La Vérité Religieuse

248 Jacques Mésidor À CHACUN SA VÉRITÉ : À PROPOS DE L’AFFAIRE ARISTIDE P. Jacques Mésidor, sdb Moun - Revue de philosophie 3 (2006) 248-264 A la demande de la Rédaction de « Moun », mon article se veut un écho tardif à « La vérité en vérité », titre de la plaidoirie que JeanBertrand Aristide1 aurait présenté à Rome en 19892. Il avait été renvoyé de la congrégation des Salésiens de Don Bosco le 8 décembre 1988, en vertu des canons 696-699 du Code de Droit Canonique3. Né à Port-Salut le

Bonvarlet Aymée T°S1 DEVOIR MAISON DE PHILOSOPHIE Les sciences satisfont-elles notre désir de vérité? Les sciences désignent l'ensemble des connaissances portant sur le donné, permettant la prévision et l'action éfficace. Corps de connaissances constituées, articulées par déduction logique et susceptibles d'être vérifiées par l'expérience. Le désir provoque un tension vers un objet que l'on se représente comme

religion se caractérise par des croyances en une réalité supérieure, cachée, invisible, qui transcende la réalité humaine en lui donnant une valeur. Des mythes racontent l’origine et la finalité du monde et de la condition humaine. Ils révèlent des vérités, en ce qu'elles prétendent être vraies de toute éternité, et non pas au moyen de la démonstration. Ils donnent des réponses aux questions fondamentales de l'existence : → Pourquoi l’homme est-il devenu sexué ? mortel ? travailleur ? souffrant ?

Eloquence Jusqu'au XVIIe s., l'éloquence recouvre le concept de littérature. Héritier de Démosthène et de Cicéron (éloquence judiciaire et politique) ou des apôtres et de saint Augustin (éloquence religieuse), l'orateur exerce le plus haut magistère de la parole. C'est à partir de l'éloquence que se constitue la réflexion rhétorique : elle est l'axe de tous les débats sur le style. D'autre part, de Quintilien à Baltazar Gibert (Jugements des savants sur les auteurs qui ont traité de rhétorique,

interconvictionnel permettant ainsi aux élèves de rencontrer l’autre en vérité, en dépassant jugement et préjugés, sans pour autant renier sans conviction. ← cette partie indique l’importance de l’ECOUTE DE L’AUTRE sans sa vérité, elle permet un REGARD plus acéré sur la tradition à laquelle nous appartenons. COMPREHENSION DES TERMES : a) l’OECUMENISME concerne la manière d’appréhender les différences à l’intérieur d’une même tradition religieuse. Dans le CHRISTIANISME, il s’agit de préciser les différences

c'est un dieu immanent (Spinoza) Immanence/ transcendance. Ce qui est à l'intérieur du monde et des êtres/ ce qui s'élève au dessus du monde. Tous les peuples ont des religions. L'attitude religieuse semble commune à tous les hommes mais les religions sont tres diverses, face à tant de formes religieuses différentes comment unifier le phénomène religieux? 1/ La distinction entre le sacré et le profane Dans toutes les sociétés, on a la distinction au sein d'une religion entre le sacré et

 La vérité est par définition la propriété d’un jugement, c’est-à-dire lorsqu’un être possédant une raison dit quelque chose au sujet de quelque chose. Bien entendu, un Homme énonce une vérité en pensant qu’elle est en adéquation avec la réalité, extérieure à l’esprit, indépendamment de l’esprit.  On peut alors remarquer que la vérité dépend entièrement de celui qui la pense car il n’y a de vérité que s’il y a jugement On peut alors s’interroger sur le caractère propre de la vérité : N’y a-t-il

préférer la vérité à l'illusion ? L'illusion et la vérité sont deux termes paradoxale. En effet l'illusion est un désir, un désir de croire en quelque chose qui est irréel, c'est un obstacle à la recherche de la vérité. C'est en quelque sorte un refus de la réalité. C'est une sorte d'échappatoire, de fuite, de réconfort quand la vérité devient trop dure. Elle est là pour rassurer, mais ainsi de maintenir dans l'erreur et la tromperie au risque de souffrir quand on découvre la vérité. Alors que

RELIGION Nous apparaît comme profane tout ce qui correspond aux évidences de l'intellligence rationnelle. Chaque fois que l'homme veut obtenir un résultat dans le monde, il fait appel à cette intelligence rationnelle. ● Celui qui a une conscience religieuse ne se contente pas de ces techniques, il leur adjoint une prière ou un procédé magique, ou un rite sacré qui, à ses yeux seront aussi déterminants que les techniques rationnelles. ● LA RELIGION ● La magie est la croyance en la possibilité

caractériser le mot vérité. En effet son sens est large et concerne de nombreux domaines, dont certains sont assez subjectifs. Hors la Science acquiert ses connaissances par l'expérience et la démonstration¹. Que faire alors des domaines qui '' sortent '' de la réalité ? Détenir l'exclusivité de quelque chose que l'on ne peut pas vérifier ni contrôler s'inscrit-il vraiment dans la démarche scientifique ? La Science est-elle compétente dans tout les domaines que recouvre le sens du mot vérité ? Pour répondre