite sur les personnages .Cet extrait présente le portrait de
Vautrin. I- Un portrait réaliste A) Balzac est soucieux du moindre détail Description minutieuse : phrase longues, énumération. « un de ces gens dont le

Le père Goriot, vieillard de soixante-neuf ans environ, s'était retiré chez madame Vauquer, en 1813, après avoir quitté les affaires. Il y avaitd'abord pris l'appartement occupé par madame Couture, et donnait alors douze cents francs de pension, en homme pour qui cinq louis de plus ou de moins étaient une bagatelle. Madame Vauquer avaitrafraîchi les trois chambres de cet appartement moyennant une indemnité préalable qui paya, dit-on, la valeur d'un méchant ameublement composé de rideaux en calicot

Le Père Goriot Tout commence avec la description de la Maison Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents y vont régulièrement, dont Eugène de Rastignac qui est un jeune étudiant en droit, un homme nommé Vautrin et un ancien fabriquant de vermicelles retraité surnommé le Père Goriot. Rastignac est issu d'une famille provinciale modeste. Il délaisse rapidement ses études et tente de percer dans la haute société

appartements de Madame Vauquer.Madame Vauquer est-une veuve qui tient une pension dans sa maison. Elle est très intéressée à en en tirer profit.Vautrin est un homme de la quarantaine habitant dans la pension de la maison de Vauquer. Il est d’une présence à la fois mystérieuse et sinistre ; ce n’est que plus tard que sera révélé qu’il est un criminel notoire vivant sous un nom d’emprunt.Madame Couture est une veuve qui vit dans la pension de la maison de Vauquer avec Victorine Taillefer. Elle a une

Humaine. Il est le précurseur de la notion de personnages récurrents dans chacun de ses romans. Il meurt le 18 Août 1850, laissant derrière lui quelques romans inachevés qui seront tout de même publiés en édition posthumes. I. OU ? A la pension Vauquer dans la chambre de différents personnages (Eugene, au début, réflexion sur lui-meme et pour lui-meme), dans la chambre du père goriot ( discussions avec ses filles, agonie de celui-ci, fin du roman), dans la salle à manger (différentes discussions

Cette pièce est dans tout son lustre au moment où, vers sept heures du matin, le chat de Mme Vauquer précède sa maîtresse, saute sur les buffets, y flaire le lait que contiennent plusieurs jattes couvertes d'assiettes, et fait entendre son rourou matinal. Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis, elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet