Le Bonapartisme De

contre l’Etat Cette organisation va déboucher à un conflit politique entre la chambre et le gouvernement. En septembre 1816, Louis XVIII va dissoudre la chambre. B. LA MONARCHIE SOUS LOUIS XVIII ENTRE 1816- 1824 1. Les forces politiques a) Bonapartisme :retrouvé en milieu rural et au sein de l’armée. Ces partisans espèrent que Napoleon II va reprendre le pouvoir en France. b) Républicain : groupe minoritaire issu de la Révolution, menacé par le pouvoir en place. Ils sont sur la réserve. Ils

tradition et contre le changement, et la gauche pour la révolution.Si la gauche s’est scindée en deux ailes fratricides (les socialistes et les communistes) pour des considérations tactiques, de son côté la droite à entretenu une vieille dualité : le bonapartisme et l’orléanisme.III) L'atténuation du clivage droite / gauche.Jamais les élites politiques ne se sont autant battues pour maintenir la fiction d’un clivage devenu un rideau de fumée. L’histoire de la France contemporaine illustre bien qu’à l’heure

exploitation habile de la politique d'ordre moral après le renvoi du trop populaire Thiers, rôle modérateur de Léon Gambetta, chef de file des républicains - rapprochement entre républicains et centre droit devant la renaissance du bonapartisme - amendement Wallon (1875) : voté à une voix de majorité par la Chambre des députés, cet amendement confirme «la nature républicaine» du régime - succès électoraux des républicains : élections partielles et élections législatives

traditionaliste et/ou royaliste.  l'orléanisme (plus opportuniste, plus « bourgeois »), qui s'incarne dans la tradition libérale. Elle conserve de son passé de gauche le parlementarisme, mais reprend l'élitisme de la droite contre-révolutionnaire.  le bonapartisme (plus autoritaire et charismatique, plus « populaire »), dans la filiation duquel s'inscrit le gaullisme sans s'y réduire. Elle a en commun avec la gauche son attachement au suffrage universel, et au peuple, mais partage l'antiparlementarisme du

« Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique français émerge au xixe siècle, le bonapartisme, se revendiquant de l'action et du mode de gouvernement de Napoléon.

expression est de Duverger. Les 10 années de révolution ont laissé la France coupée en deux : les républicains antis cléricaux et les monarchies catholiques qui veulent retourner à l’ancien régime. Le centre existe mais il est minoritaire. Section 2 – Bonapartisme, monarchie, République (1799-1870) C’est la période post révolutionnaire qui s’étend jusqu’à la 3ème République. Durant cette période on a une succession de régime : d’abord le consulat et le premier Empire (1799-1814) avec Napoléon qui est Consule

maintenir Mac-Mahon au pvr → 20/11/1873 : allongement du pvr de Mac-Mahon : septennat. Évolution favorable aux républicains : longévité du duc de Chambord division des monarchistes progrès électoral des républicains renaissance du « péril » bonapartisme ( prince impériale très très populaire → new candidat bonapartiste qui ont des élus ) 2) le vote des lois constitutionnelles 30/01/1875 : « amendement Wallon » 353 voix contre 352 → président élue par le sénat et la chambres // le rôle du président

militant de base. b) Un changement de temporalité Cela renouvelle l'approche politique. Elle s'interresse a la filiation idéologique et aussi a la généologie de la droite c'est a dire a une origine contre révolutionnaire. Elle s'interesse aussi au bonapartisme (neutralise le législatif). c) La sociologie du droit Weber s'interrese aux représentations du croit. Il veut rompre le tête à tête entre l'histoire et la sociologie c'est ce qu'on apelle une imbrication disciplinaire. II- LES NOUVEAUX DEFIS

« Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique français émerge au xixe siècle, le bonapartisme, se revendiquant de l'action et du mode de gouvernement de Napoléon.

scrutin de liste et permettant aux candidats ou aux listes dits "apparentés" d'additionner leurs suffrages afin d'atteindre ensemble la majorité nécessaire pour emporter la totalité des sièges à pourvoir. Appel au peuple : technique utilisée par le "bonapartisme" pour susciter la confiance populaire (plébiscite). Arrêté : acte administratif pris par un ministre, un chef de service, un préfet ou un maire. Arrondissement : circonscription ayant servi sous la majeure partie de la IIIe République pour l'élection