Laideur Au Moyen âge

..............................................p 4  I-2) OÙ ET À QUEL MOMENT SONT-ILS DISCRIMINÉS ?..........................p 4  I-2-1) LA DISCRIMINATION À L’EMBAUCHE………………………….p 5  I-2-2) LA DISCRIMINATION SUR LE LIEU DE TRAVAIL……………..p 6 II) MOYENS DE DISCRIMINATION……………………………………………………..p 9  II-1) LA DISCRIMINATION SUR LE SEXE................................................….p 9  II-2) LA DISCRIMINATION SUR L’ÂGE……………………………………....p 13  II-3) LA DISCRIMINATION RACIALE………………………………………....p 16

Emancipation et servilité Un monde impitoyable La dissipation du Sujet _______ Lundi 16 h 00 8 Guy ARGENCE nouveau HISTOIRE DE LYON Lyon d’avant Lugdunum Lugdunum la romaine Roman, gothique : l’Eglise lyonnaise et ses églises Les foires du Moyen-âge La banque italienne et l’âge d’or de la Renaissance Imprimeurs, humanistes et poètes lyonnais Guerres de religion Classicisme et Baroque Morand, Perrache et les nouveaux quartiers : 1750-1830 La rénovation urbaine sous le Second Empire La basilique

temps et à travers l’histoire. En beauté, rien n’est jamais dit une fois pour toutes. Les époques antérieures étaient dominées par des canons de beauté qui déterminaient, par le biais de l’art, un idéal commun : l’éphèbe chez les Grecs, la Vierge du Moyen-âge, la Vénus de la Renaissance, la Tahitienne de l’époque coloniale, la garçonne du début du siècle ou la star des années 1950. La beauté se transforme. De nos jours, c’est un élément qui doit définir la personnalité d’un individu. La société du XIXème

celui-ci se préoccupe plus de faire de son sonnet une œuvre d'art classique que de séduire la dame et de dévoiler son cœur. Il n’est rien de si beau comme Caliste est belle. C’est une œuvre où Nature a fait tous ses efforts ; Et notre âge est ingrat qui voit tant de trésors, S’il n’élève à sa gloire une marque éternelle. La clarté de son teint n’est pas chose mortelle : Le baume est dans sa bouche, et les roses dehors ; Sa parole et sa voix ressuscitent les morts,

poètes ressentes, exprime et les entoures ? Comment considèrent-ils leurs fonctions ? La littérature commence par la poésie, elle ce fait d'abord en vers elle sert a expliquer l'histoire d'un peuple avec les épopées ou la chanson de geste. Au moyen âge le poète est un artiste. Les troubadours s'accompagne des vers pour la musique. La musique est versifié, la chanson de geste une poésie épique. La poésie lirique qui utilise des formes fixes telle que la balade. La poésie savante qui s'adresse à

dit: "Dieu vous aide" » (v. 191-194) D'un appétit gargantuesque, il est capable d’avaler au cours d'un unique repas « deux perdrix, / Avec une moitié de gigot en hachis» v.238-240). Lorsque Dorine décrit ironiquement Tartuffe, elle fait état de la laideur et de la grossièreté du personnage en recourant à l'antiphrase: " Il est noble chez lui, bien fait de sa pesonne; Il a l'oreille rouge et le teint bien fleuri. " Sa concupiscence, elle aussi, ne fait aucun douter, car, non content de recevoir des

l'expression "TA-ATOUAS", composée de "TA" (dessiner, marquer) et "ATOUAS" (esprit de dieu) 2. Définition Générale [8] Tatouage : n.m. Un dessin indélébile fait sur une partie du corps (généralement en introduisant des pigments sous la peau au moyen d'une fine aiguille) De l'anglais « to tatoo », tahitien tatou 3. Définition spécialisée Sociologique et Psychologique [9] Le tatouage, plus qu’un discours du corps, est un art corporel, un art de vivre, plus encore, une philosophie

guerre; la barbarie n'appartient pas qu'à un seul camp. III. La dénonciation et son efficacité En principe, la description très réaliste de la guerre et de ses conséquences devrait suffire à la rendre condamnable, mais Voltaire a utilisé d'autres moyens pour la dénoncer: la double vision et l'ironie; il cherche à attirer l'attention de son lecteur par des effets de décalage. 1.une légitimité apparente La guerre aurait avant tout une légitimité esthétique: Voltaire la montre ironiquement comme

idéale de laquelle les émotions sont dans la mesure du possible exclues. Les classes supérieures sont : les alpha ( l’élite de la société ; et les Bêta ( caste de travailleurs intelligents. Ensuite les classes inférieures : les Gammas ( la classe moyen ; et enfin les Deltas et les Epsilon ( les classes les plus basses, utilisées pour des travaux souvent ingrats. Chacune de ces castes est divisée en deux sous-castes : Plus et Moins. Chacun, en raison de son conditionnement, estime être dans une position

TOUT CE QUI EST NATUREL EST-IL NORMAL ? Le sens commun de norme qualifie le plus souvent une action ou une pensée qui lui apparaît dans l’ordre des choses en employant l’expression « c’est naturel », sous entendu conforme à la moyenne ou à la règle.. Pourtant, en s’interrogeant sur la « normalité » de ce qui est ainsi qualifié, nous rencontrons des difficultés car dans un premier temps, les deux termes s’accordent parfaitement alors qu’apparaît dans un deuxième temps une certaine dualité