Le Bonheur Chez Rousseau

   Rousseau (1712-1778), est né dans une famille de protestants. Il fuit sa maison très jeune et rencontre Mme de Warens. Il se convertira au catholicisme. Le livre Discours sur les sciences et le arts  le fera connaître en 1750. Rousseau s’oppose à la civilisation. Il prône une vie simple et naturelle. Il rompt avec le catholicisme, se fâche avec Voltaire. Il a écrit des articles musicaux pour l’encyclopédie. Il sera condamné, il s’exilera. Ses œuvres principales sont : Julie ou la nouvelle Héloïse

Confession de rousseau la fessée I – Un aveu difficile à faire I – Un aveu difficile à faire 1) Lexique employé Fessée : « punition des enfants » l ; 397 « menace d’un châtiment » l ; 399 « châtiment » l.402, 422, 429 « correction » l. 413 « traitement » l. 405 « récidive », « seconde fois » l. 418 et l. 421 L’auteur cherche à rendre vague, à rendre flou le mot : « fessée »en utilisant des euphémismes. « je me conservais pur de toute souillure » l. 437. Il veut dire par cette

Texte : Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau (Livre 6) (1764) Problématique : Dans quelles mesures la place de la mémoire révèle les circonstances épicuriennes et étranges du narrateur ? Plan : 1- Les circonstances du bonheur du narrateur A) La façon dont le bonheur est envisagé par le narrateur B) Le bonheur déjà présent chez lui même 2- La place de la mémoire dans cette théorie épicuriennes A) Le passé du narrateur et son séjour chez Mme De Warens B) La signification

sur le bonheur. Voltaire écrit un poème satirique Le Mondain à 42 ans. Il croit au progrès de la société fondé sur la civilisation et l'échange pacifique commercial. Cette fois dans le progrès est associé au blâme envers l'église et pense que le bonheur ne réside pas dans la possession de bien terre. Nous avons donc un texte épidictique ( éloge du progrès et blâme de la pensé de l'église). Le question du bonheur est une science qui s'appelle le démonisme Voltaire affirme que le bonheur se trouve

La Nature est une thématique importante dans les Confessions de Rousseau comme dans le reste de son œuvre (on pense aux Rêveries du promeneur solitaire, à l'importance de la notion d' « état de nature » dans le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes). Lieu de simplicité et de beauté, elle est une source de jouissance et de contemplation inépuisable pour celui qui publiera un traité de botanique en 1805 (et qui s'intéressera à la création de quelques herbiers), mais

miracles, …) Le superticisme est généralisé: le philosophe. Les philosophes du dix-huitième siècle veulent soumettre toutes croyances au jugement de la raison. Ils pensent que c’est bien d’être athée, qu’il y a bien plus de valeurs évangélique que chez les croyants eux-mêmes et cela tout simplement par soucis d’humanités. Mais tous les philosophes du dix-huitième ne sont sont pas athées: - Diderot est un moraliste athée( voir lettre sur les aveugles). - Voltaire est déiste ( finaliste, croit aux

Introduction Le concept de citoyen a une place fondamentale dans la philosophie politique de Rousseau, mais pas seulement. Le sentiment de citoyenneté est fortement enraciné dans son caractère, et ses écrits autobiographiques en témoignent. Même si le citoyen de Genève peut être présenté comme le laudateur de la solitude, comme le défenseur de l'existence solitaire, on doit considérer que cette existence n'est que le revers nécessaire d'une médaille dont la face est peu glorieuse. La solitude

allons étudier ici un corpus de trois textes sur l’idée du bonheur. Il est composé des Pensées  de Blaise Pascal, 1670 ; du Discours dur l’origine des fondements de l’inégalité parmi les hommes de Rousseau, 1755 et Le Mondain de Voltaire, 1736. Ils ne font pas partie du même mouvement littéraire, en effet Pascal appartient au Classicisme alors que Rousseau et Voltaire font partie des Lumières. Il s’agit ici d’étudier l’idée du bonheur chez les différents auteurs. Les Pensées de Blaise Pascal sont

étant une réalité absolue. Cependant, il est mis en avant que la définition du mal comme étant la négation du bien n'est pas la seule qui existe. En effet, comment peut-on définir le mal comme étant un moindre bien si le mal entraîne un déséquilibre chez l'homme qui le commet ou ceux qui l'entourent ? Pour Bergson, le mal est une réalité absolue, ainsi on ne peut réfuter son existence où encore le définir à travers le bien. En effet, il est difficile de distinguer le bien du mal. Mais pour pourtant

Jean-Jacques Rousseau Table des matièresTable des matières I. Biographie 2 II. Les Rêveries du promeneur solitaire : analyse de l'oeuvre 5 A. Présentation Générale de l’œuvre 5 B. Présentation et analyse de chaque promenade 5 Première promenade 5 Deuxième promenade 7 Troisième promenade 8 Quatrième promenade8 Cinquième promenade9 Sixième promenade 10 Septième promenade11 Huitième promenade11 Neuvième promenade11 Dixième promenade12 I. Biographie Jean-Jacques Rousseau voit le jour