La Vérité Comme Actes Liberateur

et la gestuelle (personnages hyper codés et enfermés dans un rôle) sont largement utilisés comme langage scénique. Les thèmes de prédilection sont : l'amour érotique, obscène ; les erreurs d'identités ; les histoires racontée sous forme de farce. Exemple : l'avarice. Le spectacle débute par un prologue. C'est un monologue récité par un acteur dans lequel il présente la comédie qui se déroule en 3 actes. Ceux-ci sont interrompus par des lazzis qui interviennent dès que le public commence à s'ennuyer

à l’infériorité sociale qui fait des gens de condition modeste la proie des puissants et des violents, leur attire toutes sortes de vexations et d’humiliations, les empêche de se faire rendre justice. Le pauvre nous apparaît comme un dépourvu, les Juifs le regardent comme un homme sans défense Ce qui complique, mais aussi enrichit , c’est que le langage social des pauvres, des petites gens, des humbles, va s’ouvrir à une dimension religieuse. « Les pauvres » vont devenir vont devenir les humbles 

..................................................................................... I. La métaphysique : la science de l’être ....................................................................................... Métaphysique et notion de vérité (réalité) ......................................................................... Qu’appelle t- on philosophie du point de vue métaphysique ? .......................................... II. Les critiques de la métaphysique .................

il se contente de montrer. L’écrivain a affaire aux significations. L’empire des signes, c’est la prose. La poésie est du côté de la peinture, sculpture, musique. Les poètes sont des hommes qui refusent le langage considèrent les mots comme des choses et non comme des signes. Pour le poète, le langage est une structure du monde extérieur, la phrase a une tonalité. "Qu'est-ce que la littérature ?" de Jean-Paul Sartre Résumé: Sujet : « Ce n'est jamais à l'objet peint, sculpté ou raconté que

c'est-à-dire de leur détermination par les sujets qui les conçoivent. La démarche de l’historien, quant à elle, est déterminée par une volonté d’objectivité et elle relève d’un processus de vérité, même si celle-ci est contingente et provisoire, relative aux sources, aux temps et à la posture de l’historien. Comme telle, elle contient la possibilité de son évolution, voire de sa réfutation. C’est à cette condition qu’elle est scientifique. Si le patrimoine, sujet moins polémique que celui des mémoires

matières I La raison et le réel 1 La démonstration 1.1 Les visages de la démonstration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Pourquoi démontrer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 La démonstration est-elle une garantie de vérité ? . . . . . . . 1.1.3 En quoi reconnaît-on une « vraie » démonstration ? . . . . . . 1.2 Démonstration et formalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.1 Démontrer peut-il être superflu ? . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 Un savoir

rien nous semblent interminables, nous éprouvons le temps pur que rien ne vient remplir (l’attente dans une gare). Impression subjective d’un temps qui passe plus ou moins vite selon l’intérêt que les événements auront suscité en nous. Temps comme durée= période qui s’écoule entre un événement antérieur et un événement postérieur. Bergson : c’est une donnée première, immédiate de la conscience, dont on ne peut faire abstraction. (on peut faire abstraction de tous les événements qui remplissent

et religieuse. 2. Sécularisation. « Les hommes naissent libres et égaux en droits »( Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789). Avant 1789, les inégalités paraissaient légitimes ; l’esclavage en témoigne. L’émancipation de 1789 a comme idée directrice la notion de liberté. La démocratie est libérale à cette époque. La liberté correspond également au détachement de l’Etat de la religion. C’est en 1905 la laïcité et la perte de l’influence de l’Eglise. Les droits sont à présent des

l’église proclamée par Constantin en 312. L’empire, vaincu par une foule désarmée, rendait les armes au Galiléen. La persécution, après un paroxysme suprême et le plus cruel de tous, allait faire place à la protection. L’humanité respirait, et la vérité, scellée par le sang de tant de milliers de martyrs, après l’avoir été par le sang d’un Dieu fait homme, pouvait désormais prendre librement son vol victorieux jusqu’aux extrémités de la terre. Et cependant il est un prodige plus grand encore : c’est

considérée comme un phénomène sans rapport avec aucun livre antérieur, violant délibérément les règles du jeu littéraire, en provoquant un véritable chaos dans les opinions : il fut qualifié par les uns d'ordure, par les autres de chef-d'œuvre, par les uns de bouffonnerie, par les autres de sombre tragédie, partageant la droite comme la gauche. Mais, pour le lecteur d'aujourd'hui, il a beaucoup perdu de sa force scandaleuse, il a vieilli comme tous les chefs-d'œuvre, et il peut s'imposer comme un classique