Laideur Au Moyen âge

m'offrir à la maternité ce singe en peluche d'une laideur indescriptible avec ses longs bras qui pendent (mais avec lesquels on peut faire un nœud ou un câlin) et aujourd'hui son œil arraché. Mais voilà, il a apparemment été mon meilleur ami de jeunesse et je ne peux tout simplement pas me résoudre à le jeter. Alors il est là, sur mon étagère dans mon studio (un peu en retrait quand même) et j'avoue, c'est rassurant de le savoir là. Il a mon âge, le temps passe, mais lui ne change pas ! Kevin, 25

de civilisation à cette époque. Le rire fait débat, il est quelque chose de polémique. Platon et Aristote (philosophes Grecs) rejettent le rire. Aristote appel le rire «  une grimace de la laideur ». Ils rejettent la supériorité de celui qui rit. Exemple : Umberto Ero Le nom de la Rose. * Au moyen Age : 500 à 1 400 C’est l’Eglise qui domine la société et rejette le rire. Le rire est quelque chose de satanique, associé au diable par l’Eglise. La morale de l’Eglise chrétienne est que le

tout entier sur le terrain du grotesque »1 en ajoutant : « Brodés sur cette trame uniformément grotesque, tous les détails de l’intrigue romanesque acquièrent un aspect cocasse ; ils participent, directement ou indirectement, de l’espace de la laideur bouffonne et du bas matériel rabaissant. Il n’est pas jusqu’à la mise en scène du sentiment le plus dévoué et de l’émotion la plus poignante qui n’obéisse aux lois toutes-puissantes du grotesque. »2. Le Cousin Pons enfermé dans un rire moqueur

spatial : L’ado est comme un déficient visuel, il a du mal à se déplacer dans 1 même corps qu’il connaît mal. Maladresse gestuelle, il est gêné d’un corps à travers lequel il n’a pas pris ses repères. Le corps représentant symbolique : C’est un moyen d’expression de ses conflits, il existe des ados désintéressés de leur corps (abandonnique) qui présente une hygiène douteuse. Le corps est un marqueur identitaire dont il faudra masquer les transformations Remarque : il est fortement déconseillé

temps des pharaons, des corps de rêve, proches des modèles actuels, défilaient sur les parois des temples et des tombes égyptiennes. Pour cette civilisation, le beau était source de vérité et d'équilibre, c'était une des valeurs importantes. Au moyen âge, l'archétype de la beauté se révèle être la femme blonde, grande et mince. Durant la renaissance, la mode est au teint clair, synonyme de richesse, et les corps deviennent plus charnus car c’est un indice de bonne santé. A la cour du roi soleil

pouvoir observer et commenter le manège de Tach. Le premier le trouve dans une obscurité quasi-totale, il lui avoue avoir arrêté d’écrire plusieurs décennies plus tôt et ne faire publier que des fonds de tiroirs L’écrivain le pousse vite à bout, sa laideur, l’obscurité, la peur et la claustrophobie ont eu raison de ce petit écrivaillon qui lui a manqué de respect. Le second revient malade d’avoir parlé des habitudes alimentaires répugnantes de l’auteur. Le troisième l’incommode, et il le congédie

projet pour une énergie inemployée. Le mouvement romantique tend parfois à fuir la réalité, trop décevante, et à se réfugier dans un monde imaginaire. a) Fuite, exotisme dans le temps. - Retour aux sources nationales : goût réactionnaire pour le moyen âge chrétien, le "gothique", les cathédrales, redécouverte d'une époque médiévale pittoresque ; on recrée la réalité, on transforme parfois l'histoire pour recréer des époques qui font rêver le lecteur : poésie du XVI° siècle, romans de cape et d'épée

projet pour une énergie inemployée. Le mouvement romantique tend parfois à fuir la réalité, trop décevante, et à se réfugier dans un monde imaginaire. a) Fuite, exotisme dans le temps. - Retour aux sources nationales : goût réactionnaire pour le moyen âge chrétien, le "gothique", les cathédrales, redécouverte d'une époque médiévale pittoresque ; on recrée la réalité, on transforme parfois l'histoire pour recréer des époques qui font rêver le lecteur : poésie du XVI° siècle, romans de cape et d'épée

‘’Narziss und Goldmund’’ (1930) ‘’Narcisse et Goldmund’’ Roman de 380 pages Dans le couvent allemand de Mariabronn, au Moyen Âge, le novice Narcisse, qui se distingue par une intelligence aiguisée qui lui permet de voir la nature profonde des êtres et des choses, par sa culture, sa volonté de parvenir à la sagesse sans faire l’expérience de l'amour, se voit confier l'élève Goldmund que son père destine à l’état monastique pour expier le passé tumultueux d’une mère sensuelle, danseuse déchue

l’on sait par ailleurs informatissimo del dicto pictore, et remis au duc de Bari. Selon F. Sricchia Santoro, la physionomie altière et volontaire du portrait pourrait s’accorder avec la réputation d’ambition et la valeur militaire du duc de Bari, âgé de 26 ans au moment de ce portrait. Enfin, ce tableau semble avoir eu une certaine postérité en Lombardie. A l’encontre de l’hypothèse de F. Sricchia Santoro et comme le souligne D. Thiébaut[15], le costume peut sembler ici trop sobre et anonyme