Las Casas Et Sepulveda

Biographie de Bartolomé de Las Casas Bartolomé de Las Casas (Séville, 1474[ ]– Madrid, 1566), est un prêtre dominicain espagnol, célèbre pour avoir dénoncé les pratiques des colons espagnols et avoir défendu les droits des Indigènes en Amérique. Bartolomé de las Casas est peut-être né en 1474 à Séville, mais d'autres historiens l'y font naître vers 1484 ou 1485[]. Il est le fils de Pedro de las Casas, modeste marchand. À 9 ans, il voit le retour de Christophe Colomb à Séville après son premier

Monsieur est Persan ? C’est une chose bien extraordinaire ! Comment peut-on être persan ? » cela montre que la différence se remarque par l’apparence physique. On peut parler aussi du débat dans « La Controverse de Valladolid » de Jean Claude Carrière. Sépulveda pense que si les Indiens sont différents des Espagnols alors ils doivent se soumettre à la supériorité de ces derniers  pour lui les indiens ont un esprit faible et ils sont « incapable de comprendre les choses les choses les plus simple, comme la

engagement. Mais ce ne sont pas les colons ni Sépulvéda qu’il faut convaincre ; c’est le légat du Pape, arbitre redoutable peut-être ouvert à certains arguments, ou capable de discerner le vrai du faux, le désintéressé de l’intéressé. C’est pourquoi il faut trouver les mots qui conviennent dans le code complexe de la rhétorique d’usage, les mots qui permettront de trancher, non pas en fonction de la vérité mais des règles du duel oratoire. Sépulvéda commence l'attaque en discréditant son adversaire

Carrière DATE DE PUBLICATION : 1992 EDITEUR : Pocket NOMBRE DE PAGE : 232 1-Analyse des personnages : Le roman de Jean Claude Carrière est un roman historique. Il met principalement en scène deux personnages qui ont existé. -Bartholomé de las casas : C’est un Prêtre dominicain espagnol. Humaniste, il défend la condition des indiens et le respect de leurs droits au nom même des principes de tolérance et de paix qu’apportent le christianisme. Il considère ainsi que les indiens sont les seuls

Christ qui avait 12 disciples + lui-même) / des fois on les pendait par les pieds / on les brûle, on les noie. * Les Indiens étaient sans armes * Les indigènes (description) : beaux, intelligents, pacifiques (selon le dominicain Bartolomé de Las Casas) Le peuple (Indiens) agonise. → sont tués à cause de leur péchés La terre est « faite » pour être chrétienne → « tout les peuples sont destinés à être chrétiens » Les Indigènes ne connaissent pas (ou pas bien) la religion chrétienne. Dieu « désirait »

la bouffonnerie espagnol car ils n’ont pas intégré cette culture. Ils ne connaissent pas la réalité du roi d’Espagne, ni sa culture, ni sa religion – L’expérience de la confrontation des bouffons et des indiens est trop cruelle pour l’humaniste Las Casas : mise en scène et dérision ne peuvent être de mise dans ce couvent au dépend d’étrangers Le rire s’inscrit dans la vie sociale d’un groupe qui le fabrique avec des codes en commun .il est donc phénomène historique C’est le choc des cultures qui

explicitement, il vas donner son avis a travers un personnage, celui ci sera le plus convaincant et avec le plus d'argument pour le lecteurs. Dans La controverse de Valladolid,Jean-Claude Carrière exprime dans le débat entre Las Casas, Sépulveda et Le légat ; ces pensé a travers Las casas. La fiction permet au lecteur de prendre des distances avec la vie réel, comme par exemple avec les différents pays évoqué, la description de ces lieux permet de voyagé. Dans Supplément au voyage de Bougainville de Diderot

particulièrement les espagnols et les portugais, s’effectuent au XVe et XVIe siècles. Dès la découverte de l’Amérique en 1492 par les colons espagnols, les populations indigènes sont conquises avec violence. En effet, un texte écrit par Bartolomé de Las Casas dénonce la maltraitance de ces populations amérindiennes et met en évidence le fait qu’elles soient, comme les espagnols, des humains. Mais quelles sont les causes et les conséquences de ces colonisations ? Nous étudierons, dans une première partie

épidémies mortelles, que les conquérants ont apportées avec eux et contre lesquelles les Indiens ne sont pas protégés, emportent des milliers de victimes. Las Casas, un moine, soutient que les Indiens ont été crées par Dieu à l’égal des Chrétiens. On ne peut donc ni les massacrer, ni les traiter en esclaves, ni les convertir par la force Sépulvéda, philosophe, avance que les peuples américains sont inférieurs aux Espagnols. Les coutumes qu’ils observent offensent Dieu. Il est donc possible d’user

problème de l’universalité du rire. La pbtique est donnée par Sepulveda lui-même : pourquoi les indiens ne rient-ils pas, alors que certains aspects du rire semblent universels ? Pour présenter le texte : En 1550, à la demande de Charles Quint une confrontation se tient dans un couvent à Valladolid. Le sujet de cette controverse: les Amérindiens sont-ils des créatures de Dieu ? Elle oppose le philosophe Sepùlveda au dominicain Las Casas, défenseur des Indiens, en présence d’un cardinal, légat du Pape