Las Casas Et Sepulveda

1°)Plaidoyer en faveur des indiens : De Las Casas, qui défend les Indiens, va surtout insister sur la pureté des indigènes, leur humanité et les terribles actes commis par les conquistadors, menés par la soif de l’or. Tout d'abord, son premier argument sera :Le refus de la barbarie généralisée envers un peuple : Aux yeux de Las Casas, le peuple qui détruit un autre peuple dit « barbare », est aussi barbare que l'autre. Las Casas va alors refuser l'argument de la sauvagerie de l'état face

un dialogue argumentatif défendant pr Sépulvéda « l’esclavage par nature » et pr Las Casas une reconnaissance pr tous de la notion de l’Homme. Le dialogue a bien pr but de s’interroger sur des sujets graves, polémiques comme l’a déjà au XVIIIème siècle, sur la liberté des femmes en matière d’anthropophagie et ici en matière d’esclavage. JC Carrière rejoint Montaigne, Diderot pour défendre les valeurs humanistes. 3 pers. parlent : - Sépulvéda (philosophe) - le légat du roi

locuteur. Le « nous » (l.19) qui désigne las Casas, les Européens. l.57 : « vous déviez ma pensée » : Las Casas l.55 : « vous » Sépulvéda. Il s'agit du discours directe rapporté donc une scène. Souvent dans une scène le temps de l'histoire et du récit se superpose, une scène détaille et installe souvent une intensité dramatique, elle comporte souvent des dialogues. C) Les personnages et les thèses en présence. Il s'agit d'un dialogue argumentatif. Sépulvéda, « le philosophe », il est le premier

part entière ?3 personnages principaux :- Le légat du Pape : arbitre - L’avocat des Indiens Bartholomée de LAS CASAS - Le procureur des Indiens Sepulveda joué par TrintPrendre des notes :· Sur les arguments donnés· Sur les procédés argumentatifN.B : - Las Casas : homme de terrain (qui a connu les Indiens) - Sepulveda : homme de livres

Le mérite de ''La Controverse de Valladolid'' est de faire tomber le masque. Tant que les consciences ne seront pas pénétrées par le doute, tant que l'idéologie ne sera pas mise à la question, l'humaniste Las Casas sera toujours, au bout du compte, bafoué par le machiavélisme de Sepulveda… Nous ne devons pas confondre la vérité religieuse authentique et son interprétation tendancieuse surtout lorsqu’elle habille nos peurs de la différence ou nos pulsions possessives. N’oublions pas aussi que

vouloir assimiler une population indigène dans le giron catholique en tuant, martyrisant, incarnant le diable lui-même sur Terre? TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 De l’âme des Indiens 3 Aristote et l’esclave par nature 3 Sepulveda et l’influence d’Aristote 4 Las Casas et la dignité humaine 3 De l’Évangélisation 6 L’Évangélisation par la chanson 7 Les baptêmes de masse 9 Les méthodes d’évangélisation par la force 10 De l’égalité 11 La réalité de la colonie 12 L’exemple de Vera Paz 12 CONCLUSION

Controverse de Valladolid parut au XXe siècle qui expose un débat entre Las Casas et Sepùlveda pour savoir si les Indiens ont une âme ou non. Dans cette extrait de pièce de théâtre le registre est pathétique et seul Las Casas prend la parole pour défendre sa thèse qui est favorable aux Indiens. Quelle stratégie argumentative Las Casas met-il en place pour convaincre Sepùlveda ? Dans un premier temps nous verrons en quoi le discours de Las Casas est un réquisitoire contre les Espagnols; dans un second temps

protagonistes, deux adversaires : le frère Bartolomé de Las Casas et le chanoine Juan Ginès de Sépulvéda. But de la controverse : mettre un terme à la polémique qui divise l’Europe, en décidant si les Indiens, découverts en Amérique, appartiennent ou non à l’espèce humaine et, par conséquent, si les guerres de la conquête ainsi que le cruel esclavage infligé aux indigènes pour l’exploitation des terres sont légitimes ou non. Pour Las Casas, qui a beaucoup séjourné aux Indes, les massacres perpétrés

des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes. La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur[réf. nécessaire] du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste[réf. nécessaire] du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du xxe siècle, parfaitement

déjà été tranché par l'Eglise par deux bulles du Pape en 1537, affirmant que les indiens possédaient bien une âme. Lors de cette Controverse, opposèrent leurs arguments, d'un côté, Bartolomeo De Las Casas, dominicain, défenseur des Indiens, bête noire des colons et, de l'autre côté, Juan Ginès de Sepúlveda, philosophe, grand commentateur d'Aristote, chanoine de Cordoue, confesseur de l'Empereur, partisan de la conquête et de l'usage de la force contre les mêmes indiens. Mais il n'est pas sûr qu'en