Le Bleu du ciel

qui souffre. L’auteur de cette peinture nous montre les cadavres mais, il a aussi voulu rendre important la tranchée très délabré autour des morts. Le ciel est très bleu, et le sable commence peu à peu à recouvrir les deux soldats allemands. Cette peinture ne me plait pas forcément, je trouve les couleurs se ressemble toute, hormis le bleu du ciel, mais elle me fait beaucoup penser à la fin du livre « A l’ouest rien de nouveau » de Erich Maria Remarque : «  Il tomba en octobre mil neuf cent dix-huit

fasciné par la couleur exceptionnelle des yeux d'Elsa Triolet, insiste sur des images évoquant la couleur ou l'éclat : "l'océan troublé", "bleu", "azur", "prisme des couleurs", "iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé", métaphore du "manteau de Marie" évoquant le bleu profond des peintures de la Renaissance, "lavande" et même l'éclat bleuâtre du "radium"... Le bleu est décliné de toutes les manières possibles, tandis que la lumière, l'éclat caractérisent également ce regard : "soleils", "clairs"

temps il la respecte. « l’infini du ciel bleu » (v. 2), évoquent la pureté et l’innocence , il expriment aussi la pureté de ce ciel , une pureté naturelle . Mais la Nature sacrée du poète est souillée par la guerre. Le contraste entre la guerre et la nature est marqué par la symétrie entre « pauvres morts ! » jusqu'au début du vers suivant. De même, la rime entre « ciel bleu » (v. 2) et « feu » (v. 4) est l’opposition entre la nature et la guerre . Le bleu et le vert sont associés à la nature

où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne

Catégorie : Roman Nombre de pages : 93 pages Genre : Récit Roman  Recueil de poèmes  Pièce de théâtre  BD  Manga  Mythologique Policier  Epique  Fantastique  Science Fiction  Autre  Les personnages, les lieux, l’époque : Loup Bleu et sa famille : Flamme Noire, sa mère et Paillette, sa sœur Afrique N’Bia, le garçon Toa, le marchand et son chameau (Casserole) P’pa Bia et M’man Bia, ses parents adoptifs Les animaux d’Afrique De nos jours peut-être ? Un zoo. En Alaska et en

couvert de fleurs de nénuphars blancs, roses et jaunes et de grandes feuilles. Un pont « japonais » bordé par la verdure dense du jardin surplombe l’étang. La végétation luxuriante envahit la toile, ne laissant apparaître qu’un minuscule coin de ciel bleu. Il est intéressant de remarquer que malgré son âge, Claude Monet recherchait toujours de nouveaux motifs et de nouveaux procédés de peinture. Les touches sur le tableau sont variées, elles prennent tantôt la forme d’une virgule (la verdure près

bruit « j'écoute » (v.1) , « grogner » (v.5), « La nuit crisse » (v.8) « la voix maternelle » (v.19), « l'on criait » (v.20) ; c'est comme si le seul sens qui restait actif était l'ouïe, elle écoute car elle ne voit plus rien que les murs et un bout de ciel: elle est en cellule. Joachim Du Bellay, lui, souffre d'étre loin de chez lui, il se plaint de son exil et comparent ses tourments à une prison, c'est d'ailleurs le mot qui clôture le poème. « Vu le soin ménager dont travaillé je suis/ Vu l'importun

point de vue légèrement surplombant contribue à minimiser l’occupation indéfinie du pompiste. Cette œuvre comporte quatre plans, ils sont reconnaissables grâce aux ombres et lumières et surtout, grâce aux superpositions. Ces plans sont composés, du ciel, du bois, de la route et ensuite des autres éléments (pompes, maison, homme). C. Formes Les formes sont figuratives, et paraissent simples, on reconnaît chaque chose présente sur l’œuvre. Les formes sont réalistes car elles ne sont pas déformées

souffrance. Cet avant-plan prend un quart du tableau. On repère aussi un plan moyen où l’on voit le navire principal avec ses grandes voiles flottant au vent. Il prend quant à lui la moitié du tableau. Et enfin, il y a un arrière-plan avec le ciel, large et bleu. Ce dernier est sombre d’un côté et plus clair de l’autre. Il recouvre le dernier quart de l’œuvre. On peut envisager le plan intermédiaire avec l’aperçu des navires au loin. Ces plans sont mis en axialité horizontale, qui se superposent les

blanche, observation 3.1 Addition RVB = Addition (RVB = Rouge, Vert, Bleu) Si j'ajoute à la lanterne verte une lanterne rouge, la mélange des lumières sera jaune. La lumière jaune vient de deux lanternes, elle est plus claire que la lumière de la lanterne verte ou rouge, il ne manque qu'ajouter de la lumière bleue pour y avoir du blanc. Ergo marteau, le jaune et le bleu se complètent, ce sont les couleurs complémentaires. Le bleu, le rouge, le vert sont les couleurs primaires, le jaune le cyan et