La Ville Objet De Fascination

qui reste au choix du prof. Exemple pour 2022, c’est la poésie qui est tombée en dissert (mais un extrait de roman en commentaire, sans autre possibilité de choix). Voilà le sujet (je mets Baudelaire en gras) : 2- Dissertation (20 points) Objet d'étude : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle Le candidat traite au choix, compte tenu de l’œuvre et du parcours étudiés durant l’année, l’un des trois sujets suivants : Sujet A Œuvre : Victor Hugo, Les Contemplations, livres I à IV Parcours :

Imprévisibilité 1.7.1 Ambivalence 1.7.2 Ambigüité 2. Transgression du triangle des interdits 2.1 . Pouvoir 2.2 . Religion 2.3 . Sexualité Conclusion Introduction La folie a toujours été une source de fascination par son ambivalence. En effet dans certaines sociétés le fou y est carrément exclu. Par contre dans d’autres le fou y est vénéré. Au moyen-âge, le fou vivait dans la cour du roi. Il avait pour mission de le divertir en faisant toutes sortes de

évidemment liés chez Lorenzo et concourent à construire de lui une identité très incertaine. Lorenzo se donne à voir tantôt comme un libertin dépravé : « Les lits des filles sont encore chauds de ma sueur », « Je suis devenu vicieux, lâche, un objet de honte et d’opprobre » (III, 3), tantôt comme un intellectuel pacifique : « Si l’on vous a dit que je suis un soldat, c’est une erreur ; je suis un pauvre amant de la science » (I, 4), « j’étais un étudiant paisible et je ne m’occupais alors que

sont évidemment liés chez Lorenzo et concourent à construire de lui une identité très incertaine. Lorenzo se donne à voir tantôt comme un libertin dépravé : « Les lits des filles sont encore chauds de ma sueur », « Je suis devenu vicieux, lâche, un objet de honte et d’opprobre » (III, 3), tantôt comme un intellectuel pacifique : « Si l’on vous a dit que je suis un soldat, c’est une erreur ; je suis un pauvre amant de la science » (I, 4), « j’étais un étudiant paisible et je ne m’occupais alors que

les aprioris par point de vu étrangé. Remet les choses à leur place. Parisiens pas aussi polis qu’ils le pensent. Hyperbole = indignation. « On »: foule inconnue. II – Une satire multidirectionnelle A] Sociale Embarras de la ville. Saleté. Bruit et cohue. Idée de précipitation par parataxe et asyndètes. Coté caricaturale. Octosyllabe : lourd, lent. Sagesse orientale/Vitesse citadine. Agression par urbains. Noblesse/ TE. B] Politique Fin du règne de Louis XIV

des différents motifs utilisés à l’époque. Concha n’est pas une bohémienne et pourtant elle semble jouer d’échos textuels qui la renvoient à d’illustres bohémiennes l’ayant précédée dans l’histoire littéraire, notamment Esmeralda et Carmen. La fascination que l’héroïne exerce sur les hommes rayonne d’une aura: le personnage de Concha est nourri d’une constellation de motifs empruntés à l’imaginaire de la gitane fatale. On retrouve plusieurs de signes caractéristiques de la Bohémienne : elle est pauvre

modèles antiques) doivent célébrer les Grands et exalter les valeurs traditionnelles avec clarté, modération, respect des règles. Formes et thèmes : La poésie baroque : Chassignet, Sponde, Saint-Amant - thèmes : violence, inconstance, illusion, fascination pour la mort, métamorphoses reflètent l’incertitude et le pessimisme sur la condition humaine La poésie précieuse - thèmes : amour platonique, refus du réel - formes : raffinement, travail du langage La poésie classique : Boileau, Malherbe

sont évidemment liés chez Lorenzo et concourent à construire de lui une identité très incertaine. Lorenzo se donne à voir tantôt comme un libertin dépravé : « Les lits des filles sont encore chauds de ma sueur », « Je suis devenu vicieux, lâche, un objet de honte et d’opprobre » (III, 3), tantôt comme un intellectuel pacifique : « Si l’on vous a dit que je suis un soldat, c’est une erreur ; je suis un pauvre amant de la science » (I, 4), « j’étais un étudiant paisible et je ne m’occupais alors que

ses masures et ses hameaux isolés, sans lien entre eux. La ville, au contraire, ramasse cette énergie et la convertit en une gerbe de force que l’on peut à tout moment dirigée contre l’adversaire. Sa poésie est une représentation de la guerre entre la « plaine » et la « ville » qui ressemble à une guerre des sexes. La campagne apparaît comme une figure féminine éreintée par la séculaire reproduction que lui inflige le principe mâle : la Ville. C’est dans les villes que naissent et que prospèrent les

nuit, sur la politique, les élections prochaines, la démocratie, la paix et les massacres. Chapitre 12 Les élections se préparent dans un air de fête en ville. Les formations politiques de l’Uprona, au pouvoir depuis trente ans, et de Frodebu, partisane de la démocratie, s’affrontent. Chez Gaby, Prothé porte un grand