Le Bonheur Divin Aristote

classique (XVII° siècle) - La comédie au XVII° siècle - Le théâtre au XX° siècle Le drame bourgeois Le théâtre existentialiste Le théâtre algérien Analyses de pièces de théâtre selon le genre et l’époque abordés Bibliographie : -ARISTOTE, Poétique, PUF, 1999. -COUPRIE, Alain (1998), Lire la tragédie, Dunod. -RYNGAERT, Jean-Pierre (1999), Introduction à l’analyse du théâtre, Dunod. -DANAN, Joseph, RYNGAERT, Jean-Pierre, Eléments pour une histoire du texte de théâtre, Dunod. -BERTRAND

/ droit naturel Section 2. Le droit positif comme droit naturel objectivé TITRE I. LE DROIT DES ANCIENS Chapitre I. La fondation aristotélicienne du droit et son héritage romain Section 1. Platon et l'idéal de justice Section 2. Aristote et le droit comme mesure du partage des biens Section 3. La fondation romaine de l'art juridique Chapitre II. La philosophie chrétienne du droit Section 1. Le droit chrétien augustinien Section 2. La compréhension thomiste du droit

de l’armée respectent les lois prescrites et les coutumes en vigueur, notamment en ce qui concerne le partage des butins. II. Des moyens différents de parvenir à la moralisation Polybe ne conçoit guère la moralisation sans les prescriptions divines adossées aux lois, tandis que Cicéron est partisan de lois purement laïques A. Polybe, une moralisation inspirée par la religion Il prend la religion pour le meilleur moyen d'affermir et de maintenir l'ordre politique. L’historien Alvarez de

Surproduction d’êtres artificiels dans la nature Pollution. Donc pourquoi l’Homme participe-t-il d’une hypothèque à long terme de l’existence de toute vie sur Terre ? L’Homme a peut-être oublié qu’il est primordialement un être naturel, qu’il n’est pas divin, qu’il a besoin de la nature. Descartes : C’est le coté malin de l’Homme, il trouve toujours des artifices pour pouvoir satisfaire des besoins que la nature ne peut satisfaire seule. La technique est une condition de l’Homme de persévérance dans

brille d’un éclat trompeur, combattre l’ignorance et la superstition, ne pas s’idolâtrer soi-même par un Ego démesuré. Puis vinrent les 10 commandements donnés à Moïse. Saint Augustin en parle comme la synthèse des devoirs inspirés par la Charité divine..Ce Décalogue est à la fois un code religieux, moral et juridique qui a fondé les valeurs de l’éthique judéo-chrétienne encore en vigueur à ce jour. Des codes moraux et juridiques existaient déjà dans la plus haute antiquité en Mésopotamie, comme

Imposée, sans déclaration expresse, par l'usage, la coutume, la tradition. Formulée et promulguée en termes authentiques, par l'autorité souveraine d'une société. Les lois de cette sorte sont appelées positives a contrario des lois morales ou divines, considérées comme naturelles. Exprimant la volonté de Dieu (testament, Bible ?). En tant qu'elle exprime la volonté de Dieu par des règles générales et promulguées, la Loi s'oppose à la Grâce (Justice?). Par suite, exercice d'une autorité ;

désir comme manque 1.Le désir est manque (Platon) 2.Le désir est souffrance (Schopenhauer) 3.Le désir est second par rapport à la pensée (Aristote) 2.Le désir comme excès 1.Le désir est l'expression de notre puissance (Spinoza) 2.Le désir est joie (Spinoza) 3.Le désir est créateur 4.La cristallisation (Stendhal) 4.Comment atteindre le bonheur ? 1.Satisfaire nos désirs : l'hédonisme 1.Satisfaire tous nos désirs (Calliclès) 2.Satisfaire certains désirs seulement (Epicure) 2.Modifier

désintéressée, ou même d’une manière qui va à l’encontre de leurs intérêts ? La religion fut la première solution apportée à ce problème social fondamental : par la menace d’un au-delà régi par la justice divine, elle pousse les hommes à respecter la morale par crainte de la vengeance divine et le désir du paradis. A. Moïse, Jésus, Mahomet 1. Les dix commandements Toute religion contient une morale. Dans chaque religion on trouve l’énoncé d’une « règle du jeu », d’une conduite de vie

qu'il ne faut pas chercher à savoir ce qu'est le bien et le mal, mais que la morale est une attitude que l'on doit s'imposer par devoir. Et c'est justement le fait d'agir selon ce devoir qui rend l'attitude morale. Saint-Thomas d'Aquin qui fut avec Aristote puis Hegel, l'un des trois philosophes dont la pensée fut déterminante pour l'histoire de la philosophie, avait distingué onze péchés de natures différentes. De plus, pour lui le bien et le mal n'étaient rien d'autres qu'une réponse, en fait deux

IVe siècle est représentée plutôt par Aristote, disciple de Platon, mais aussi son principal critique. Aristote est préoccupé lui aussi par la cité idéale (formule fameuse :l'homme est un animal politique) . Mais dans La Politique la démarche est très différente de la méthode platonicienne. Il reproche à son maître d'avoir cherché à construire une cité abstraite où régnerait la justice, mais au prix de contraintes jugées impraticables et inhumaines. Aristote part de l’observation des mœurs de son