Le Bonheur Est Il Individuel Collectif Ou Universel

Faculté de Droit d’Agdal Cycle de licence, option : Droit en français / Semestre IV « Aperçu sur les principaux textes à vocation universelle en matière des droits de l’Homme ». Exposé préparé par : Abdellah Alaoui Yazidi Abdellah Sbaihi Sommaire Introduction L’émergence du Droit international des droits de l’Homme est étroitement liée au développement du système démocratique. En effet, la protection juridique des libertés et droits fondamentaux résulte des processus de lutte contre

pour le sport est la preuve d’un désintérêt pour la société. Le sport est présenté comme un fait social universel car il a la capacité de rassemblé tous le monde par son accessibilité. Dans un premier temps, nous verrons que le sport est sous l’emprise des médias. Et ensuite nous tacherons de voir comment le sport endort les foules. Le sport permet la manifestation de passions individuelles et collectives, il provoque chez les spectateurs des réactions de ferveur. Le besoin de se réjouir ensemble

"Un coeur intelligent", d'Alain Finkielkraut Ecrit au cours d'une récente retraite imposée par la maladie, le dernier essai d'Alain Finkielkraut est un véritable bonheur de lecture. Aux maladresses, parfois provocatrices, de l'homme médiatique, j'ai toujours préféré la subtile clairvoyance de l'écrivain, surtout quand il parle de littérature, domaine où il allie à une intelligence aiguë une grande sensibilité. Un coeur intelligent trace un magnifique portrait de la littérature sous les traits

certaines opinions audacieuses pour l’époque, il fige son image de philosophe officiel réactionnaire et anti-libéral. - LE LIBERALISME → XIX : « C’est en cherchant son intérêt individuel que chacun contribue au bien-être collectif » HEGEL : La ruse de la raison : (faire shéma) ⇒ La somme des égoïstes individuels (=chacune veut plus de place) et il advient que les individus percent la grotte et ça devient un changement d’époque → PROGRES ⇒ Les activités réelles sont toujours bonnes → tout

par la volonté de mettre en place des communautés idéales modèles selon des modèles divers, certaines régies par des règlements très pénibles, d'autres plus libertaires ; certaines communistes, d'autre laissant une plus grande part à la propriété individuelle. Le socialisme utopique se caractérise surtout par sa méthode de transformation de la société qui, dans l'ensemble, ne repose pas sur une révolution politique, ni sur une action réformiste impulsée par l'État, mais sur la création, par l'initiative

liberté est pour le stoïcien, une liberté d’acceptation car pour lui, il ne s’agit pas de simplement se soumettre à l’ordre des choses mais l’accepter librement et cette liberté d’acceptation est au cœur du stoïcisme ce qui ouvre la possibilité au bonheur. Le stoïcien est celui qui vit ici et maintenant et qui accepte de vivre ici et maintenant. Le quatrième élément est ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Dans la philo stoïcienne on n’a aucune prise sur ce qui ne dépend pas de nous

et décider collectivement du présent et de l’avenir de la société civile. La politique est donc l’art d’institutionnaliser les procédures, les lieux et les moments qui permettent aux individus d’une même société de prendre en charge leur destin collectif. En ce sens, on appellera citoyen l’individu à qui l’on reconnaît le droit et à qui l’on accorde les moyens de faire de la politique. La politique n’est pas en ce sens propre à la nature humaine. Les hommes ont en effet déjà appris à vivre ensemble

? Le despotisme éclairé comme le qualifiait les philosophes rationalistes du XVIIIe siècle trouve-t-il une justification, y compris dans la société d’aujourd’hui ? Disciples des philosophes, ces souverains œuvraient pour le bien de l’Etat et le bonheur de leurs sujets, dans le sens du progrès et conformément à la pensée des Lumières. Cet absolutisme semblait alors légitimé par la raison. Avec cet éclairage, l’action de Napoléon Ier prend sens. En effet, le consulat issu du coup d’Etat du 09 novembre

pouvoirs, développée par Montesquieu, peut au premier abord paraître s’inscrire dans la tradition du régime mixte. En vérité elle se fonde sur le principe suivant lequel « le pouvoir arrête le pouvoir » et son objet est de sauvegarder la liberté individuelle – impératif libéral ignorée par les Anciens. La constitution républicaine selon Kant et la plupart des philosophes des Lumières est celle qui a pour but la plus grande liberté possible et qui garantit par la loi la coexistence des libertés ; la

(2). Ainsi se manifestent, en même temps que le besoin du sujet d’affirmer sa singularité, un rejet de l’altérité qui est le symptôme de sa fermeture sur lui-même. De même, on ne peut ignorer, si l’on considère les conditions d’appartenance au collectif, « la quasi-nécessité de la clôture de l’institution sociale »(3)  ;cette clôture, écrit Castoriadis, est exigée par « la quasi-nécessité pour l’institution de la société de se clore, de renforcer la position de ses propres lois, valeurs, règles