La Volonté de puissance

Commentaire de texte Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Ia IIae, q. 10, art. 4 : « La volonté est-elle mue de façon nécessaire par un moteur extérieur qui est Dieu ? » La Somme théologique, ultime ouvrage de Thomas d’Aquin, inachevée, se veut une compilation des savoirs théologiques de l’époque à l’intention des étudiants en théologie. Divisée en trois grandes parties, elle s’organise en questions comprenant elles-mêmes plusieurs articles qui répondent chacun à un aspect de la question posée.

manifestation concrète des pouvoirs d'action d'une personne, ce que fait une personne. L'acte est la subdivision d'une pièce de théâtre ou d'un opéra. L'acte est une notion de philosophie s'opposant à la puissance. Un acte juridique est, en droit, une manifestation intentionnelle de volonté dans le but de réaliser certains effets de droit. Les actes des Apôtres sont un livre du Nouveau Testament, tandis que les actes de Pierre sont des écrits apocryphes. Les actes de conférence sont une publication

en termes freudiens), une puissance chaotique, dionysiaque, aveugle, « bête », qui fait des expériences sur elle-même, en lançant à l’aventure des types de formes qui, à l’usage, se révèlent viables, durables, fondatrices, puissantes, fécondes, ou... non – qui l’affirment, la refusent, la dénient. Revue philosophique, n 4/2006, p. 437 à p. 454 o Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 62.240.242.91 - 08/08/2012 09h58. © P.U.F. misme de la volonté de puissance est de l’ordre du dépassement

que l’on appel la volonté de la puissance. . Il y a une volonté tendue vers la puissance agissante cela signifie que la volonté est engagé dans la voie de la puissance. On est dans une condition de lutte pour la puissance l’ambition d’avoir plus mieux plus vite et plus souvent nous sommes dans une approche de biologiste la vie est une organisation complexe que l’on ne peut vraiment saisir que de …. Crise mutation Une volonté stratégique d’agir en étant tendu vers la puissance qui se traduit

de l’homme à l’égard d’une nature qu’il ne choisit pas, revient effectivement à nier sa liberté. Déterminé, esclave de ses désirs, comment pourrait-il s’en rendre maître ? Doit-il les soumettre (« dominus ») par la force, imposer le pouvoir de sa volonté et de sa raison, ou découvrir quelle autorité ou savoir (« magister ») lui permet de les orienter sans les renier ? En effet, faire le choix de museler ses désirs n’en épuise pas la réalité, et vouloir que l’homme ne soit pas, ou plutôt ne soit plus

re-trouvable chez plusieurs philosophes; chez Schopenhauer c'est la volonté, chez Spinoza c'est le conatus, chez Freud c'est la pulsion et chez nietzsche. Cette force gravitationnelle qui régit le monde et ses intéractions, c'est la volonté de puissance. Et si l'on comprend cet aspect, de volonté de puissance, on comprend par la même occasion, le nihilisme. Car le nihilisme, c'est le rejet de la valeur de la volonté de puissance. C'est vrai que j'entame un sujet bien vaste, et que sa complexité pourrait

dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo PhiloSophie © février 2011 Table des matières Introduction : Biographie ......................................................... 5 Chapitre 1 : La doctrine de la volonté de puissance ............... 12 Affirmation et négation de la vie ............................................... 12 Vie et valeurs : le fait primordial ................................................. 12 Les trois sens du mot « vie » .............

né des relations historiques entre l’Afrique et les puissances coloniales européennes. L a volonté de ces puissances coloniales de maintenir leur influence en Afrique par la politique de diviser pour mieux régner, a ouvert la voie au nationalisme africain. La création de multiples territoires par les tracés frontaliers, l’érection des assemblées représentatives et des conseils de subdivision dans les différents territoires traduisaient la volonté des autorités »s coloniales d’affirmer les personnalités

mécaniste de causes et d'effets, il oppose sa thèse, sa propre interprétation de la "volonté de puissance" comme causalité générale. Dans une première partie, Nietzsche critique la conception scientifique mécaniste, selon laquelle, la nature obéit à des lois qui seraient les mêmes pour tous. Dans la deuxième partie, il expose la possibilité d'une interprétation différente faisant apparaître que la "volonté de puissance" est la source de tous les phénomènes et que le degré de prévisibilité de l'évolution

: chaque voeu prononcé fera rétrécir la Peau de Chagrin, écourtant ainsi la vie du protagoniste. Tout le récit se base donc sur une méditation de la quête de puissance perpétuelle du protagoniste, aux dépens même de son existence. La puissance peut être définie comme la capacité à vouloir et à pouvoir. Cette conception de la puissance introduit nécessairement une capacité à recevoir et un besoin en énergie. En effet, à toute capacité d'action correspond une capacité de réaction qui lui fait