La Vérité Religieuse

a ainsi la faculté d’émettre un avis sur un sujet , pensant a priori que son jugement est véridique. Avec toutes ses opinions, il possède donc un ensemble de croyances, de convictions philosophiques, religieuses et politiques. Cependant, contrairement à la science qui est considérée comme une vérité donc juste, l’opinion, elle, est discutable. Et cette discussion est permise grâce aux droits de l’homme instaurés en démocratie et prônant le respect des opinions d’autrui, ce qui revient à les mettre

quelque chose est vrai pour que cela soit effectivement vrai. Davantage même : parce que je suis déjà convaincu d'avoir la vérité, je ne doute plus et je ne la cherche plus ; la croyance est donc l'ennemie de la raison, parce qu'elle empêche la recherche de la vérité. Exercice n°1 2. Comment la raison écarte-t-elle nos croyances ? • Celui qui cherche la vérité doit se défaire de toutes ses certitudes et de toutes ses croyances. Pour cela, il doit radicalement les remettre en doute :

mouvement pragmatiste : James, Dewey, Schiller, etc. - Les thèses essentielles du pragmatisme. Partie critique. - La conception dogmatique de la vérité. - Critique du Dogmatisme. Leçon III: Critique du Dogmatisme (suite) : vérité et connaissance humaine. - Vérité extrahumaine et intellect pur. - Vérité idéale et vérités concrètes. Leçon IV: Critique du Dogmatisme (suite) - la conception statique du réel. - La conception pluraliste du réel. Leçon V: Le Pragmatisme

venir. Dans le texte qui suivra, nous tenterons de répondre à la question : `` Le progrès scientifique finira-t-il par faire disparaître toutes les croyances religieuses ?``, en ce qui concerne le monde actuellement. Pour mieux comprendre ce dont nous allons argumenter, il faut en premier lieu définir ces deux concepts. Les croyances religieuses peuvent être définies comme étant une façon de tenir pour réel l’existence de quelque chose ou de quelqu’un qui ne révèle pas nécessairement du domaine du concret

compte « le sentiment ineffaçable du devoir »… On peut parler des différentes morales qui façonnent des sociétés mais aussi des religions. Par exemple la morale religieuse instaure qu’il faut manger du poisson le vendredi, faire le jeûne du ramadan, avoir une attitude de non-violence etc. Berthelot ne reconnaît pas la morale religieuse, il pense que « les religions se sont approprié la morale ». Elles ont pris « leur point d’appui sur une morale». Pourtant, comme le dit l’auteur, il est dans la

à : Navigation, rechercher Un dogme (du grec δόγμα dogma : « opinion » et δοκέω dokéô : « paraître, penser, croire »[1]) est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation d'un article de foi, utilisé lorsque le critère de conformité à la foi devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel

vers la démonstration sur l'innocence du père Calas, en effet Voltaire écrivain et philosophe, figure emblématique de la France des Lumières du XVIII ème siècles, intellectuel et engagé au service de la vérité et de la justice, décide de prendre seul, la défense des victimes de l'intolérance religieuse et de l'arbitraire dans des affaires qu'il a rendues célèbres en se servant de sa notoriété. C'est en 1763, un an après la condamnation à mort de Jean Calas que Voltaire décida de publier l'ouvrage

Les Progrès des sciences expérimentales vont-ils à l'encontre de la foi religieuse ? Les sciences expérimentales sont basée sur la théorie, la vérification par l'expérimentation puis sur leurs mises en pratique. Elles s'apparentent donc aux sciences "dures", seules susceptibles de nous apporter des vérités définitives, de dégager des lois universelles. La foi religieuse, elle, se base sur la croyance, sur la conviction de l'existence d'un Dieu créateur. Ainsi, pour Kierkegaard, "la Foi est une

risques en dénonçant l’intolérance religieuse. Pour cela, il construit un dialogue fictif où il met en scène des personnages appartenant à des religions différentes : un imam pour les musulmans et un talapoin (moine bouddhiste de Thaïlande ou de Birmanie). Puis il écrit le discours d’un inquisiteur (en rapport direct avec l’affaire Calas). Voltaire écrit au conditionnel, ce qui confère au texte une certaine irréalité. Le texte est une fiction qui implique la vérité et l’ironie. Le traité sur la

LA RAISON ET LE REEL (: la démonstration, le vivant, la matière et l’esprit, la vérité)1) raison et le réel au sens concret, matériel : la raison est le pouvoir intellectuel de l’homme d’arriver à comprendre et à s’expliquer le réel : la réalité, le contraire de l’illusion ; ce dont on peut constater et vérifier l’existence et le fonctionnement.-« la raison est le propre de l’homme », dit-on, à la différence des animaux qui fonctionne sur l’instinct ; l’homme a vu se développer sa raison et par