Le Beau Est Il Subjectif

nature ». Mais, tandis que l'activité  artisanale est orientée par des préoccupations utilitaires, l'activité de l'artiste vise une valeur spécifique: le beau. Ce qu'on appelle l'esthétique, n'est pas autre chose que la réflexion philosophique sur l'art. Réfléchir sur l'art c'est donc avant tout élucider le sens de cette valeur particulière qui est le beau. Réfléchir sur l'art c'est également questionner le rapport de l'art avec la religion, sa valeur comme faculté de résilience, ses rapports avec l'économie

Seine) Précisions chiffrées: le lieu est mesuré (adjectifs numéraux) (" Ce passage a trente pas de long et deux de large ") Précisions des détails : ( adjectifs de couleurs, de matières et de formes) ( adverbes) Un lieu sans esthétique : : Rien n'est Beau : décor sordide, misérable, crasseux, étroit, humide (Zola insiste beaucoup sur cet aspect : " suant toujours une humidité âcre " ; " dalles gluantes ", où la lumière ne pénètre pas " Par les beaux jours d'été, quand un lourd soleil brûle les rues

moyens. Mais qu’est-ce-que l’art ? 0n apparente souvent l’art au beau. Mais cette idée n’est qu’un mythe accepté par une majorité, faute de réflexion et de remise en cause, car la notion de beau varie suivant l’époque, le pays, la religion et une quantité d’autres facteurs. Prenons l’exemple des femmes girafes qui sont l’idéal de la beauté de certaines tribus thaïlandaises, cette vision se heurte totalement à la conception européenne du beau qui ne comprend pas de cou exceptionnellement long mais plutôt

produite par l'homme, il est nécessaire de distinguer la production technique, de la production artistique au sens de beau art ou d'art du beau. Différence qui s'établi en fonction de la finalité ou des buts que l'homme assigne à cesdeux types de production. Alors que la production technique est intéresser, vise l'utile, le domaine de la production artistique est désintéresser, vise le beau, c'est à dire la forme même de l'objet (en latin, forma= beauté). En effet l'œuvre d'art, à la différence de l'objet

L'expérience est: Tout d'abord un moyen, un instrument de recherche, un dialogue de l'esprit avec la nature. Ensuite une construction de l'objectivité scientifique ce qui exige un long travail rigoureux au cours duquel il faudra séparer le subjectif de l'objectif, ce à quoi nous ne pourrons peut-être jamais aboutir: comment délier l'un de l'autre sans refuser l'ambiguïté que manifeste l'expérience entre le donné et le construit L'expérience, en effet c'est ce qui est donné, qui me résiste

ostentatoire du luxe « émotionnel », concept de Lipovetsky. Nous nous aiderons pour cela de l’Analytique du beau, extraite de la Critique de la Faculté de juger, d’Emmanuel Kant. Le philosophe y explique que plusieurs types de plaisirs existent : l’un est logique, et est dans la représentation que l’on se fait d’un objet, l’autre est esthétique, et « le principe qui le détermine est purement subjectif », c’est-à-dire qu’il ne prend en compte que le sentiment du sujet, sans rien faire connaître sur l’objet

Cette poésie « moderne », bien que classique sur le plan formel, vient casser les codes stricts de la poésie classique qui étaient alors en place. Ceci dans un lyrisme emprunt du questionnement existentiel omniprésent dans le recueil. C’est la quête du Beau et de la sublimation par l’art, à travers la sollicitation des sens. « Une charogne » :Il fait partie de la section Spleen et Idéal, c’est le poème numéro XXIX. Ce poème nous plonge en partie dans un univers onirique (du rêve). Le poème raconte une

mais même d’une femme bien née ».  Logique avec lui-même, Platon ne recherche d’ailleurs pas le beau dans l’art mais dans le monde des Idées, le monde sensible, l’âme et le corps humains. Le Platonisme cherche en effet les modèles du beau dans la nature, les actions et la plastique humaines et, bien évidemment, dans le monde des Idées, parfait par définition. En bref, à ses yeux, l’art et le beau artistique ne sont que fantômes et tromperies, illusions au second degré de la vraie réalité, c’est-à-dire

identification avec l’esthétique. L’esthétique (du grec aisthesis, sensation) désignait jusqu’alors, en allemand la science de la sensibilité. Mais Baumgartner, dans sonAesthetica, fait de l’esthétique l’étude du Beau. Cette discipline traite du goût et de sa culture ou de sa formation chez les individus : le Beau est une perfection saisie par les sens. À la même époque en France, Diderot, que l’on qualifie souvent de premier « critique d’art » étudie lui aussi les manières et les goûts. Bien qu’aucune entrée

première au beau = la notion d’œuvre marque un accomplissement L’Œuvre ne se comprend pas de la même manière selon son contexte Le temps nous fait avoir une vision plus juste et plus précise de l’œuvre L’histoire de l’art a épousé l’idée d’une évolution propre et d’un art séparé > l’œuvre d’art organique = considérer l’ensemble des formes = propriétés de totalité Tout ce qui n’est pas une œuvre organique possède des parties indépendantes qui fonctionnent seules. Idée du beau = se distingue