La Violence Au Théâtre

Olympe de Gouges était plus qu’une féministe, c’était une humaniste : elle a un regard sur l’humanité qui était extrêmement généreux et tt sa vie, elle a militée pour de nobles causes qui sont tjs d’actualités et qui fait qu’on se souvient d’elle : la question des noirs est celle qui l’a préoccupée le plus tôt, elle fait allusion dans un certain nombre de ses textes, puisque c’est une femme de lettre, elle a écrit un grand nombre d’ouvrages, elle a fait allusion à ce racisme et se sexisme qui

Prise d'une fureur froide, elle finit par menacer celui qu'elle appelait « Maître » quelques instants avant. Cette fois, elle parle d'elle à la troisième personne, devenant une menace pour lui (« crains encor d'y trouver Hermione » au vers 31) · La violence de la passion : La passion, d'abord, s'exprime dans une déclaration d'amour très claire, voire impudique (vers 1, 10 ou 13). Hermione s'abaisse et se présente comme capable de tout accepter de la part de celui qu'elle aime, même son infidélité. Elle

elle quelque soixante-dix ouvrages (romans, pièces de théâtre, pamphlets, essais, manifestes, libelles, …). Tout ses écrits témoignent d’un profond humanisme et sont tous empreints des idées nouvelles qui forment le terreau de la Révolution. Le théâtre étant le support privilégié des idées nouvelles, Olympe de Gouges s’essaya à l’art dramatique. Cependant, la censure était vigilante, les pièces étaient souvent jouées sur les scènes de théâtres privés. La pièce qui rendit célèbre Olympe de Gouges

 Vers le théâtre moderne Après la Révolution, dans les premières décennies du XIXe siècle, le théâtre tourne le dos à la dramaturgie classique et à la stricte séparation des genres et des registres. La scène du XXe siècle poursuit encore plus loin la remise en cause des formes théâtrales en rejetant les composantes traditionnelles de l’art dramatique : l’action, le personnage et l’illusion réaliste. A partir de 1820, les romantiques (Hugo, Musset…) élabore la doctrine d’une nouvelle

Introduction : a) La figure du roi= figure traditionnelle dans le théâtre tragique. Les dramaturges de la fin du XIX et du XXè s’en emparent, notamment en reprenant les mythes de l’Antiquité (exemple Cocteau, Giraudoux, Anouilh, Sartre). Avant eux, Alfred Jarry, dramaturge précurseur du théâtre de l’absurde, s’empare de cette figure d’ordinaire noble pour créer un personnage grotesque et tyrannique, Ubu, dans la pièce intitulée Ubu roi parue en 1896. Situation du passage + résumé. b) Pbtiques

l’exposition de la pièce : informer le spectateur sur les personnages, le lieu, le temps et l’intrigue. Aussi de plaire et capter l’attention du public. Théâtre du XVIIIe siècle : lieu de rencontre, convivialité, et non de spectacle. Grand succès de l’Ile des Esclaves en 1725. Où ? Titre & didascalie y répondent : sur l’Ile des Esclaves Théâtre, décor : mer et rochers (éléments hostiles), qlq arbres, maisons  Robinsonnade : lieu coupé de la société, des bases sociales ; homme subit épreuve

physiologiques : Le Lion : son animalité est rendue par des termes comme « quadrupède » (v.15), « museau » (v.20), « griffe, dent » (v.24)… termes qui soulignent un animal de la terre, un animal doté d’une force physique impressionnante et possédant une violence potentielle. Le Moucheron : son animalité se dessine dans les termes explicites comme « insecte » (v.1, v.30)… termes qui soulignent la petite taille (moucheron = petite mouche), la faible constitution. Au XVII° siècle, le mot mouche est un mot

peint partout avec des couleurs qui en font connaître et haïr la difformité. C'est là proprement le dut que tout homme qui travaille pour le public doit se proposer, et c'est ce que les premiers poètes tragiques avaient en vue sur toute chose. Leur théâtre était une école où la vertu n'était pas moins bien enseignée que dans les écoles des philosophes. » « Ce serait peut−être un moyen de réconcilier la tragédie avec quantité de personnes célèbres par leur piété et par leur doctrine, si les auteurs

Sujets 13 à 16 Mourir sur scène Polynésie, septembre 2009 (Séries ES-S) Corpus 1. A. CAMUS, Caligula, acte IV, scène 14, 1944. 2. E. IONESCO, Le roi se meurt, 1962. 3. L. GAUDÉ, Le Tigre bleu de l’Euphrate, 2002. Annexe : E. IONESCO, « Expérience du théâtre », Notes et Contre-Notes, 1966. Texte 1 Albert Camus, Caligula, acte IV, scène 14, 1944 Caligula, empereur romain dément et sanguinaire, est assassiné en 41 après Jésus Christ par une conjuration formée par les chefs de la noblesse et du sénat

Alfred JARRY, Ubu Roi, I, 1 Problématique : En quoi cette scène d’exposition à la fois comique et provocatrice à l’égard du théâtre classique est également porteuse d’une réflexion sérieuse sur le pouvoir ? Axe 1. Une scène d’exposition provocatrice : Une parodie du théâtre classique. 1. Des indications spatio-temporelles confuses. Dans la tragédie classique, l’action se déroule principalement dans un palais et voit s’affronter des rois et des princes partagés entre la raison d’État et la gloire