Laideur Au Moyen âge

morceau d’éloquence poétique rappelant le genre traditionnel de la chanson d’amour, la dame est décrite telle une peinture, parfaite et idéalisée. Le portrait de la jeune Maroie correspond parfaitement au canon de beauté des personnages féminins au Moyen-âge. Elle a des cheveux aux reflets d’or « reluisaut/D’or » v. 88-89, la blancheur de la peau est admiré à maintes reprise, son front est « Blanc » v. 92 « blankes maisseles » v. 111 ainsi que ses mains au vers 127. La blancheur de la peau est en effet

l’armée, à savoir l’armée de l’air. Le fait que des couleurs froides et verdâtres soient employées, glace le spectateur et lui procure une sensation de peur. L’ORGANISATION DANS L’ESPACE : Le cadrage de l’imagine choisi par l’artiste est un plan moyen, pour montrer qu’il y a toutes les parties du corps qui ont été touché par la guerre aussi bien physiquement que psychologiquement. Dans cette œuvre, l’angle de vue est normal car on voit les personnages de face au centre de la pièce et non de haut

devenir un objet poétique et esthétique; tel un alchimiste il pense pouvoir transformer un métal indigne en or. Baudelaire est indécis, parfois rêvant d’un idéal parfois sombrant dans le désespoir, il tourne son propos vers la misère, le mal ou la laideur tout en en tirant ce qu’il y a de plus beau. Dans un salon de 1859, Baudelaire déclare « le vrai poète, ne doit peindre que selon ce qu’il voit et qu’il sent. Il doit réellement être fidèle à sa propre nature » ; il faudra alors analyser le recueil

inclut désormais le bizarre, la plaisanterie burlesque, l’anormal dans tous les domaines. Ce qu’inclut Hugo c’est la laideur. Or il ne s’agit plus d’une valeur qui s’oppose au Beau mais d’une catégorie en soi, quelque chose d’incomplet et de discordant mais nécessaire pour parvenir à l’harmonie. Ce que qu’affirme donc Hugo, c’est une forme incomplète et discordante, le fragment, seul moyen d’accéder à une vision du Tout. Le rire du Grotesque cède la place au rictus et à l’inquiétude, à la poésie grimaçante

maigre, osseuse, légèrement tuméfiée, grimaçait […]. Cette tête, comme tannée et étirée, en gardant une apparence humaine, était restée plus effrayante de douleur et d’épouvante. » - insistance sur l’image du mort-vivant - accentuation de la laideur, qui devient monstrueuse, et qui a un pouvoir effrayant sur les autres. - inversion : une fois mort, devient omniprésent. BILAN - Un tempérament essentiellement lymphatique (personnage qui n’évolue pas). - Conditions de sa mort (eau) comme symbole

donnerai l’un pour l’autre ». L’échange est spécifique à l’économie. L’échange économique tisse les liens sociaux par les relations d’affaires, il affine ainsi l’intelligence en habituant à estimer les biens et accélèrent le brassage des idées par le moyen du langage. Aristote est le 1er à penser qu’il y avait un lien entre politique et échange économique ; société avec peu d’échange = société monarchique ou tyrannique. A l’inverse les sociétés où se développait la démocratie étaient des sociétés qui

la fille du marquis, qui lui déplait. Il fait la connaissance du fils du marquis et apprend les codes qui régissent la vie dans cette maison aristocratique. Au cours d’un bal, Mathilde remarque Julien et l’admire car il s’oppose aux jeunes de son age qui sont vides et sans projets pour l’avenir. Les deux se rencontrent dans la bibliothèque de l’hôtel et à ce moment-là Mathilde comprend d’aimer le jeune. Elle met tout en oeuvre, lui écrit, lui donne un rendez-vous et se donne à lui mais après quelque

du symbolisme du premier degré, mais il doit s’appuyer sur le dynamisme que développe celui-ci, sur les portes qu’il entrouvre. Chacun sait en effet qu’en maçonnerie spéculative la tentative d’homme nouveau qu’on appelle apprenti est un trois. Son age et son rapport direct avec l’équerre le lui précise. Mais c’est un trois dynamique, un trois de projection, un trois dans lequel est en gestation un autre nombre. Tout le rituel a pour mission et de féconder ce devenir, et d’en faciliter l’éclosion

seulement l’internationalisme et la démocratie, assises de la nouvelle société humaine en voie d’édification chez les nations civilisées, c’est aussi la science qui est intéressée en cela. Par ses progrès continus, elle a fourni à l’homme de nouveaux moyens de cultiver son corps, de guider, de redresser la nature, et d’arracher ce corps à l’étreinte de passions déréglées auxquelles, sous prétexte de liberté individuelle, on le laissait s’abandonner. La seconde caractéristique de l’olympisme, c’est le

accompagnât aussi tout au long de leur vie (p. 28-29). Le compagnon le plus important qu’on puisse avoir pendant le voyage de la vie, selon la nouvelle, c’est sa propre jeunesse, c’est la capacité de garder toujours le souvenir du bonheur associé à cet âge. L’institutrice a voulu offrir ce cadeau des plus précieux à ses élèves comme Clair l’a donné à la mère. Ce geste fait partie d’un cycle de générosité («boucler le jeu») car la narratrice en donne comme elle en reçoit. L’histoire ne s’intitule pas «Clair»