Lapins Himalayens Tyrosinase

modification génétique est d’autant plus fréquente que le temps d’exposition aux UV augmente. Exercice 11 p 50 Hachette : la couleur du pelage du lapin Himalayen Extraire des informations pour résoudre un problème 1. Hypothèse : la couleur du pelage dépend de l’environnement, plus précisément de la température. 2. Chez les deux lapins, à 30°C et à 36°C, au début de l’expérience, la quantité de tyrosine est importante. A la fin de l’expérience, chez l’Himalayen, la concentration

couleur du pelage chez les lapins himalayens. Doc 1. la couleur du pelage des lapins Les lapins sauvages ont un pelage sombre (a). Certains lapins, appelés himalayens, ont un pelage blanc sauf sur les extrémités des pattes et du museau, bout de la queue et des oreilles (b). Ces lapins himalayens, rasés et placés à 15°C le temps de la repousse des poils, acquièrent la couleur sombre des animaux sauvages (c). Doc 2. Détection d’une enzyme par électrophorèse : la tyrosinase Un pigment, la mélanine

certaines cellules de l’épiderme. La tyrosinase est une des enzymes indispensables à la production de ce pigment. Il existe diverses mutations du gène de la tyrosinase responsables de l’albinisme : l’allèle muté ne permet pas la synthèse d’une enzyme fonctionnelle. Vous allez en étudier quelques exemples avec le logiciel Anagène. Lancez Anagène puis Fichier - Thèmes d’étude - génotypes et prévisions en génétique humaine - l’albinisme - allèles du gène de la tyrosinase – OK. Vous n’allez travailler que

les UV provoquent l’augmentation de la synthèse d’une protéine (la tyrosinase) qui intervient dans la synthèse du pigment de la peau (la mélanine), ce qui augmente la pigmentation de la peau (bronzage) ; - Certains facteurs de l’environnement modifient le fonctionnement des protéines : ex. la protéine tyrosinase des lapins himalayens fonctionne à faible température mais pas à forte température, donc les poils des lapins himalayens sont sombres à faible température (museau, queue, extrémités des oreilles

sédiments par les rivières, dans les bassins péritibétains depuis 70 millions d’années [pic] D'après Avouac et al. « Himalaya – Tibet, le choc des continents ». CNRS éditions, 2002   Document 2 : couplage entre tectonique et érosion pour la chaîne himalayenne (estimé par une modélisation numérique, validée par des mesures de terrain) [pic] D'après Avouac et al. « Himalaya – Tibet, le choc des continents ». CNRS éditions, 2002   Document 3 : les processus d’altération des silicates dans le cycle (simplifié)

froid à cette profondeur, que l’on peut interpréter comme une lithosphère froide en subduction. Il s’agit de lithosphère indienne, pour l’essentiel de nature continentale : la lithosphère continentale indienne est donc en subduction sous la chaîne himalayenne. ➌ DOC. 3 (Extraire et mettre en relation des informations). Voir schéma-bilan de l’unité 4 p. 175. ➍ CONCLUSION (Communiquer en rédigeant une synthèse). La présence d’ophiolites dans les chaînes de montagnes, et d’anciennes marges continentales