La Ville Objet De Fascination

proposs Justifiez votre rponse. b. Quels sentiments les personnages prouvent-ils en regardant ce qui les entoure dans les diffrents textes du corpus 7. Comment, dans les trois textes, lauteur montre-t-il les ractions des personnages qui dcouvrent la ville Vous vous appuierez sur ltude de procds prcis. 10. Que rvlent ces descriptions sur les motions ou les penses du ou des personnages 3. Quelle vision de la relation amoureuse chacun de ces textes propose-t-il 4. Quels moyens les auteurs ont-ils choisis

aux poètes antiques et italiens : odes, sonnets ; l’imitation compte plus que l’originalité ; travail de la langue pour l’éloigner de son usage courant. Naissance de la poésie baroque La poésie baroque - thèmes : violence, inconstance, illusion, fascination pour la mort, métamorphoses ⇒reflètent l’incertitude et le pessimisme sur la condition humaine CHASSIGNET, SPONDE, SAINT-AMANT La poésie précieuse - thèmes : amour platonique, refus du réel - formes : raffinement, travail du langage La poésie classique

- « l'Européen le + moderne c'est vous Pape Pie X », Zone -> est contre la modernité, c'est par allusion à son geste envers l'aviateur Beaumont que le poète le qualifie « d'Européen le + moderne » car aviateur =modernité description de la ville : Vendémiaire + ZoneModernité 2...Amour Malheureux- « L'amour s'en va comme cette eau courante », LPM -> Marie Laurencin - « Avec celle que j'ai perdue/ L'année dernière en Allemagne », La Chanson du Mal-Aimé -> Annie Playden - « Tu as souffert

habitudes et des mentalités européennes, d'autant plus qu'ils vivent en vase clos dans le champ restreint des membres de la colonie, de leurs relations oscillant entre rivalités et mesquineries dérisoires. Mais l'Afrique exerce sur eux une telle fascination qu'ils sont pris à leur propre piège, prisonniers de leurs espoirs, cuits et recuits dans la torpeur d'une chaleur émolliente Présentation des personnages Maou : Maria Luisa, d'origine italienne, la mère de famille du roman qui

levant, 1872. Instant fugace, emotion, lumière, plongé dans une brume unifiant des eleents de la composition. Manet s’interesse beacoup pour tout qui se dissu (brouillard, fumée...) Les couleurs agissent les uns sur les autres et ne sont pas dans les objets. La lumière a un pouvoir absolut. La melange de couleurs procede d’une melange optique, pas materielle. C’est un regard “nu” vers la suggestion de la realité. “prise de conscience de l’homme et son presence dans le temps”. Ex: Monet, La Gare

comme dans la définition qu'en donne Littré: "Certaines formes de langage qui donnent au discours plus de grâce et de vivacité, d'éclat et d'énergie" C1.1: la comparaison Définition: "Elle consiste à rapprocher un objet d'un objet étrange ou de lui-même, pour en éclaircir, en renforcer ou en relever l'idée par les rapports de convenance ou de disconvenance:ou, si l'on veut, de ressemblance ou de différence". Par le rapprochement la comparaison utilise les caractéristiques

"Le mauvais vitrier" déçoit car il ne sait transfigurer la laideur du quotidien par son art ; c'est celui qui a besoin de la solitude et de la quiétude du soir pour pouvoir se retrouver face à lui-même loin des autres hommes et loin du tumulte de la ville(" A une heure du matin", " Le crépuscule du soir" , " la solitude") ; c'est celui qui " jouit de cet incomparable privilège, qu'il peut à sa guise être lui-même et autrui" sans pour autant se se renier lui-même ( "Les foules") ; c'est celui qui est

des lieux Marguerite Duras trouve en eux un objet de fascination : la magie verbale et la féerie exotique «  en face des terres du barrage il y avait le Siam .Le mot m’enchantait ». Les lieux évoqués à côté de leur réalisme font apparaître la géographie de l’alternance et de l’exil : Paris et Saigon concentrent les personnages et leurs déplacements dans l’espace . Saigon est la ville capitale du roman , fréquentée par tous les protagonistes pour

dépendant du |LE BAROQUE : reflète l’évolution des mentalités et des |- thèmes : violence, inconstance, illusion, | | |pouvoir (mécénat) et doit se soumettre |mœurs suite aux guerres de religion ; la créativité, |fascination pour la mort, métamorphoses | | |à la censure. |l’originalité, les excès deviennent une échappatoire aux |( reflètent l’incertitude et le pessimisme sur la | | |Il fréquente

mirent de plus en plus à être composées pour elles même, sans pour autant être circonstanciées par un décès. La Mort, peu à peu, devint objet de satisfaction esthétique, avec son décorum de pierres tombales, de ruines et d’ossements. On peut peut-être aussi raccorder ceci à une époque lors de laquelle, en Angleterre, le cimetière fût rejeté hors des murs de la ville (on ne parle alors plus de “churchyard” : cimetière d’église, mais de “graveyard”: terrain à tombes). La Mort, ainsi devenue invisible