La Volonté de puissance

L'exercice de la souveraineté La souveraineté est définit comme l'exercice de la puissance, elle vient du mot souverain & vient du latin su.. qui veut dire supérieur. Définit pour la première fois par J. Bodin. Document 1 : La souveraineté est rattachée à la puissance & au pouvoir par le peuple. « le fondement principal de toute République » → J. Bodin utilise le mot République au sens d'État (Res Publica). J. Bodin a fait de la souveraineté le point central de sa théorie politique

ses créations d'œuvres d'art, représente le monde dans l'unique but de le présenter esthétiquement. En effet, l'artiste crée des œuvres d'art en représentant le monde qui l'entoure, ce qu'il observe. Historiquement, nous pouvons observer la volonté des artistes de représenter la nature, la société, les moments de vie, le plus justement possible. En outre, l'artiste s'attarde sur chaque détail dans toutes les pratiques artistiques existantes. Le peintre tente de représenter au mieux la lumière

par-delà bien et mal La sagesse tragique L'éternel retour Le surhomme Nietzsche et le nazisme Citations Textes Résumé La vie, c’est-à-dire la volonté de puissance, est la source de toute évaluation. Par conséquent la valeur de chaque chose est déterminée par son rapport à la puissance. Est bon ce qui est puissant, ce qui accroît ma puissance. L’art (le beau), la connaissance (le vrai) et même la morale et la religion (le bien) peuvent être évalués à partir de ce critère. Est bonne l’œuvre

imparfait? Non, car un être parfait ne peut créer des créatures imparfaites. Pour Descartes, les erreurs humaines découlent du fait que l'homme est doué du pouvoir du jugement, et peut distinguer potentiellement le bien du mal, mais pour que cette puissance se transforme en acte, certaines conditions s'avèrent nécessaires: L'expérience a montré bel et bien que l'homme est exposé infiniment à l'erreur. Pour trouver la raison des erreurs qu'il commet, il faut chercher l'origine de ces erreurs non pas

religion et à la moralité entérinée par la croyance. Ce texte est extrait de son œuvre Le Gai Savoir. Il entreprend ici de suspecter l’idolâtrie véhiculée par la religion. En effet, Nietzsche s’appuie dans cet extrait sur l’opposition entre la volonté de vérité absolue et la vie : vouloir la vérité c’est ne plus vivre, c’est passer à côté de la vie. C’est Platon puis le christianisme qui ont mis au-dessus de tout la vérité, la considérant comme divine, ce que réfute totalement Nietzsche dans son

Dans cette première partie, nous étudierons la construction de État Puis, nous affirmerons que l’Etat est une souveraineté à part entière I- Le côté abstrait de l’Etat A- La construction de l’Etat Pour certains auteurs, l’origine de l'état c'est la volonté des hommes, autrement dit l'état est un phénomène volontaire. Pour qu'il y ait une structure qui prédomine les individus. Dans ces théories il y a un contrat par lequel, les hommes, les individus, ont accepté de perdre une part de leur liberté au

mais bien la volonté de puissance. Il s’agit ici d’une volonté d’acquérir une puissance que l’on n’a pas, une puissance qui veut s’affirmer et qui veut déborder dans le don. Cette volonté n’a pas d’essence puisqu’elle évolue, elle chercher toujours à croître, à suivre le cours de la vie. De l’extérieur, la volonté de puissance agit sous forme de domination. Avec celle-ci vient deux espèces d’humains; les forts et les faibles. Le fort fait appel à l’instinct, il donne de la puissance aux autres, il

entre ceux-ci et le pouvoir de nos facultés. En effet, nous ressentons notre faiblesse chaque fois qu’un besoin ou un désir dépasse la puissance de nos facultés propres : celui qui pourrait se suffire à lui-même ne connaîtrait donc jamais sa faiblesse car il ne la ressentirait pas. Il faut dès lors tendre vers une « égalité parfaite » entre la volonté et la puissance des facultés. Néanmoins, sommes-nous réellement capables d’évaluer nos capacités à leur juste valeur ? Par ailleurs, une surévaluation

repère en Asie : - Une des deux puissances historiques (avec la Chine) - Domination de l’empire des Indes pendant la période coloniale : importance avec les épices, commerce asiatique, route de la soie, etc. L’inde a-t-elle encore une place en Asie ? 1. Des politiques constamment en regard avec les autres puissances et états asiatiques => une Inde asiatique A. Une puissance pour contrer la Chine, l’empire émergent de l’Asie - La puissance nucléaire, pour s’opposer à celle

(les principes) et le droit volontariste (les règles constructives), ce dernier résultant des accords passés entre les Etats. Comme Francisco Suàrez, GROTIUS considère que le droit volontaire reste toujours soumis au droit naturel afin de limiter la volonté des Etats. En fait, GROTIUS n’est pas un inventeur direct du droit international, mais c’est à partir de ses textes, plus particulièrement, son traité sur la guerre et sur la paix, que se formeront de véritables théories juridiques de droit international