Lazare de Baïf

de sa vie sous François 1er (le père et le restaurateur des lettres) issue d’une famille noble, d’Orléans, il va devenir page à la cours (entre le valet et la dame de compagnie). Il voulait se destiner au métier des arts, devenir secrétaire de Lazare de BAÏF, qui l’introduit dans un cercle d’écrivain. Il a une maladie, qui lui laisse une surdité qu’il se tourne donc vers l’écriture.  Ce poème est une Ode, un poème d’amour. Par lequel le poète cherche à séduire une jeune fille. Il s’agit d’un monologue

magistère en tant que clerc. Le 6 juin 1544, son père meurt. Ronsard se rend alors chez Lazare de Baïf et se laisse convaincre d'aller, avec Antoine de Baïf, suivre les cours de grec donnés par Jean Dorat. L'année suivante, il rencontre Cassandre Salviati qui lui inspirera des centaines de poèmes. En 1547, il s'installe au collège Coqueret, dont Dorat est principal, en compagnie d'Antoine de Baïf et de Joachim du Bellay où ils resteront plus de cinq ans. Ils décident de créer la Brigade

Château de la Possennière, près de Vendôme.     Il est d'abord mis au service de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.     Le 6 mars 1543, il est tonsuré (rasé) au Mans. Des bénéfices relatif a l’église lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel; ce qui

septembre 1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme.Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir. Ronsard ne fait pas d'études littéraires régulières, il apprend sous l'influence de beaucoup d'écrivains, d'abord auprès de l'hellénistre français Jean Dorat qu'il

"L’Hymne de l’Automne", Ronsard Il naît en 1524 dans une famille noble. L’humaniste Lazare de Baïf l’introduit, alors qu’il est page, dans les milieux lettrés. Vers 1550, il prend part à la pléiade avec son maître Dorat. Il connaît une gloire littéraire jusqu’à la fin de sa vie en 1585, notamment grâce à ses poésies amoureuses, d’éloge ou politiques. 1°) Une Muse personnifiée qui prédit l’avenir - Emploi des guillemets - v.17 "disait la nymphe" qui nous renseigne sur l’origine de l’énonciation

1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme. Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir. Cela lui permet de se consacrer à la poésie. En 1544, il fonde avec d'autres amis poètes le groupe de la Pleïade afin de définir de nouvelles règles poétiques.

(voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)) ; cette appellation sera adoptée par la postérité3. Outre le « meneur » Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf,Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. On considère souvent la Défense

Dans l'histoire de la littérature, la Pléiade est le nom donné à un groupe de sept poètes (Le créateur ; Ronsard. Et Du Bellay, Pontus de Tyard, Baïf, Belleau, Jodelle et Peletiers du Mans qui sera remplacé, à son décès, par Dorat). Ce groupe de génies de la langue française a été créé en 1549 par Pierre de Ronsard et ses 2 amis Du Bellay et Baïf au collège de Coqueret où Dorat était le principal. Avant de s'appeler la Pléiade, ce groupe portait le nom de la Brigade. Les poètes de l'école littéraire

Cette fonction lui offrit l’occasion de voyager : il fut envoyé en Flandre puis de nouveau en Écosse. Bientôt, une fonction plus importante lui fut offerte et il devint le secrétaire de la suite de Lazare de Baïf, le père de son futur collègue de Pléiade et compagnon à cette occasion, Antoine de Baïf. Il a été attaché de la même manière à la suite du cardinal du Bellay-Langey et sa querelle mythique avec François Rabelais date de cette époque. Cette carrière diplomatique prometteuse fut cependant

figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir. Il fréquente des poètes, des humanistes, des clercs, des gens de cour; il y participe activement à la vie des premiers salons et à l'activité de l'Académie de poésie