Laogai

privée) ; -  la mobilité est encadrée par l'instauration d'un passeport limitant les déplacements à l'intérieur du pays (le hukou) ; -  la répression a largement recours aux camps de rééducation par le travail (l’équivalent chinois du goulag : le laogai). 
En 1954, la Chine se donne une Constitution calquée sur le modèle soviétique. Le Parti est partout, il contrôle tout et aucune forme d'opposition organisée n'est tolérée. La censure sévit. Après avoir encouragé les intellectuels à exercer un droit

minorités nationales, l’exaltation du patriotisme Russe à partir de la seconde guerre mondiale. La chine de Mao présente un modèle similaire au stalinisme par bien des cotés : même idolâtrie du guide de la révolution, même système concentrationnaire (laogai = goulag en chinois), même répression des intellectuels, religions, minorités nationales (Tibet) Après la création de la République populaire en 1949, la Chine a réorganisé sa création et la science sur le modèle soviétique, un système resté en vigueur

le pouvoir et se révolter contre les fonctionnaires corrompus mais comme lors des « Cents Fleurs », le mouvement échappe au contrôle au contrôle de Mao. Suite à cela, beaucoup d’intellectuels seront forcés à quitter la ville. Le goulag chinois, le Laogai, était bien plus peuplé que celui russe. Malgré ces nombreux événements, il reste un grand libérateur dans l’historiographie officielle chinoise. En tant que fondateur du régime chinois actuel, il est encore actuellement très honoré, malgré le fait

transforment en véritable émeute qui sont le plus souvent cachée (en 2010, plus de 200 000 émeutes en Chine avec des dizaines de morts) -5th limite : le soft power chinois est naissant et il est entaché par deux faits exécution capitale -6th limite : le laogaï existe toujours -7th limite : la question du Tibet n'est pas réglé et le Dalai Lama.

Parti communiste Chinois): c'est une démocratie populaire (dictature du PCC) considéré comme le représentant du prolétariat. Dotée d'un appareil d'état semblable à l'URSS: organisation de jeunesse dans les villes et à la campagne, la censure et les laogaï (camp de rééducation par le travail des opposants like goulag). Pourtant la rupture avec l'URSS se dessine dès la moitié des années 50. Les deux pays ont des différents frontaliers et les dirigeants chinois reproche au soviétique de ne pas fournir

est une justice à charge, c'est-à-dire qu’on vous voit coupable directement. C’est une justice expéditive. Les sanctions sont lourdes, la peine de mort est massivement pratiquée, y compris pour la criminalité. -La chine maintient le principe du Laogaï : prisonniers dans des camps. Société de surveillance, pas toujours oppressante tout de même. - absence de liberté d’expression. Moyens d’information tous contrôlés par l’Etat. - Contrôlé d’internet. 250 millions d’internautes. Contrôle des autorités

particulier : le système politique Chinois : ≫ La concurrence déloyale des investisseurs Chinois (subventions publiques massives, origine opaque des fonds, non respect des règles de la concurrence etc.). Le système politique Chinois ð Rôle di Laogai ð Absence de démocratie réelle (pas de démocratie, pas de débats publics, pas de syndicats, censure d’internet etc.) ð La lutte contre les dissidents (églises, syndicats, mouvements politiques) A. Les raisons d’un succès 1. Le facteur

organisations de jeunesse liées au PCC puis ce sont les unités de travail qui prennent le relais. Elles sont compétentes en matière de logement, de nourriture ou d’éducation des enfants. Pour les plus récalcitrants, des camps de rééducation par le travail (le laogai) sont mis en place. A partir de 1952, la Chine adopte le modèle soviétique tant sur le plan économique que politique. Cela se traduit par une soumission politique à l’URSS. Au moment de la proclamation de la RPC, ce nouveau régime n’est reconnu

secrètes est considérée comme un crime. Les journalistes suspectés de dévoiler les initiatives du Département de la Propagande du Parti Communiste Chinois aux médias étrangers encourent des sanctions allant jusqu'à l’incarcération dans les terribles laogai (camp de travail). Censure et propagande assurèrent dans un premier temps le succès des grandes campagnes de mobilisation du peuple en faveur de la collectivisation agraire ou contre les « contre-révolutionaires ». Les risques encourus

2009) Son soft power est encore très modeste Son modèle politico-économique (le consensus de Pékin), soit un État-parti autoritaire et une économie libérale, n’est pas exportable et peut-être pas viable en période de crise du monde développé. Le laogaï existe toujours et les exécutions capitales sont très courantes (4 000 en 2011 ?). L’enjeu environnemental La Chine est très consommatrice d’énergie (son industrie consomme, pour les mêmes fabrications, 50% de plus qu’en Europe) et est le 1er