Le Bleu du ciel

les gratte-ciel apparaissent, la ville a changé. Fascination / répulsion Lecture du texte A New York (extrait) New York ! D'abord j'ai été confondu par ta beauté, ces grandes filles d'or aux jambes longues. Si timide d'abord devant tes yeux de métal bleu, ton sourire de givre Si timide. Et l'angoisse au fond des rues à gratte-ciel Levant des yeux de chouette parmi l'éclipse du soleil. Sulfureuse ta lumière et les fûts livides, dont les têtes foudroient le ciel Les gratte-ciel

privilégié des jeunes, on pulpe et on bulle de 7 à 77 ans ! Etude des codes couleur Couleur pref des adultes : le bleu Le bleu : on estime qu’on est adulte, introvertie, calme, qui privilégie la réflexion, le concept sur l’action, aime le calme et la méditation. Le rouge : enfant, extravertie, l’action, passionné, réactif, colérique, aime le mouvement Le bleu : -symbole positif : vient du ciel, de l’air, du vent, l’idée de la couleur de l’abstrait, qui n’existe pas, immaterialité. Dans les religions

interroge la Sibylle de Tibur (Tivoli maintenant), une des douze prophétesses de l’Antiquité (comparées avec les douze prophètes bibliques au Moyen-âge) afin de lui demander si quelqu'un de plus grand que lui existait. La Sibylle lui désigne alors le ciel où est apparue la Vierge à l'Enfant dans un cercle d'or et lui annonce que cet Enfant sera le maître du monde. A la suite de cette annonce, Auguste fait élever un autel, “ l'Ara Coeli' , sur le lieu de cette apparition, l’église

sous des cieux plus beaux. Usant à I'envi leurs chaleurs dernières, Nos deux coeurs seront deux vastes flarnbeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Commentaire

élément qui préoccupe le peintre est apparemment le décor. Il se soucie donc de l’arrière plan du tableau où il compte disposer « un escalier », « une grande colonne » et « des architectures » ainsi que « des massifs d’orangers ». Il visualise aussi le ciel de son futur tableau. Cette attention à l’arrière plan du tableau pose la question de l’importance des différents plans. En effet, Pellerin accorde ici beaucoup d’importance au fond et peu à la jeune femme. Contrairement à la définition citée plus

Lui - Ta poitrine sur ma poitrine,Hein ? nous irions,Ayant de l'air plein la narine,Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigneDu vin de jour ?...Quand tout le bois frissonnant saigneMuet d'amour De chaque branche, gouttes vertes,Des bourgeons clairs,On sent dans les choses ouvertesFrémir des chairs: Tu plongerais dans la luzerneTon blanc peignoir,Rosant à l'air ce bleu qui cerneTon grand oeil noir, Amoureuse de la campagne,Semant partout,Comme une mousse de champagne,Ton rire fou :

" "-Non" (v.10) => Questions longues alors que les réponses sont brêves, c'ets l'anéantissement de l'espoir. Chiasme : "grand l’espoir" (v. 13) "l’espoir a fui, vaincu" (v.14) ; « bleu, le ciel » (v. 13) « ciel noir » (v. 14) => opposition passé (heureux) / présent (sans relation). Ciel bleu = azure, idéal Ciel noir = spleen, ennuit. pronom personnel de la deuxieme personne du singulier & du pluriel :"te" (v.7) ; 'ton" (v.9) ; "tu" (v.10) ; "vous" (v.8) => créer une distance / rapprochement

profondeur de Champ et de Pouvoir Reproduire de Nombreux détails les pavés de la rue reflétent une multitude de tons Bleus Jaune Rose Violets Le ciel Est Celui de la nuit étoilée sur le Rhone Toile réalisée peu de temps après ou de la nuit étoilée Tableau Daté de l’année Suivante le Contraste entre les jaunes orandes des murs et de l’éclairage et des bleus du ciel et des façades est un des contrastes entre complémentaires ces deux couleurs primaires contrastent fortement surtout que Vincent aime a outrer

est une peinture murale[1]. Cette œuvre a la particularité d’être peinte sur différentes parties : la partie centrale avec le sujet principal, deux panneaux angulaires entourant le centre et le plafond peint représentant la Fortune, volant dans un ciel vide, annonçant à des personnages accoudés à une balustrade l’arrivée illustre du futur roi de France. La forme de la fresque du plafond est courante chez Tiepolo : un rectangle rogné aux angles par quatre demi-cercles. La fresque centrale mesure

le tiers supérieur étant consacré au ciel et les deux tiers inférieurs au port et à la mer. Cependant, tout est esquissé, les silhouettes des bateaux se détachent à peine du reste du tableau, baigné dans le flou de l'atmosphère du grand port. Cela place cette œuvre à la frontière de l'abstraction, si le soleil et la barque ne venaient pas guider le spectateur à décrypter la scène. Le ciel et la ligne d’horizon occupent le tiers supérieur du tableau. Le ciel et la mer sont de vastes zones de reflet