La Violence Antithèse

l’Idéal II-Un animal torturé (3 e quatrain) Citation Procédés Interprétation « Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !  Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! » Périphrase méliorative Antithèse Polyphonie ( discours direct avec ponctuation expressive) Antithèse → Oiseau associé à l’Idéal il renvoie au ciel Dépréciatif : l’albatros est passif, faible et maladroit. Il est méprisable → Le poète laisse entendre sa voix et celle des des marins → Opposition Idéal vs Spleen

dans la masse Répétition traduisant l'absurde langage familier = distance avec les lecteurs personnification et hyperbole de « l'Horreur » + comparaison de « puceau de l'Horreur » à la « volupté » = dénonce la violence de la Guerre et insiste sur son abomination puceau/volupté : antithèse = absurde Incarnation de la guerre en une vache Personnification « Comment […] hommes ?» l.1-4 « Dans aucune d'elles […] assassinats ?» l.9-12 « douter » l.2 « sans doute » l.13 • Questions de rhétorique + verbe

pour louanger le lion  qui est tout puissant car le berger se fait un chimérique empire B. L’hypocrisie des animaux puissants La flatterie du renard est applaudie Les animaux puissants  rhétorique similaire  confesser pour mieux se disculper Antithèse : « Les moins pardonnables offenses » / « de petits saints » IV. L’injustice envers les faibles A. Le discours de l’âne Pas réussi à décoder le discours du lion  confessions sans se dédouaner Les faits avoués  sans gravité  herbivore 

Lecture analytique Plan I- D'abord la violence / échec de l'argumentation indirect. II-Après la violence, la ruse !/ la victoire de l'argumentation indirect Déroulement Axe 1 1.1 : Trop violent, trops autoritaire, trops brusque. Procédés Interprétation Champs lexical de la violence + diérèse au vers 7 → montre la violence avec laquelle l'orateur défend son discours. → se met à dos son auditoire, son discours est perçu comme une agression. Antithèse v.10 Tyrannique/République → l'excès

Montrez la rigueur de la structure + analyse autorité publique : I Structure rigoureuse ( Texte divisé en paragraphes : - L. 1 à 10 : 1er Paragraphe : autorité paternelle, légitime - L. 10 à 16 : 2ème Paragraphe : autorité par violence = puissance - L. 17 à 20 : 3ème Paragraphe : étape du raisonnement = transition entre 2 autorités vers le consentement ( Emploi conditionnel, présent de V.G ( = postulat) permet énoncer principes/lois/définitions ( raisonnement déductif

terre; enfin de ce que j'ai profané la vertu en souffrant qu'on appelât de ce nom ma soumission à tes fantaisies.       Tu étais étonné de ne point trouver en moi les transports de l'amour: si tu m'avais bien connue, tu y aurais trouvé toute la violence de la haine.       Mais tu as eu longtemps l'avantage de croire qu'un coeur comme le mien t'était soumis. Nous étions tous deux heureux; tu me croyais trompée, et je te trompais.       Ce langage, sans doute, te paraît nouveau. Serait-il possible

au plus fort. Ligne 11 à 12, « Grand » , « Fort », « armés » à la différence d’un enfant. 3- Critique de l’injustice sociale : * Antithèse => « Hommes plein et gorgés » (Ligne 17) A la différence des « Mendiants [...] pauvreté » Ligne 18 à 19. * Reprise du même mot « Gorgé » Ligne 17 e t20 =>Pour eux l’injustice justifie les violences. UN HUMANISTE : * Définition au XVIe siècle : Une humaniste est un érudit (savant) qui est tourné vers les lettres grecques et latines

d’adj - famille modeste, n’avait rien à se reprocher, croyante - la composition du logis est décrit - 2 lieux construit en antithèse ( nuit ≠ logis ) - la rue de la révolution est évoqué c) PERSONNAGES - l’enfant mort  innocent (émouvoi le lecteur ) * bcp de détaille réaliste, descrip° de la mort * il cherche à émouvoir avec les jeux de l’enfants * antithèse ( mort ≠ vie) * il présente un enfant modèle avec plein d’avenir - la grand-mère : chagrin, elle considère cme s’il était vivant

a été répudiée par Jason qui s'est remarié avec Créüse. Dans votre commentaire, n'oubliez pas d'étudier le style de Corneille, les antithèses, les hyperboles… I- La colère de Médée A- Un personnage furieux • Médée est dans une colère noire. Cf. « mon courroux ». • Montrez que sa colère se note aussi dans toutes les exclamations, la violence des ses propos… Cf. les mots renvoyant au meurtre, à la mort, la vengeance… • « Jason me répudie! et qui l'aurait pu croire ? » > rappel

mots de sens contradictoires pour leur donner plus de force expressive (ex. Une douce violence; hâte-toi lentement). — On dit aussi OXYMORE n. m. Le sens de douce contredit celui de violence. On renforce ainsi l’idée du calme, de la recherche d’une paix 2. Antithèse Opposition de deux pensées, de deux expressions que l'on rapproche dans le discours pour en faire mieux ressortir le contraste. « Il y a antithèse lorsqu'on choisit les tours qui rendent l'opposition plus sensible » (Condillac).