La Vérité Relative

Se questionner sur la relativité et la subjectivité de la vérité requiert d'abord que l'on définisse ce que l'on entend par « vérité ». Dans un sens général, c'est la représentation mentale ou l'expression de ce qui est vrai, un accord de nos jugements avec la réalité, une affirmation de ce qui existe ou la négation de ce qui n'existe pas. Aujourd'hui, dans ce monde où plus de six milliards d'individus se côtoient, avec plus de deux cents langues parlées, tellement de croyances, de religions, de

SUJET : TOUTES VERITES A T-ELLES BESOINS D’ETRE PROUVEES, DEMONTREES ? Tout/toutes : la totalité sans exception. Vérité : vient du latin véritas qui signifie « le vrai », « la réalité ». Besoin : ce qui est nécessaire à l’existence, à la conservation ou au développement d’un être vivant, c’est-à-dire besoin vitaux et besoin spirituels et moraux. Etre : du latin esse. Qui veut dire exister, ce qui est, le fait d’être (par opposition à ce qui est), ce qu’est une chose, son essence, en logique

majoritairement l’accès à la vérité, sur laquelle une question se pose : la vérité et l’être sont-ils réellement accessibles ? La thèse de l’auteur sera présentée, puis s’ensuivra la thèse soutenue des divins pour en finir avec le relativisme. À première vue, l’auteur soutient la thèse suivante : «Si la vérité et l’être sont inaccessibles, la vraisemblance, l’apparence et le succès oratoire ne le sont pas»1. Ce que l’auteur tient à dire est que s’il n’est pas possible d’accéder à la vérité ainsi qu’à l’être

Peut on dire : « à chacun sa vérité » ? Réalité = ce qui existe . Contraire vérité, pas toujours erreur, peut être mensonge. Erreur = pb connaissance Mensonge = pb par rapport à autrui , faute morale . Arguments en faveur de l'expression : Chacun fait l'exp de son unicité . L'univers de la sensation est subjectif (chaud/froid) Vécu individuel => jugements persos (subjectifs aussi) Se conformer à une vérité commune peut dénoter un manque de personnalité , un conformisme

d'après Spinoza, la vérité et relève de notre âme (on parle, dorénavant, d'une liberté intérieure avec Spinoza). Spinoza utilise, dans un premier temps (l. 1-5), un exemple de physique, le mouvement d'une pierre sous l'impulsion d'une cause extérieure afin d'illustrer la question épineuse du libre arbitre. La cause extérieure contraint donc la pierre de poursuivre son mouvement pour un certain temps. Spinoza généralise, ensuite (l. 5-9), l'exemple donné et affirme que cette vérité s'applique à toute

LA VÉRITÉ I – L’exercice réfléchi du jugement 1. Vérité et opinion Désirer suppose que l’on manque : on tend vers un objet qu’on ne possède pas. Il faut donc penser la philosophie comme un désir, puisqu’elle commence par la prise de conscience de ce manque. Si je n’ai pas conscience de mon ignorance, je ne peux commencer à philosopher. La philosophie doit susciter un désir, mais la condition de ce désir est un certain trouble : il va donc falloir arriver à une conversion du regard. L’ironie

26 novembre 2012 Si toute le monde pense de sa façon, il est normal de trouver normal que les opinions ne sont pas meilleurs que d’autres. La vérité serait relative à chaque personne ou chaque groupe de personnes. Deux courants de pensée s’oppose à propos de la vérité des opinions. Le premier est les sophistes, qui pense que la vérité est propre à chaque personne. L’autre côté, Socrate, qui est contre cette opinion, pour lui c’est la recherche de l’universel. Si l’on comprend cette discussion

SUJET: La vérité scientifique La vérité scientifique apparaît comme une vérité absolue, normative. Mais, au sein même de la communauté scientifique, il existe des divergences, des théories opposées. De plus, il est difficile d’occulter la présence de nombreuses erreurs scientifiques dans l’histoire des sciences. Une hésitation se fait alors sentir : peut être accordons nous un peu trop vite le monopole de la vérité à la science… En outre, la vérité scientifique, propriété du langage, se distingue

peuvent varier d'une personne à l'autre, d'une culture à l'autre et d'une époque à l'autre. Le relativisme culturel est une théorie qui soutient que toutes les croyances sont relatives à la culture dans laquelle elles se trouvent. Selon cette théorie, il n'y a pas de vérité universelle ou absolue, mais plutôt des vérités relatives à chaque culture. Ainsi, selon le relativisme culturel, toutes les croyances sont respectables, car chacune d'entre elles est vraie dans son propre contexte culturel. Cependant

ou de la vérité, le but étant de convaincre que ce soit en politique ou dans la société en générale. Protagoras, un des Sophistes les plus original avec Gorgias, dit : « L’homme est la mesure de toute chose » la vérité est donc relative a chacun. Ceci illustre ce que Socrate reproche aux Sophistes. Ils usent du langage pour flatter l’opinion et non pour la recherche de la vérité. Socrate quant à lui n’est pas un relativiste, il aborde un langage plus philosophique, croyant à une vérité universelle