Laid

La laideur peut-elle être une source d’inspiration pour un poète au même titre que la beauté. ? De tous temps, les poètes ont recherché et on été inspirés par la beauté que ce soit sous la forme-même du poème ou en tant que source d’inspiration. Les grecs croyaient que le poète écrivaient sous l’influence d’une muse. Certains poètes, appartenant à différents mouvements littéraires comme la Pleiade, comme Ronsard, le Romantisme, notamment Victor Hugo ou Lamartine, ou le symbolisme, comme Baudelaire

En vérité, j’ai commis cette étude psychologique, psychopathologique, sur Cyrano à l’usage restreint des confrères et personnels spécialisés avec qui je travaille depuis des années. Je suis comme vous l’avez deviné psychiatre, psychiatre spécialisé dans le traitement des enfants et des adolescents. La question que je posais était de savoir, en fin de compte quel type de traitement un praticien actuel proposerait à ce Monsieur Savinien, Hercule, Cyrano de Bergerac au cas fort improbable ou il viendrait

Pour lui, les hommes aiment imiter, pour deux raisons essentielles qui sont le plaisir et la connaissance Aristote développe alors l'idée selon laquelle nous pouvons prendre plaisir à voir une représentation d’une chose répugnante: « des objets réels que nous ne pouvons pas regarder sans peine, nous en contemplons avec plaisir l'image la plus fidèle ; c'est le cas des bêtes sauvages les plus repoussantes et des cadavres. » (Aristote, La Poétique Chapitre IV - Origine de la poésie - Ses différents

Tout d'abord que se soit dans l'écriture ou la peinture L'indépendance de la mise en forme artistique est réduite parfois à une technique de provocation car pour certain un tableau qui ne choque pas n'en vaut pas la peine. la laideur, l'obscénité ou la stupidité s'allient pour induire plus sûrement le sentiment d'absurdité et retournent l'ironie de l'artiste (ou de l'écrivain) contre lui-même. La création artistique exalte sa propre autonomie par une mise en cause de sa propre essence. C'est la

Une tirade comique a) une tirade bien structurée - sur le plan de l’énonciation : fait la demande et la réponse (se parle à lui-même ou vise un destinataire invisible ou universel ? Voir plus loin), parenthèse où le locuteur semble jouer avec lui-même, exclut son interlocuteur, lui confisque la parole, se recrée un interlocuteur plus spirituel ; effets dialogiques, guillemets, autocitation…/ Apostrophes violentes, 2ème pers. Prise à parti… - sur le plan de la métrique : 20 unités (effet programmateur

Contexte historique Les eaux-fortes présentées ici appartiennent à un cycle de gravures intitulé « La Guerre » et réalisé par Otto Dix en 1924. Il s’agit de cinq albums comprenant chacun dix gravures. Ces derniers s’inscrivent dans la continuité de dessins réalisés sur le front de 1915 à 1918 par le peintre, engagé volontaire dès l’entrée en guerre de l’Allemagne en août 1914. L’essentiel de ce cycle a trait à la représentation des morts, corps atrocement mutilés, en phase de décomposition. En quoi

Article «souffrir pour être beau»: philosophie magazine n°40 2010 juin, titre: «Qu’est-ce qu’être beau?» La beauté est aujourd’hui une valeur et la laideur un stigmate, chacun souffre de ne pas être à la hauteur. Le marché de la beauté profite grandement de l’artificialisation du corps et la démultiplication des prothèses dû à cette obsession. Mais cela soulève des questions éthiques; est-ce que ce nouveau chemin de croix menace l’idée même de la beauté physique? Comme le montre Elisabeth Azoulay

La laideur peut elle faire l’objet d’une représentation esthétique ? Dans ce sujet nous trouvons deux termes en opposition, sur le principe, la laideur ne peut pas être esthétique ! La laideur étant ce qui est désagréable à la vue, et l’esthétique c’est ce qui a rapport au sentiment du beau. Je pense que la laideur peut être représentée, mais les artistes ont aussi un but lucratif, une tierce personne ne va pas acheter une œuvre moche pour mettre chez lui. Ils doivent donc suivre des « principes »

Jeune fille devant un miroir Par Pablo Picasso Je préfère les œuvres qui me parlent, les œuvres qui déclenchent en moi un intérêt particulier, celle qui m’intrigue ou me touche. Si l’œuvre ne m’évoque rien, peut importe sa beauté, elle ne m’intéressera pas. Comme disait Voltaire, «Il ne suffit pas de voir et de connaître la beauté d'une œuvre, il faut sentir et d'être touchés par elle. » Et ce tableau de Pablo Picasso m’a touchée, j’aime ses nombreuses couleurs vives, les teintes sont joyeuses

Otto Dix réalise le triptyque Métropolis (La grande ville) dans les années 1927/28. Peintre expressioniste, il fut particulièrement marqué par la 1ère guerre mondiale (où il servi comme soldat). Sorti de guerre, il s’interesse à la débauche et à cette société « folle » qu’est l’Allemagne dans les années 20. De ces années on retient surtout l’époque de la beauté et du plaisir, du jazz, des cabarets, du strip-tease, des strass et des paillettes. Mais celà n'est qu'une façade. L'envers du décors, c'est