La Violence Est Elle Utile

jamais vues jusqu’alors : avec la révolution industrielle on assiste à une nouvelle façon de faire la guerre. On se demande alors en quoi cette bataille est un exemple de la brutalisation des sociétés pendant la 1ère guerre mondiale. I. Une violence physique : déroulé de la bataille Depuis l’âge industriel et la révolution des techniques d’armement, on ne se bat plus à cheval ou à l’arme blanche mais bien avec de l’artillerie lourde et des mitrailleuses pouvant tirer jusqu’à 600 balles par

nous avons. En effet certaines choses qui nous paraissent habituelles le sont que notre culture, on est donc amené, en apprenant une autre culture à les remarquer d’avantage. L’entente entre deux peuples de différentes cultures est aussi utile à l’ouverture d’esprit d’un individu ou d’un peuple. En étant exposé à une autre culture et en la comprenant, on réalise que la notre n’est pas la norme pour l’humanité toute entière mais plutôt une habitude que nous avons acquise. Ainsi l’entente

par rapport au directeur, on dit qu’elle est « accroupie près de la table » tandis que l’on sait que le directeur lui est assis sur une chaise qui révèle bien une position sociale hiérarchique. B) La violence du directeur, attitude prépondérante tout au long de l’extrait : a) Violence verbale * Insulte la femme de « boudin », aucun respect pour cette femme qu’il ne considère même pas comme une adulte. * Autorité dans la façon de parler (impératif, phrases exclamatives) qui laisse

» v. 1279 de la ruse première aux « mille cris éclatants » v. 1284 du moment de l’attaque surprise. - le vocabualire de la violence et de la guerre parcourt le texte : « pillage » et « guerre » à la césure et à la rime du vers 1289, dénotant la violence du combat ; les réfernces aux armes : « armés » v. 1286, « leurs alfanges » v. 1297 ; les termes exprimant la violence et la confusion du combat : « Poussons jusques au ciel mille cris éclatants » v. 1284, « se condondent » v. 1286, l’anaphore

Prince Afin de retrouver les bonnes grâces de son protecteur, Machiavel écrit ce traité destiné à Laurent de Médicis. Quelles contraintes, et quelles conséquences cette situation d’énonciation implique-t-elle ? Comment séduire le Prince en lui étant utile ? 1. Une double énonciation On remarque d’abord la prudence du locuteur, qui n’emploie pas le « je » ; et semble s’effacer derrière des tournures impersonnelles : Chacun comprend, On peut combattre, on est obligé, on peut citer. En revanche

vient d'une autre origine que la 10 nature. Qu'on examine bien, et on la fera toujours remonter à l'une de ces deux sources: ou la force et la violence de celui qui s'en est emparé; ou le consentement de ceux qui s'y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre eux et celui à qui ils 15 ont déféré l'autorité. La puissance qui s'acquiert par la violence n'est qu'une usurpation et ne dure qu'autant que la force de celui qui commande l'emporte sur celle de ceux qui obéissent; en sorte que, si ces

ou encore un ordinateur, ou encore ne possède pas le savoir comme un livre pourrait le faire. Il ne permet pas non plus d’assouvir le pouvoir ou encore de produire de l’argent. Enfin même l’art le plus engagé ne permet pas non plus de vaincre la violence et l’injustice.Ainsi, jugée à l’aune du pragmatisme, valeur dominante de la modernité, la gratuité de l’art peut lui être reprochée comme un défaut et remettre en question sa raison d’être : s’il ne sert à rien, l’art a-t-il encore le droit d’être

L’art est bel et bien utile, et il l’est que ce soit pour l’artiste ou pour le spectateur. Pour commencer l’art nous divertit (ou peut nous divertir). En effet quand on interagit avec différents œuvres d’art c’est pour être divertit, car ce divertissement nous procure du plaisir. Regarder son film préféré, écouté un excellent album ou bien admirer un tableau que l’on aime, tout cela nous satisfait. Le plaisir étant un besoin humain, il est donc considéré comme utile. Quand on est artiste, l’art

La violence politique peut-elle être légitime ? De tout temps, le caractère légitime de la violence est apparut comme une préoccupation constante des hommes en charge de politique. Ainsi que ce soit à travers la célèbre citation de Salluste [1] « Quant à vouloir s’imposer à ses concitoyens par la violence, c’est toujours chose odieuse même si l’on se donne pour but de réformer des abus » ou bien que ce soit actuellement à travers l’affiche « par tous les moyens nécessaires » du Collectif Antifasciste

les attache en un lieu quelconque. Il faut qu’ils construisent, hors du système qu’ils exècrent, un espace autonomisé, sur lequel l’Etat sera sans prise – sauf à employer la violence directe, et donc… à révéler sa nature. On objectera que l’impôt ne sert pas qu’aux entreprises néfastes du gouvernement. Une partie est utile, celle qui construit les routes, les écoles, les hôpitaux. Exact, répond Thoreau. C’est pourquoi la grève de l’impôt doit être sélective. Il faut se montrer mauvais administré