Langues kanak

printemps 1988, telle qu’elle a été vécue par le Capitaine Philippe Legorjus, du GIGN… 22 avril 1988. Officier spécialisé dans les négociations de prises d’otages, Philippe Legorjus est appelé en pleine nuit pour une affaire urgente. Des indépendantistes kanaks, membres du FLNKS, ont pénétré dans les locaux de la gendarmerie de Fayaoué, sur l’île d’Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. Les premiers rapports sont confus, faisant état de la mort de trois gendarmes, les 27 autres ayant été emmenés en otages et séparés

sa culture et ses symboles sont encore très vivants. A la mémoire du leader politique Jean Marie Tjibaou. Né en 1936 et mort en 1989, c'était un prêtre catholique et un fonctionnaire territorial français. Il était du parti politique de libération kanake. Ce centre culturel se trouve en Nouvelle Calédonie, à 15km de Nouméa (capitale). Il est entouré du Mangrove. C’est un complexe qui fait office de musée, de médiathèque, de palais des congrès, centre de spectacle, pôle de recherche, et de création

Le Journalier « VENEZ VISITER LE ZOO HUMAIN ! » Cannibale de Didier Daeninckx est un roman sur le thème de la colonisation. Dans le livre, Gocéné raconte son histoire, celle de Kanaks que l’on a  « invités » pour l’exposition coloniale de Paris en 1931. Les représentants de chaque colonie sont venus en groupe du monde entier. Mais contrairement à ce qu’on leur a dit, ce n’est pas pour montrer leur culture, leur richesse qu’on les a fait venir mais pour les parquer dans un zoo et les exhiber

colonie sont venus en groupes du monde entier. Mais loin de vouloir mettre en valeur leur culture, leur singularité et leur richesse, on leur demande de se comporter en sauvages. Parquée dans un enclos, entre les lions et les crocodiles, une tribu de Kanak (c'est à dire les habitants de Nouvelle-Calédonie) va ainsi subir les mauvais traitements des français et va devoir jouer le rôle d'anthropophages primaires, ne communicant que par les grognements et par la danse ! Et, comme si cela ne suffisait pas

qui rassemble les œuvres de la collection de Jean et Dominique de Ménil. Le centre culturel Tjibaou est un établissement destiné à promouvoir la culture kanake, il est situé entre les baies de Tina et de Magenta, sur une presqu'île en périphérie de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie. Il est géré par l’Agence de développement de la culture kanak (ADCK), établissement public à caractère administratif (EPCA) de l'État, créée en 1989 et transférée à la Nouvelle-Calédonie en août 20122 Ce complexe poly-culturel

DIDER DAENINCKS, CANNIBALE L'île de Kanaky en Nouvelle Calédonie. Gocéné, vieux Kanak, accompagné d'un ami occidental, rejoint en voiture la Tribu de Tendo quand ils sont arrêtés à un barrage par un rebelle armé. Le Vieux Kanak, pour répondre aux propos diffamatoires du soldat à l'encontre de son compagnon blanc, raconte son histoire : Un jour, quand il était jeune, un groupe d'hommes dont il faisait parti a été désigné pour partir en France. A cette époque la France organisait l'Exposition

tellement rare qu’il n’a pas de nom commun. C’est une espèce endémique de l’îlot Leprédour, son unique habitat connu. Il y a été découvert en 1988 par Jean-Marie Veillon, botaniste à l’Orstom, qui l’a baptisée tanianum par référence à Tani, le nom kanak de l’îlot. Un endroit dangereux pour une plante rare, à cause de la sécheresse, des rats, des cerfs, des fourmis, des oiseaux et des lapins. Si dangereux, même, que l’espèce a disparu du paysage et a été déclarée éteinte en 1994. Mais, le Pittosporum

l’accompagne. En s’y rendant, ils tombent sur un barrage tenu par des rebelles qui leur interdisent de poursuivre leur chemin. Caroz retourne à Poindimié et Gocéné décide de poursuivre tout seul jusqu’à Tendo. Les deux rebelles, intrigués de voir un « Kanak » avec un Blanc, demandent des explications à Gocéné, qui désire se reposer avant de reprendre la route. C’est alors que Gocéné raconte l’histoire qu’il a vécue pendant l’exposition coloniale de 1931. Lors de l’exposition coloniale de Paris en 1931

français sont tués en 1850. Décolonisation : -Le processus de décolonisation débute lors de la seconde guerre mondiale, en 1944 -Elle se poursuit avec la retrait de différents lois qui leur sont instaurés par la France -Des indépendantistes kanaks attaquent une gendarmerie sur l’île d’Ouvéa, pour montrer leur désaccord. Ils se réfugient avec des otages dans une grotte, pris plus tard par un assaut de soldat français, envoyé par le premier ministre, Jacques Chirac. -Les accords de Matignon

Calédonie qui s’appelait : « les kanaks ». Avec ses recherches il commença une histoire : Le narrateur dans cette histoire s’appelle : Gocéné (Didier Daeninckx). Voici l’histoire : Ce peuple commença une grande marche ; De Poindimié à Tendo, La marche commença et sur leur chemin ils ont été bloqués par un barrage, sur ce barrage ; l’emblème de Kanaky, est dressé. Cela force nos hommes à faire demi-tour. Ils arrivèrent à Nouméa, « les trente jeunes kanak (dont Minoé et Gocéné) furent