La Voie royale

profondément aristocratique et libérale, évolution vers la démocratie va être lente et graduelle. Le RU ne connaît pas de rupture révolutionnaire. Mouvements contestataires qui n’ont pas aboutis. Le Ru est au XIXe le pays le plus avancé du monde sur la voie de la révolution industrielle. A commencé très tôt, dès les années 1780 : révolution énergétique (houille qui fait fonctionner les machines à vapeur), des transports (canaux, chemin de fer, 1830-40 : bateau à vapeur). Deux grands secteurs industriels :

voire des centaines de milliers d’années. Le nucléaire permet la prolifération des armes atomiques. C’est le même procédé que permet d’enrichir l’uranium pour en faire du combustible ou des bombes. Développer le nucléaire civil est donc la voie royale pour des pays comme l’Iran qui veulent se doter d’un arsenal nucléaire . Le nucléaire est un gouffre financier. Depuis des décennies, le nucléaire est sous perfusion constante de financements publics astronomiques. Et nous devrons bientôt payer

la féodalité qui se développe entre le xie siècle et le xiie siècle. Orléans, Bourges, Tours et Chartres : foyers de la puissance royale et du rayonnement culturel et religieux de la région au Moyen Âge Au Moyen Âge, la région Centre s'organise autour de quatre foyers politiques, culturels et religieux : * Orléans : la ville joua un rôle majeur pour les premières dynasties royales françaises. Elle fut l'une des capitales des rois mérovingiens, carolingiens puis capétiens. L'Abbaye de Fleury, toute proche

ibérique.Dans le cas de la France, il y a un processus de sécularisation du contrôle de l’imprimé, l’état royal qui tend à s’affirmer cherche à limiter la capacité d’intervention de l’Église sur la censure. En 1563, la compétence de la faculté de théologie de la Sorbonne est réduite aux seuls livres religieux. Progressivement naît au sein de l’administration royale un corps des censeurs royaux à partir de 1623, le code Michau de 1629 transfert au chancelier le droit de regard sur l’imprimerie. La

besoin de progresser dans une voie choisie et ceci à des époques aussi différentes que diverses. Nous pouvons donc convenir que l'origine de ce symbole s'inscrit profondément dans l'histoire de l'humanité, il est certain qu'il s'agit d'un des outils et des symboles des plus anciens et des plus universels, ne serait-ce que parce qu'à ma connaissance, les lois de la gravitation sont les mêmes que nous soyons grecs, égyptiens, sémites, ou bâtisseurs de palais royaux. « Les outils sont des symboles

et tombe rapidement en désuétude de par sa difficulté à l'appliquer ( va à l'inverse de dieu ) . Le talion est à peine dans le droit ecclésiastique , séculier , pas pratiqué dans le royaume de France . Cela n'est pas pratiqué par les juridictions royales et seigneuriales . Le magistrat a le libre choix d'arbitrer la peine il n'est pas tenu d'infliger une peine strictement égal ou semblable au crime commis puis qu'il n'est pas tenu a la proportionnalité il n'est donc pas tenu à la proportionnalité

élabore ont une force obligatoire. Donc le pouvoir marque son autorité sur toutes les sources du droit d’abord sur les sources non législative qu’il va mettre sous sa tutelle et ensuite sur la loi qui est la source par excellence issue du pouvoir royal. SECTION I : LA MISE SOUS TUTELLE DES SOURCES NON-LEGISLATIVES (XVe-XVIIe SIECLES) Dès la fin du 15ème la royauté s’efforce de contrôler les sources dont la formation lui échappe. Elle prétend assujettir la coutume et prétend domestiquer la coutume

Les sources du droit 1) Les fluctuations historiques des sources du droit (qui crée le droit) Les sources du droit sont multiples, et leurs importances ont variés en fonction des périodes historiques. On va voir quatre périodes : - à l'époque royale, c'est la coutume qui prédomine. la coutume se définit comme un droit non écrit auquel un usage répété et paisible à finit par conférer une force obligatoire. - à l'époque romaine elle est là mais perd de sa force. Une autre source apparait la

homonymes, voir Jean de Bourbon et Charles de Bourbon. Juan Carlos Ier Le roi Juan Carlos Ier, en 2009. Titre Roi d’Espagne 22 novembre 1975 – 19 juin 2014 (38 ans, 6 mois et 28 jours) Couronnement 27 novembre 1975 En l’église Saint-Jérôme-le-Royal (Misa de Espíritu Santo) Président du gouvernement Carlos Arias Navarro Adolfo Suárez González Leopoldo Calvo-Sotelo Felipe González José María Aznar José Luis Rodríguez Zapatero Mariano Rajoy Prédécesseur Francisco Franco (chef de l’État) Alejandro

toute sa rigueur n’apparaitra que tardivement dans la doctrine du XVIIIe. a. Pour ce qui est de la gestion des intérêts de l’Etat, ils appartiennent en principe à la compétence des agents du pouvoir central mais il faut y associer les administrés par voie de consultation : c’est avant la lettre le terme de la participation. b. Quant aux intérêts locaux, il faut une gestion de ceux-ci par les corps locaux, c’est l’idée bien connu dans les pays anglo-saxons de « self government ». 2. La nécessité