La Vérité Comme Actes Liberateur

Chapitre 1, séance 2 : LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE (Suite du cours) Le travail, activité servile ou moyen d'émancipation ? II) LE TRAVAIL, UNE ACTIVITE SERVILE Si le travail a bien un côté libérateur qui procure la maîtrise de soi et du monde, force est de constater que pour beaucoup de gens, le travail n’a pas de sens et est plutôt synonyme de souffrance, d’abêtissement que de réalisation de soi. Comment se fait-il alors que le travail, censé nous humaniser, devienne une activité extérieure

cohérence. Si l’on prend cette définition à un premier niveau, on envisage la maîtrise comme une qualité im-médiate, qui autorise chacun à se donner autant de droit sur ses semblables qu’il dispose de force. Ainsi en est-il dans cette zone d‘indécision entre le droit et la force que constituent les sociétés tribales : c’est celui-là même qui dispose de la « plus grande » force physique qui peut se réclamer comme mâle dominant. Plus largement, on peut retenir ceci : tous les hommes disposent de qualités

vie parfaite. Ce fut sur ce principe que Gandhi, simple indien du Gujarat fonda sa détermination pour libérer l’Inde de l’empire colonialiste britannique. Nous verrons dans un premier temps comment de par son parcours Gandhi est devenu le héros libérateur du peuple indien puis la complexité spirituelle du Mahabaratha dont il s’est inspiré pour son combat. Enfin nous nous pencherons sur les répercussions actuelles dans la société indienne. Comment un homme tel que Mahatma Gandhi est t-il devenu

ésotériques. Leurs armes de choix sont la séduction idéologique, la fausse prospérité basée sur l’argent facile et rapidement gagné, l’infiltration des structures de l’Eglise.Les pratiques occultes faites contre nos personnes et aussi nos propres actes d’idolâtrie et d’incroyance nous soumettent à l’oppression satanique avec des échecs inexplicables en série, des accidents incompréhensibles, des bruits insolites autour de nous. L’obsession se caractérise par une action intérieure du démon sur le

Corinthe, Créon, offre à Jason de lui succéder et de devenir son gendre en épousant Créüse. Vaniteux, faible, n’aimant plus Médée et se montrant ingrat, Jason accepte sa proposition, tandis que Médée feint de s'effacer et envoie à sa rivale une tunique comme présent de noces. Mais la tunique est empoisonnée : Créüse meurt, et le roi, son père, ne lui survit pas. Couronnant son oeuvre de haine, étouffant tout instinct maternel, Médée égorge ses propres enfants puis, enlevée par un char ailé, elle est transportée

de se projeter aussi souvent qu’il le souhaite dans le futur afin de l’organiser, au lieu de se cantonner à une existence simple, basée sur le moment présent. Cette faculté peut, à première vue, nous paraître comme une libération des mornes obligations présentes. Cependant ce désir « libérateur » n’impose-t-il pas en fait à l’homme un esclavage dû à la tentation, puis à l’obligation, de se projeter sans cesse dans le futur, au détriment du présent, au risque d’une vie fictive, source de contradictions

n’est certes pas d’en faire la découverte, mais d’en manifester l’évidence. » En effet la tragédie Racinienne se caractérise par le rejet de l’héroïsme et de la tendresse pour mettre en lumière la vérité psychologique nue de la nature humaine ainsi que la violence funeste des passions. Ce n’est plus comme chez Corneille (cf Le Cid) l’admiration qui est suscitée mais plutôt la terreur et la compassion : les héros dans Andromaque sont anéantis, écrasés sous le poids de leurs passions qui les aveuglent

responsabilité de nos actes (nous sommes seulement les mains/les bras qui exécutent). Nous nous exécutons, mais ne prenons pas la décision de le faire de nous-même ; comme le fait de se lever le matin, de se laver et coiffer, aller au lycée ou aux toilettes : causé par une volonté extérieur à la nôtre. Nous sommes dans un état agentique la plupart du temps, nous sollicitons une réflexion de notre part que lors d’une situation de crise CAD lorsque nous ne pouvons plus agir comme agissions précédemment

utilisé comme un nom propre, sans article et toujours au singulier, à la manière d'un pronom. En disant autrui la langue distingue - parmi tous les êtres différents de nous - un être défini exclusivement par la propriété de ne pas être celui qui le désigne, tout en étant identique à lui. Ainsi "autrui" désigne-t-il quiconque est un autre moi que moi, un alter ego !Autrui est ainsi pensé comme étant le même et un autre, le même que moi et un autre que moi, ayant un rapport de soi à soi, comme moi, sans

bouillir), un échauffement et une effervescence, c'est-à-dire un enthousiasme qui envahit nos sentiments, nos actes, ou nos pensées. Or si nos pensées et nos sentiments se mettent à bouillir, ils ne peuvent plus conserver leur calme plat et leur froideur objective : le fervent est impétueusement emporté (en des chevauchées parfois lyriques) à cause de ce qui le brûle, transporté comme par un torrent d'énergie irrépressible, et exalté au-delà de son état ordinaire. Faut-il pourtant en déduire que