Le Bonheur Depend Il De La Liberté

entre son attirance pour cette belle demoiselle et sa conscience qui lui dicte agir en tant qu’ami et de peser le pour et le contre. Il se met à penser longuement, mais au final, avec les plus grands regrets, il renonce à la fille pour l’amitié et le bonheur de son ami. Comme le dit si bien Stendhal qui est l’auteur de « Le Rouge et le Noir » ou encore de « La Chartreuse de Parme » entre autres, « Penser, fait souffrir ». L’activité de la pensée implique un questionnement intérieur et de cette problématique

Remarque : La question du devoir va être traité dans le chapitre sur le bonheur et la liberté. Chap I Bonheur et morale Dans notre société, il semble qu’il faille toujours avoir l’air heureux. Par bonheur, nous entendons l’état de satiété, l’accomplissement de soi qui peut donner le sentiment d’une immortalité. Le bonheur est-il bien la finalité que les hommes s’assignent à eux-mêmes ? Paradoxe, si le bonheur est le but de chaque homme, comment expliquer que si peu le soit ou même que

l’origine du discernement de ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est convenable et ce qui ne l'est pas, ce qui vaut et ce qui est indigne. De plus, si la conscience morale sacrifie l’intérêt immédiat, ce n’est jamais que pour nous assurer un bonheur futur. De même, si elle sacrifie nos intérêts égoïstes, c’est en faveur de ceux d’autrui. « Avoir bonne conscience », c’est avoir le sentiment de n’avoir rien à se reprocher, d’avoir suivi les valeurs morales que nous dictait notre conscience. Ainsi

cette conception de la « conscience morale » : elle nous est donnée et nous dispense même des règles. Nous nous attacherons davantage à l’approche psychologique de la conscience afin de savoir si « elle est source de liberté ou de contrainte ». Nous verrons comment conscience et liberté sont étroitement liées et pourquoi l’homme peut parfois préférer l’inconscience. Source d’épanouissement et d’effort, en quel sens la conscience est-elle la plus grande tâche de l’Homme ? | | | 

peut donc dire pourquoi il fait ce qu'il fait, justifier ses actes, en donner les raisons. Or, ces raisons, ces motivations ne sont-elles pas des causes qui prouvent un caractère illusoire de la liberté ? Agir librement , est-ce donc agir sans raison, spontanément gratuitement ? Mais une « telle liberté d'indifférence » (Descartes) est elle possible ? Est ce différent de l'insensé, de l'absurde ? N 'est ce pas au contraire l'action bien motivée par la raison qui est libre ? Agir librement n'est ce

controlable qui survienne en un instant et qui s'inscrive en nous durablement. Le désir est un sentiment assez particulier car il procure tantôt une souffrance à l'étre humain car il est source d'éternel insatisfaction et tantot il va procurer un bonheur sans égal , et sera source de plaisir. Le désir cherche donc à etre controlé car il est trop permanent dans notre esprit, il donne donc lieu a de divers courant philosophique. Cependant, le désir étant un sentiment tres instable, et confus comment

l'origine de la vertu[24], et de la douleur le mal (la privation de bien). Elle nous enjoint de rechercher le Souverain bien, et d'atteindre l'ataraxie. Kant critiquera la morale épicurienne (et stoïcienne) au motif que la vertu peut aller contre le bonheur personnel[25]. L'atomisme de Démocrite implique la négation du libre-arbitre. Et s'il est nécessaire que nous agissions comme nous le faisons, nous ne sommes pas responsables de nos actions. C'est pourquoi nous avons vu qu'Épicure avait introduit

de ceux qui noient leurs déplaisirs dans le vin, ou les étourdissent avec du pétun3.M ais je distingue entre le souverain bien, qui consiste en l’exercice de la vertu, ou, ce qui est le même, en la possession de tous les biens dont l’acquisition dépend de notre libre arbitre, et la satisfaction d’esprit qui suit de cette acquisition.C’est pourquoi, voyant que c’est une plus grande perfection de connaître la vérité, encore même qu’elle soit à notre désavantage, quel’ ig norer, j’avoue qu’il vaut

Cours 1.1 – Le bonheur, le désir Plan de travail I – Tester ses connaissances A. Exercices – Adresse internet : http://goo.gl/BjCHYu B. Questions de cours 1/ Quelle distinction conceptuelle peut-on faire entre le bonheur et le plaisir ? 2/ Que signifie l'idée de Kant selon laquelle le bonheur est un “idéal, non de la raison, mais de l'imagination” ? 3/ Que signifie l'image du tonneau percé que propose Platon ? 4/ Quelle distinction conceptuelle peut-on faire entre le besoin et l'envie ? 5/ Qu'est-ce

Lettre à Ménécée d'Epicure ou encore La Puissance d'Exister de Michel Onfray. Epicurisme : Doctrine axée sur la recherche du bonheur afin d'atteindre la sagesse et la tranquilité de l'âme. Le but de l'épicurisme est d'arriver à un état de bonheur constant et de sérénité tout en supprimant les plaisirs ni naturels, ni nécessaire, afin de ne pas souffir. Il propose un idéal de bonheur et une vision du monde où ni les Dieux, ni la mort ne sont à craindre. Il est cependant en concurrence avec le stoïcisme