La Vérité Est Elle évidente

Il commence en 1629 un Traité de métaphysique (aujourd'hui perdu), mais il ne semble pas que ses pensées se soient encore dirigées vers les thèses des Méditations métaphysiques. S'il formule néanmoins le 15 avril 1630 sa théorie de la création des vérités éternelles, c'est qu'il s'interroge sur la place de la science ; sa métaphysique se développe ainsi d'après ses réflexions de physique, et il ne tire pas encore au clair tous les fondements qui seront exprimés dans ses ouvrages ultérieurs. Mais Descartes

parlant à la première personne, propose à ses contemporains des réflexions, jugements, réactions sur des sujets variés. Il confronte son jugement avec des manières de penser communes, dans l’air du temps. Il prend position sans prétendre détenir la vérité. Montaigne a écrit les 3Essais » dans le domaine où il vit retiré depuis 1570. L’extrait « De l’amitié » du livre I, analyse les liens profonds qui ont uni l’auteur et La Boétie (il écrit 25 ans après la mort de La Boétie, décédé cinq ans après

qui craignent le Coran et redoutent Dieu dans le secret de leurs cœurs ; annonce-leur le pardon et une récompense magnifique. 11. Nous ressuscitons les morts, et nous inscrivons leurs pas et leurs traces. Nous avons compté tout dans le prototype évident. 12. Propose-leur comme parabole les habitants d'une cité que visitèrent les envoyés de Dieu. 13. Nous en envoyâmes d'abord deux, et ils furent traités d'imposteurs ; nous les appuyâmes par un troisième, et tous trois dirent aux habitants de cette

comme une « vision » mais comme « une inspection de l’esprit ». La perception est donc un acte d’intellection, produisant une idée qui peut être soit « imparfaite et confuse » ou « claire et distincte ».Descartes identifie la perception et de la vérité. Berkeley quant à lui pousse à l’extrême les pouvoirs de la perception. En effet, affirme que le monde extérieur n’est qu’une construction à partir des impressions sensibles. Une chose, n’est donc que la réunion, par l’intelligence, de diverses

Pourquoi tant de gens accordent leur confiance en la raison? D'où nous vient cette croyance que l'association de la raison et des sciences puissent conduire à la Vérité et expliquer le réel ? certains philosophes se sont penchés sur ce sujet, comme Descartes ou encore Nietzsche qui partagent un point de vue différent. La raison est-elle une nécessité vitale, sociale, ou encore un devoir moral? Qu'est-ce que réellement la raison, est-ce une faculté d'agir, une faculté de faire le bien, d'agir de

La vérité, est la qualité de ce qui est vrai. C'est la conformité de l'idée avec son objet. Elle est unique, permanente, elle représente le discours adéquat à la réalité. Cette définition du dictionnaire pourrait être bonne, pourtant, elle ne fait pas l’unanimité car certains philosophes voient la vérité comme n'étant pas le réel. Ceci pose un problème sur le sens de la vérité d'une part. D'autre part, sophistes et philosophes ne partage pas la même opinion étant donné que pour le sophiste la vérité

conséquence, c'est que les textes prennent une forme quasi autobiographique. Il s'agit de montrer comment lui René Descartes, a procédé. Mais ces textes ont une dimension universelle : chacun doit faire l'effort, pour lui-même et en lui-même, de trouver la vérité. La science est un exercice spirituel : c'est même un exercice d'ascétisme intellectuel. Si cet exercice intellectuel est nécessaire, c'est que nous avons tous été enfants avant d'être hommes. L'enfance est l'âge des préjugés et des maîtres à penser

textes et il eu alors une illumination. Il dit que ce manuel lui a fait comprendre qu’il lui fallait communiquer à ses contemporains les vérités essentielles dont il avait pris conscience par le manuel franco-anglais. Assimil lui a fournit les matériaux pour sa pièce : les personnages (sauf le capitaine pompier) et l’usage systématique des clichés. Il est évident que l’auteur passe des messages et des opinions à travers sa pièce de théâtre. Par exemple, les personnages sont incapables de communiquer

s'obstiner, de corriger selon l'objet la première esquisse ... . Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan, par ce mépris des détails, qui est la grandeur même

scientifique et de la part de vérité qu’elle nous apporte, Bachelard nous soulève le problème, par quel moyen la connaissance scientifique peut-elle se construire afin de nous permettre de comprendre le réel ? C’est ainsi que l’auteur semble attester que l’esprit scientifique doit avant tout s’opposer, se heurter aux « connaissances mal faites », c’est en partie par une remise en question que l’esprit scientifique peut évoluer et nous permettre toujours un peu plus de ‘vision’ de la vérité, nous permettre toujours