La Vérité Scientifique Est Elle Relative

peut-être à tort, interrompre le flux des réflexions initiées sur ce que certains désignent comme étant les « grandes questions », telles le sens de la vie, la conscience cosmique, l’interrogation sur la divinité, la certitude de savoir, les valeurs de vérité et de morale, l’éternité, l’infini, etc. Cette question brutale s’est imposé dans le dessein de mettre de l’ordre dans diverses notes, lectures, pensées spontanées. Elle m’a parut susceptible d’orienter des réponses et un espoir de clarification de

particulier ceux des scientifiques. Nous avons vu en introduction que selon l’opinion commune, celui qui sait ne peut croire, or, comment expliquer les croyances de certains savants ? Nous allons donc voir que les croyances ne résultent pas seulement d’une ignorance, et qu’elles ne sont pas incompatibles avec le savoir. Dans le domaine scientifique, il n’y a pas de place pour le « je crois », mais seulement pour le « je sais », le but premier étant d’arriver à la vérité. Cependant, même si

ascètes, qui stupéfiaient les Grecs par la maîtrise de leur corps et la rigueur de leurs exercices. Or la rencontre de deux cultures différentes a deux effets contraires : -​ le repli sur soi et la négation ; - la compréhension de l’étranger et la relative tolérance envers l’autre. => la rencontre entre les deux mondes explique en partie le fond de relativité qui est au cœur de cette philosophie. Illustration de son mode de pensée : on raconte qu’un jour, Pyrrhon passa près d’un marécage dans lequel

des investigations. C’est pourquoi l’étudiant étant capable d’analyser des situations et de proposer des remèdes constitue un gage de la croissance avenir. 2. Qu’est-ce qui caractérise fondamentalement un travail scientifique ?Expliquez votre réponse. Réponse : Un travail scientifique est le fruit d’une recherche menée selon : • Une méthode précise • Un objet déterminé • Une objectivité • Une rigueur • Un esprit systématique • Une capacité de développement interne. 3. La méthodologie

du maître (qui devrait feindre l'ignorance pour pouvoir enseigner). figure du maître ignorant : savoir et émancipation, sous la direction de Derycke et Peroni, 2010 actualité des thèses de Rancière, elles ne seraient pas relatives à un domaine de connaissances relatives, processus d'enseignement quel qu’il soit. Ces auteurs ne sont pas philosophes mais des sociologues ou des chercheurs en éducation. CHAPITRE 1 : une aventure

Pascal : la grandeur et la misère (petitesse) de l’homme. Pascal pense que l’homme est un être « misérable », ignorant, orgueilleux, vaniteux, faible, mais que sa grandeur vient du fait qu’il a conscience de sa misère. Les récentes découvertes scientifiques de l’époque (toute la science d’Aristote est remise en question. Copernic et Galilée ont apporté une nouvelle vision de l’univers et du système solaire…Découverte du microscope etc…) confortent Pascal dans l’idée que l’homme n’est rien par rapport

soupçons ont montrés comment la conscience pourrait être soumise à des forces irrationnelles. La raison est-ele spécifique de l'homme. Peut-on se fier à la raison . Quelle valeur accorder aux rationalismes? Comment penser le réelle? Porte-il en lui la vérité? Est-il donné? Est-il constuit? N'y a t-il de sens et de rigueur que dans une connaissance qui s'appréhende par la seule dimension rationnelle ou peut-on envisager du sens au travers d'une approche interprétative du réelle? Quelle sera alors notre

pour le transformer et en faire un moyen. Il y a différentes façons de se rapporter au monde: la science, la religion, l'art, la morale. On peut distinguer plusieurs formes de rapport au monde qui ont chacune leur spécificité. La connaissance scientifique élabore une théorie prétendant établir la réalité. La pensée religieuse vise à donner un sens à l'existence et une place à l'homme dans le monde. Dans le rapport esthétique, le monde est un lieu, dans certains de ces éléments du moins, de satisfaction

d'aucune autre qui vaut elle-même, à son tour, à titre de proposition nécessaire, elle est absolument a priori. SECONDEMENT, l'expérience ne donne jamais à ses jugements une véritable et stricte universalité, mais seulement une universalité supposée et relative (par induction), qui n'a pas d'autre sens que celui-ci: nos observations, pour nombreuses qu'elles aient été jusqu'ici, n'ont jamais trouvé d'exception à telle ou telle règle. Par conséquent, un jugement pensé avec une stricte universalité, c'est-à-dire

suppose de l’objectivité. Il faut écarter l’influence du sujet dans le discours. C’est pour cette raison que la science tend a produire un discours universel, valable en tout temps et en tout lieu. - La science n’est cependant pas une vérité. Toute proposition scientifique ou par une nouvelle interprétation de phénomènes connus. Ex : avant Newton, la gravité était perçue comme une relation de sympathie que la terre exerce sur certains corps. Avec Einstein, elle est comprise comme une déformation de