Le Bleu du ciel

baisser l’intensité de la couleur rouge, verte ou bleu. Ainsi, lorsque ces trois couleurs se superposent sur Classe de Seconde Générale 1 Thème 1 : Sciences et Arts MPS T. Rossi Lampe  verte   Lampe  rouge   Figure 2 – Disposition des sources de lumières colorées dans le tableau de J.Raynes l’écran, on observe pas du blanc mais différentes nuances de couleurs à cause de la différence d’intensité entre le rouge, le vert et le bleu. Quand on prend une lentille ou un microscope pour

que le train ralentissait et s'arrêtait en grinçant le long des docks. Daniel avait ouvert la porte, il avait sauté sur la voie, et il avait couru le long du talus, jusqu'à ce qu'il trouve un passage. Il n'avait pas de bagages, juste un sac de plage bleu marine qu'il portait toujours avec lui, et dans lequel il avait mis son vieux livre rouge. Maintenant, il était libre, et il avait froid. Ses jambs lui faisaient mal, après toutes ces heures passées dans le wagon. Il faisait nuit, il pleuvait

Première partie : description La partie noire Le tableau, de grand format horizontal, est composé d’un large fond noir présentant une ouverture formée par un carré bleu ciel sur le haut du côté droit. Des couleurs vives et franches côtoient des teintes plus sombres. Sur la partie noire, des carrés peints de couleurs vives bleues et orange portent des croquis de têtes d’hommes. Au centre du côté droit, une tête de mort est peinte en blanc sous forme de traits-graffitis. Elle apparaît de manière

l’Homme observe le ciel avec un « autre œil » plus puissant : Galilée découvre ainsi le relief de la Lune et la structure stellaire de la Voie lactée. Le soir du 7 janvier 1610, peu après la nuit tombée sur Padoue (à 35 km à l’Ouest de Venise), il observe vers l’Est. Dans le champ de sa lunette, Galilée constate une disposition surprenante : le disque de Jupiter est aligné avec 3 étoiles, deux à gauche et une à droite (il pense alors que ce sont des étoiles du fond du ciel) et prend soin de noter

coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers et déchirait la Nature. » Au premier plan, titubant contre la balustrade d’un pont qui domine la mer soulevée comme par un spasme, un être hagard se serre les tempes à deux mains et crie sous un ciel sanglant

que, pour désigner la couleur, il emploie toujours rigoureusement le mot propre, à l'exclusion de la métaphore ? Le bras est-il toujours blanc, les cheveux toujours noirs ou blonds, le ciel toujours bleu ? Non. Nous voyons encore chez Victor Hugo des brus d'albâtre ou de neige, des cheveux d'or ou d'ébène, un ciel de saphir. le lui a reproché, et l'on a eu tort, car aucune contradiction. Victor Hugo n'a il On n'y a là voulu im- COULI ik, LA poser aux autres ni du mot propre :

arrière plan, deux ombres s'éloignent vers le lointain laissant le personnage principal sur le ponton surplombant un fjord, avec à droite un vertigineux précipice. Le peintre a construit le paysage en contraste, les montagnes d'un bleu sombre se détache des rouges et jaunes du ciel. La composition du tableau: L'opposition des lignes: Contrairement aux peintures en générale, les lignes de forces ne convergent pas vers un point de fuite situé au centre. Mais sur ce tableau, elles convergent vers un

une tente (pavillon de ténèbres tendues), à un mouchoir qu’on agite, au ciel (cheveux bleus (…) vous me rendez l’azur du ciel immense et bleu).   Les oxymores et les synesthésies permettent à Baudelaire d’établir des « correspondances » inattendues entre des réalités d’ordre différent : les oxymores « cheveux bleus », « mer d’ébène », « noir océan » suggèrent une correspondance secrète entre le bleu intense (du ciel, de la mer des tropiques) et le noir profond, le noir à reflets bleutés de

traduit une notion de durée aussi bien que d’opposition; “tout le jour”; rythme qui marque la durée, particulièrement dans les deux premiers vers qui enjambent et qu’il est impossible de couper : il n’y a pas d’arrêt dans cette bataille. L’“infini du ciel bleu” marque l’espace énorme. 2. Grand nombre des soldats: “en masse” (v 4), “cent milliers d’hommes” (v 6); remarquer l’emploi inhabituel du mot “milliers” qui crée un effet d’insistance. 3. Vers déconstruits qui rendent le vaste désordre

leur petit bras rond, Doux geste du réveil, ils avancent le front, Et leur vague regard tout autour d'eux se pose… Ils se croient endormis dans un paradis rose… Au foyer plein d'éclairs chante gaîment le feu… Par la fenêtre on voit là-bas un beau ciel bleu ; La nature s'éveille et de rayons s'enivre… La terre, demi-nue, heureuse de revivre, A des frissons de joie aux baisers du soleil… Et dans le vieux logis tout est tiède et vermeil Les sombres vêtements ne jonchent plus la terre, La bise sous le