La Violence Antithèse

de religion Ù Restriction proche de la concession : “cependant” Antithèse marquée entre 2 champs lexicaux : - “raisonnement”, “douceur”, “modestie” (1) - “force brutale”, “injure” (2) Le narrateur oppose le prosélytisme (=convertir, faire de nouveaux adeptes) (1) au fanatisme (2). Chercher à convaincre l’autre des bienfaits de sa religion n’est pas interdit, si c’est par les mots. Toute forme de violence est bannie. è Arg. 1 : liberté religieuse nécessaire garantit paix

figures d'accumulation , d'opposition(antithèses, oxymores qui traduisent la complexité du monde) ou d'amplification (hyperboles, anaphores, etc.). - esthétique où dominent l’irrégularité, le mouvement, la métamorphose et les contrastes de formes ; cette esthétique repose sur l’imagination, elle utilise volontiers les discours figurés et codés (symboles, allégories, etc.). - esthétique poétique, qui repose sur les mêmes effets et les mêmes procédés : antithèses, images, énigmes et métaphores.

un jour sur vos côtes..." (l.29) : Inverse les situations, l'Occidental dans la situation du Tahitien, et le colonisateur dans la situation du colonisé.  Série de question oratoires soulignant l'hospitalité des Tahitiens à laquelle s'oppose les violences des Occidentaux "Tu es venu :..." (l.36 à 38)  Procédés mis au services de la dénonciation de la colonisation. II. Les méfaits de la colonisation 1. Se fait par la force • Vocabulaire dénonciation :  Morale "brigands" (l.17) "le vol de toute

mains même de ses accusateurs » (l.10-11), métonymie, « exécrable examen » : violence des tortures. -griffé par les « bacchantes » (l.14 à 16), « près de périr sous leurs ongles », métonymie, violence. -Aiguilles enfoncées pour la « seconde fois » (l.54-55) -Brûlé vif sans être étranglé au préalable (l.66 à 69). → Détails sur les souffrances physiques infligées à Grandier qui visent à souligner l'horreur et la violence des supplices subis par Grandier. L'acharnement des accusateurs et des tortionnaires :

verbes « quitter » (l.9-14) * Epreuve matérielle : renoncer à ce confort intensifié par les rythmes (« si bonne, si pure, si radieuse » l.10, « tout…reprendre » l.9). * Epreuve violence physique : par les forçats renforcées par les images concrètes (« coups de bâton », « chaines au pied »). * Epreuve violence symbolique : * Humiliation de l’habit (veste rouge). * Tutoiement des surveillants. * Fouille par les « garde-chiourmes ». * Regard et paroles des étrangers (changement

par les autres animaux : « Manger l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable ! ». Le discours indirect libre met ici en évidence la vitesse avec laquelle ces mauvaises paroles se propagent. III/Un regard ironique sur la Cour, les puissants et la violence du pouvoir A/La flatterie du renard -A travers la réplique du renard, LaFontaine épingle la flagornerie des courtisans. Ce renard maitrise l’art de la rhétorique et parvient donc à travestir les crimes du Roi en objet de louange : l’exclamation

la description d'un soldat qui est mort dans la nature. Sous la forme de ce poème, il veut montrer le contraste entre la vivacité de la nature et l'immobilité de la mort. Donc les thèmes de la nature, de la paix, de la mort, de la guerre et de la violence sont visibles tout au long du poème. Dans cette perspective, on se demande, comment le poète montre-t-il le contraste entre la vie et la mort? Vu sous cet angle, notre commentaire se divise en trois parties, le décor, le personnage et les contrastes

font écho. 1 – lecture référentielle : durée de la marche s’oppose à son arrêt, l’impact de la balle dans le corps – arrêt du mouvement/violence de cet arrêt/corps mis au repos. 2 – lecture métaphorique : le temps imparti à une vie humaine – en l’occurrence ici, celui de la jeune femme, est stoppé. – dimension tragique. Annonce de la mort prochaine. Antithèse vie/mort gouverne le récit. De la ligne 11 à 14 , la narratrice résume l’action. Quel est le rôle de ce résumé ? Donner une crédibilité

1. Feminin vs. masculin La dernière lettre du roman est mis en place par une rethorique de l`antithèse. On a ,parmi autres, l`opposition masculin-feminin. Usbek est un symbole de la toute puissance masculine et les femmes du Harem lui appartiennent. Pour lui, une femme est un objet qui doit obéir. De l`autre coté on a Roxanne, la femme incapable de soumission, mais capable de vangeance, la femme libérée par la mort. Donc, on a ici une revolte du femme qui ne peut pas accomplir son destin et

filé de la justice (un avoué est un conseiller juridique qui ne plaide pas/un notaire établit des actes ou contrats qui ont un caractère officiel)-l.2-3 « Le timbre clair et séducteur de sa voix n’accusait pas la moindre émotion »=phrase négative/ antithèse entre « séducteur » et « pas la moindre émotion »-champ lex du détachement l.1-4 « sang-froid, pas la moindre émotion, nobles, décents, froideur, sécheresse diplomatique »-l.3-4 lexique de la posture « sa figure, son maintien »-polysyndète « et »