La Violence Selon Rousseau

l’époque, il défend une théorie nouvelles des lois, selon laquelle les lois ne devaient plus etre utiliser comme des commandements mais ajustables selon les différentes cultures ( religion ou traditions ) } et Le Contrat social de Rousseau (publié en 1762) constitue un des textes majeurs de la philosophie politique, puisqu’il prône le principe de souveraineté du peuple. Donc Diderot aborde le principe de souveraineté du peuple 10 ans avant Rousseau. Comment par un raisonnement rigoureux et engagé

se donne. On pense au concept de volonté générale chez Rousseau. Chez Kant, comme chez Rousseau, la volonté générale ne peut être injuste car elle ne statue que sur l'universel et être injuste serait se nuire à elle-même. Il ya cependant des différences entre Kant et Rousseau : -Kant construit son idée de souveraineté à partir de l'idée de sa morale (relation loi / liberté) quand chez Rousseau la volonté générale se justifie par son analogie avec l'ordre

c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[1]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme Machiavel, doit user des lois et de la force pour guider mais également pour conserver le pouvoir. Pour Machiavel

pourrons observer comment un homme peut de différente manière accéder au bonheur qui lui est promis. I) Le bonheur selon les philosophes • Rousseau : Les Confessions, écrit entre 1765 et 1770, est l'une des œuvres les plus riches et complexes de Rousseau. Certainement l'œuvre de sa vie, puisqu'il décide de rétablir la vérité sur lui-même en retraçant sa propre histoire. Rousseau se pose de nombreuses questions sur lui-même. Il s'interroge aussi sur ses prises de position et ses conceptions philosophiques

de cet objet. Si l’on repense au FATUM du bon sauvage, on constate qu’au contraire l’homme est nécessairement preneur de risques afin de s’intégrer dans la société il n’assume pas totalement son destin. Il a besoin d’être quelqu’un pour exister. Selon les stoïciens l’homme heureux est celui qui s’abandonne à son destin sans en être affecté. Pour cela, il doit être capable de maîtriser ses passions, comme le plaisir, le déplaisir, la crainte et l’envie afin d’atteindre un état d’apathie qui le laisse

est un paradoxe et un sophisme (raisonnement vicieux), car, comme le dira Rousseau, le soi-disant « droit du plus fort » n’est pas du droit, mais un fait. Or le droit redresse les torts produits par la nature ou le hasard : il est juste d’aider les malades ou les handicapés, il est juste d’aider les pauvres aux dépens des riches, il est juste de défendre les faibles contre la violence des forts. Référence : J-J Rousseau, Du contrat social, 1762. « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être

l’homme fait aussi partie de la nature et qu’il a une nature ? I) Est-ce qu’on ne peut pas définir l’homme par cette capacité à s’arracher à ce qui est naturel en lui : ses instincts, son animalité ? A) La nature de l’homme est manque, privation : selon le mythe de Prométhée raconté par Platon dans le dialogue Protagoras, l’homme a été créé inachevé : contrairement aux animaux qui sont dotés d’instincts, l’homme va devoir se créer lui-même en inventant la culture : le feu volé aux dieux et donné aux

sanctionnées par l'Etat et destinées a faire régner dans les relations sociales l'autorité et la liberté » manière de se conduire en société, recherche compromis entre instinct sécurité et l'organe compromettant pour sa liberté → contrat social par Rousseau. (légitimé existant des Etat) : individus a l'état de nature, jouissent ensemble de libertés, mais précaire. D'ou pousse individus a se rassembler et créer un Etat. Délaisse une partie liberté pour jouir sécurité. L'Etat n'a pas toujours existé ;

forces et des personnages symboliques, servira aussi à mieux raconter la vie des hommes et à mieux rêver d’un ailleurs pour fuir l’écrasante réalité. Au XVIIIe siècle, par la fiction du « bon sauvage », des philosophes tels que Diderot, Voltaire et Rousseau chercheront non seulement à critiquer la colonisation ethnocentrique des Européens en Amérique, mais aussi les idées de progrès et de raison au cœur même de l’idéologie des Lumières. Inspirés par les nombreux récits de voyages de Vespucci, Colomb

son seul instinct. Il ne peut donc pas agir selon des causes rationnelles. Le penchant à la liberté est une rudesse qui est propre à l’animal qui est partagé avec les Hommes non éduqués. C’est pour cela qu’ « il est nécessaire de polir sa rudesse » précise Kant afin de supprimer ce penchant pour la liberté grâce à l’éducation. Mais « chez l’animal cela n’est pas nécessaire en raison de l’instinct » conclu l’auteur. Rudesse : brutalité, dureté, violence b. Une éducation dès le