Laid

excentricité. Nous pouvons le rapprocher au mouvement littéraire du décadentisme qui se caractérise par son esprit de révolte et de dérision face à la société. Il entretient en effet un nouveau rapport au réel car il y n’a pas de transformation du laid en beau mais une volonté de montrer le réel dans toute sa grossièreté, son ridicule. Il est de la génération qui suit Baudelaire , ainsi il voit en lui un maître mais le ridicule. Il a notamment écrit le recueil Les Amours jaunes publié en 1873, d’ailleurs

maritime Les indices temporels : « souvent » (v 1) et « à peine » (v 5) indiquent qu’il s’agit d’une scène répétitive. Cette scène s’organise par rapport à un passé, mentionné par l’opposition du vers 10 : « Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! ». 1°) Le décor Il est planté dès la première strophe par des généralités qui s’expriment dans l’emploi du pluriel : « les hommes d’équipage » ; « des albatros, vastes oiseaux des mers ». Le déterminant « des » indique qu’il s’agit d’un choix fortuit1

mérité de l’être. Pour démontrer qu’il vaut mieux subir l’injustice que de la faire, Socrate part de l’identité du mal et du laid, du beau et du bien, et voici comme il raisonne. C’est à cause du plaisir ou de l’utilité ou des deux à la fois que les belles choses sont réputées belles, et c’est par les contraires, le douloureux et le mauvais, ou par les deux à la fois que les laides sont telles. Par suite une chose est plus belle qu’une autre en ce qu’elle procure plus de plaisir ou plus de bien ou plus

que Ponge cherche à faire du poème une définition du mot, tout en faisant le poème sur le pain. Lors d’une réunion littéraire ayant pour thème « le laid dans l’art poétique » dans un salon parisien, plusieurs hommes de lettres sont réunis. Le débat à peine commencé, un poète du nom d’Arthur affirme avec vigueur que la poésie peut traiter du laid car c’est au language de la rendre poétique. Pour lui, il n'y a pas de sujet, d'objet ou de mots a priori poétiques. Un autre poète, Paul, demande la parole

Tout les jours l’histoire se répété pour pierre, un couple venait à l’orphelinat pour adopter un enfant et le pauvre Pierre n’était jamais retenu, les parents le trouvaient trop laid avec cette tâche. Alors Pierre restait à l’orphelinat avec le directeur, qui le traitait comme un esclave, il lui disait : « Si tu es laid, essaye au moins de te rendre utile ! ». Pierre devait faire les lits des dortoirs, mettre la table et faire la vaisselle. Quand il eût 17 ans Pierre décida de fuguer de l'orphelinat

non choisis par les bourreaux se sentent heureux « on sentait naître une joie folle ». Or, ce bonheur est né du malheur d'un autre détenu qui va mourir, que Brodeck qualifie de « bonheur laid ». Cette oxymore appuie le fait que ce n'est pas un réel bonheur, car en général le bonheur est beau, tandis que là il est laid, donc inapproprié. Les prisonniers ne devraient pas se permettre cette joie car un être humain va quand même perdre la vie ce qui est une chose horrible en soi. De plus, il y a une contraste

mots à connotation négative. Par exemple : «Malgré moi, je pense à ce que ça aurait pu être beau, cette minute-ci… et à ce que c’est laid…assez laid déjà sans que je parle.». Ou encore : «Ce qu’il m’est impossible de te pardonner, c’est de m’avoir menti tout ce temps-là, de m’avoir menti la tête collée sur mon épaule.». Dans le premier extrait, la répétition du mot «laid» implique que le protagoniste est dégouté par la situation dans laquelle Marie-Ange l’a placé. Une situation qui selon lui aurait

n’exprime aucune compassion envers elle«  Vous comprenez, si on me fouille, moi, c'est le conseil de guerre. ». De ce fait Antigone exprime que ceci est trop laid dans le sens que cette ruse est laide car elle aurait sûrement préféré que Hémon est une lettre de son écriture à elle et non de celle d'un garde « C'est trop laid, tout cela, tout est trop laid. ». Seulement, l'homme est vexé de ne pas la comprendre. Un autre point pourrait être révélé, celui de la curiosité de l'homme. Lorsqu'il lui dit « C'est

(représenté moqueries et incompréhension Hommes) Accumulation termes péjoratifs, gradation : poète misérable. « gauche, veule, comique, laid, infirme » Antithèse « beau/laid » : vs amour Baud pr élégance Passif : subit action, souffrance « en boitant » (détail circonstances : réaliste) coupe rythme, volonté de blesser, puéril. Contraste et opposition : « laid » / « volait » Le lieu se renfermant de plus en plus, Baudelaire montre comment l’albatros/ poète est un BG qui est incompris + le rapprochement

Oh ! Comme je voudrais être comme eux. Je n’ai pas de corne, hélas ! Que c’est laid, un front plat. Il m’en faudrait une ou deux, pour rehausser mes traits tombants. Ça viendra peut-être, et je n’aurai plus honte, je pourrai aller tous les retrouver. Mais ça ne pousse pas ! (Il regarde les paumes de ses mains.) Mes mains ont moites. Deviendront-elles rugueuses ? (Il enlève son veston, défait sa chemise, contemple sa poitrine dans la glace.) J’ai la peau flasque. Ah, ce corps trop blanc, et poilu