Le Beau Et Le Laid Dans L Art

vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid ». Ce mouvement montre aussi le travail minutieux et acharné de l’artiste. Le culte du travail est l’élément fondamental du parnasse. On le compare souvent au sculpteur, qui doit transformer une matière difficile, la langue française, en beauté grâce à un travail minutieux demandant de la patience. Le poète, tel que l’écrivain peux dans un contexte historique (guerre mondiale, guerre de religion…) mettre son art au service

qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques

Cromwell (1827) ou Hernani(1830). En effet, « Hugo préconisa la liberté dans l’art : plus d’unité de temps, ni de lieu, plus de distinction entre la comédie et la tragédie, entre le beau et le laid, le grotesque et le sublime… Il faut mélanger les genres et offrir une peinture totale de la réalité. ».1 Pour légitimer ce nouvel art, Victor Hugo va déterminer les trois temps de l’évolution de l’art dans la Préface de Cromwell écrite en 1827. Il va mettre en lien l’art et l’évolution de la civilisation2, deux

eux, puisque tous les écrivains n’embrassent pas les idées républicaines. Hugo lui-même fut un fervent royaliste durant sa jeunesse. Le journalisme prend une importance toute nouvelle par lequel l’écrivain peut s’exprimer sur la société ou sur son art. La critique littéraire prend de l’essor et l’activité littéraire, entre autres grâce aux droits de propriété sur les œuvres, est peu à peu reconnue comme un travail sérieux, malgré l’attitude réservée, voire méprisante, de la bourgeoisie qui voit les

même temps qu'il discute de la part des sentiments réels et des sentiments « imités », simulés par le poète4. Il amorce la perception moderne du lyrisme en dépassant la condamnation des vains auteurs d'églogues ou d'élégies que vise Boileau dans son Art Poétique s'écriant « Leurs transports les plus doux ne sont que phrases vaines », même s'il admet que l'ode « entretient dans ses vers commerce avec les dieux »5. Le lyrisme sera cependant considéré pendant deux siècles (XVIIe – XVIIIe) comme une orientation

réalisme qui consiste à la reproduction la plus fidèle possible à la réalité accompagné de nombreuses descriptions. Tout ceci nous montre donc une description trop précise et donc plutôt flou du visage de Gwynplaine on comprend simplement qu’il est laid. b)effet comique Par sa laideur, Gwynplaine a un effet comique sur son public. Pour commencer, Hugo nous dit que Gwynplaine faisait rire les gens de par sa laideur comme «il guérissait les hypocondries » (l30), « il était à éviter pour les

qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine

non seulement des idées, mais des valeurs : selon une logique des principes et des sentiments8 : morales (le bien / le mal, le juste / l’injuste, la sincérité / le mensonge…) ou sociologiques (le convenable / le choquant…) ; esthétiques (le beau / le laid, l’attirant / le repoussant, l’exposé / le caché, l’admissible / le provoquant…) ; intellectuelles (le vrai / le faux, l’ordre / le chaos, le logique / l’absurde, le réel / la fiction…) ; pratiques (l’utile / le futile, le rentable / le superflu

captif est ridiculisé et torturé. La réalité semble donc incarner le Spleen, opposé à l’Idéal II-Un animal torturé (3 e quatrain) Citation Procédés Interprétation « Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !  Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! » Périphrase méliorative Antithèse Polyphonie ( discours direct avec ponctuation expressive) Antithèse → Oiseau associé à l’Idéal il renvoie au ciel Dépréciatif : l’albatros est passif, faible et maladroit. Il est méprisable →

a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Sommaire [masquer] 1 Éléments biographiques 2 Regards sur l'œuvre 2.1 Horreur et extase 2.2 Art poétique 2.3 Jeanne Duval 2.3.1 Poèmes lui rendant hommage 3 Principaux ouvrages 4 Éditions de référence 5 Voir aussi 5.1 Bibliographie 5.1.1 Ouvrages 5.1.2 Baudelaire dans la fiction 5.1.3 Articles 5.2 Articles connexes 5.3 Liens externes