La Vérité Relative

Le vrai est un terme commun bien connu, qui prend différente, définitions selon le contexte. Cependant, sa définition exacte demeure ambiguë. Dans les faits, plusieurs philosophes ont donné leur propre définition de la vérité et leurs thèses sur le sujet. La vérité peut se traduire par la correspondance ou la concordance de la pensée avec le réel. La question qui se pose est: est ce que c’est une bonne attitude philosophiques de douter, de remettre en question, ce que nous

l’art et la religion, où la vérité et les faits ne sont pas forcément corrélés aussi intimement que dans les autres disciplines évoquées. Anthony dit : à Bonjour. Alors voilà, j’ai peur d’avoir fais un hors sujet total. Pour moi « avoir raison » relevait d’une question de vérité et non de raison à l’état pur. Ce qui fait que j’ai problèmatiser mon sujet de façon à répondre à la question « La vérité est-elle absolue? » Pour moi avoir raison c’est dire la vérité c’est à dire le discour en adéquation

être dans le vrai? » Nous sommes généralement tout au long de notre vie sûr de nous et de nos opinions, tellement que nous ne doutons point d’être dans le vrai, c'est-à-dire d’entrer dans la vérité, de s’y tenir. Cependant il existe le doute, qui remet en cause des certitudes afin de trouver la vérité, ce qui montrerait qu’une certitude n’est pas suffisante. Suffit-il alors d’être certain pour être dans le vrai ? Etant donné que la certitude est la conviction d’être dans le vrai, on peut alors

d’Aquin pour définir la vérité comme correspondance ou adéquation de l’entendement au réel: adéquation entre l’intelligence qui conçoit, entre l’esprit et la réalité. Elle est considérée comme immuable, universelle. L'expression "à chacun sa vérité" se présente comme un principe de tolérance : on revendique ici pour chacun le droit de penser ce qu'il veut, car en matière d'opinion, chacun est son propre maître et il lui revient en toute liberté de choisir sa vérité. Si toute vérité est susceptible de

PHILOSOPHIE Pourquoi faut-il chercher la vérité ? Il est évident, aujourd’hui, qu’il faut chercher - dire la vérité. Il faut dire la vérité et ne pas mentir, il ne faut pas tomber dans l’illusion ou l’erreur. Le mensonge est toujours délibéré (volontaire), il relève d’une intention du sujet. Moralement, le mensonge est connoté négativement. L’erreur n’a pas de connotation morale. Elle n’est pas intentionnelle. Elle relève de l’ignorance. Si l’on est dans l’illusion, il y a un désir du

qui, petit à petit, lui permirent de se faire une idée plus juste du monde, et ainsi se rapprocher de la vérité. Comme je le démontrerai dans ce texte, il va de soi que, même s’il ne faut pas se fier qu’aux apparences immédiates pour prétendre de la vérité d’une chose, il est impossible que la vérité se trouve au-delà du monde sensible. Il faut plutôt, comme le dit Aristote, définir la vérité par l’observation du monde sensible, mais aussi en valider les observations par une utilisation logique du

philosophie La vérité n’est elle pas recherché que pour les avantages qu’on en attend ? L’homme est sans cesse à la recherche de la vérité. Cette entreprise qui peut-être considérée comme un fardeau que l’on porte tout au long de sa vie comprend souvent de fausses opinions et préjugés que nous recevons en les considérants comme vrai. C’est pourquoi l’individu se doit de se remettre en question pour ne pas attendre de la vérité seulement des avantages. La vérité est universelle

démocratie. Mais derrière ces évidences, la tolérance suppose et implique des enjeux à la fois épistémologiques, axiologiques et politiques: n'est-elle pas en effet la conséquence d'un certain scepticisme qui suppose que toute valeur et toute vérité sont relatives et que toute attitude universalisante ne peut être qu'illusoire ? De même, ne remet-elle pas en cause la valeur de la démocratie en traduisant une indifférence et un laisser-faire vis-à-vis des lois? Loin d'être cette vertu suprême qui nous

est-ce s'éloigner de la vérité ? Certains disent qu’il faut éviter l’erreur pour accéder à la vérité, d’autre disent qu’elle est nécessaire pour une bonne quête de vérité. L’erreur (épistémologiquement) est l’inadéquation du discours à la vérité. C’est une inattention de la raison. En se trompant, on « passe à côté » de la vérité car l’erreur nous en éloigne. Le mathématicien qui se trompe sur les mesures au cours de la construction d’une tangente n’atteindra pas la vérité dans le résultat. Se tromper

signifie qu’il fait accoucher son interlocuteur. De quoi ? Pas d’un nouveau‑né, évidemment, du moins en ce sens où il s’agirait un être vivant, mais d’un discours (un logos) dont l’interlocuteur de Socrate est porteur, et qui contient le vrai. Donc : la vérité ne se transmet pas d’un individu à un autre (ici : de Socrate à son interlocuteur), mais elle se découvre en soi-même : le dialogue philosophique est d’abord « dialogue de l’âme avec elle‑même ». C’est en ce sens que, dans l’allégorie de la caverne