Le Bonheur Est Il Individuel Collectif Ou Universel

qui constitue ce bien-être. Il est donc nécessaire de fixer une image de bonheur, de satisfaction : un modèle. On voit alors comment un bonheur au contenu prédéfini par un supposé tiers (l Etat) est l ennemi même du bonheur. Doit-on se laisser dicter par l Etat ce qui constitue notre bien-être ? Sans convoquer nécessairement la figure de l état totalitaire, du tyran, on assiste rapidement à une sorte de dérive du bonheur obligatoire. Un modèle prédéfini du bien-être culpabilise et stigmatise les

péroraisons du précepteur : le rappel mécanique de la théorie optimiste de Leibniz 2. Le philosophe : a. la logique formelle : le raisonnement de Pangloss est basé sur des figures formelles et non sur des vérités universelles : « Il est démontré que… est au mieux » b. une logique inversée : Pangloss inverse le raisonnement notamment par le faux rapport logique : « le statut de seigneur lié avec portes et fenêtres » c. la relation cause/effet :

** Problématisons.. La technique nous permet-elle de dire que notre civilisation est supérieure aux autres, contribuant ainsi à notre bonheur ? Civilisation n'a plus le sens qu'il avait il y a une cinquantaine d'année. Actuellement, il désigne une forme de culture propre à un ensemble de pays ou à un pays. Notre civilisation désigne probablement la civilisation occidentale à laquelle nous appartenons et il est vrai qu'en occident la technique s'est développée avec la méthode expérimentale et

Qu’est-ce que le bonheur ? Dans Les Pensées, Pascal écrit « Tous les hommes recherchent d'être heureux. Cela est sans exception, quelques différents moyens qu'il emploient  ». La question du bonheur semble alors omniprésente, et touche aussi bien la psychologie que la philosophie, qui dès lors n’apparaît pas seulement comme un savoir, une science, une réflexion, mais bien une pratique liée à l’existence, existence menée apparemment par un impératif, une idéologie dominante, qui semble se confondre

A travers les âges et les cultures, l'aspiration au bonheur semble être une quête universelle et intemporelle de l'humanité. Pourquoi tous les hommes, sans exception, désirent-ils être heureux ? Cette question a suscité des réflexions et des débats au sein de la philosophie depuis des siècles. Elle soulève une problématique fondamentale qui interpelle l'ensemble de l'humanité : pourquoi sommes-nous constamment à la recherche du bonheur ? Dès les premières années de notre vie, nous sommes

deux visions sont fortes éloignées l’une de l’autre. Puis, nous abordons l’organisation de la cité. Non pas le plan d’organisation mais pourquoi cette organisation est, d’après Platon, indispensable à une cité harmonieuse. Pourquoi liberté et bonheur sont intimement liés dans la philosophie de Platon ? Comment un homme libre serait un homme contraint ? Pourquoi l’ordre hiérarchique mis en place dans la cité par le dirigeant n’est pas un musellement ? La liberté de l’homme, d’après Platon, ne

situons-nous ? protection de la nature ? protection de l’homme à travers la nature ? Le bonheur  le bonheur doit-il être un objectif privé ou bien un objectif public ? I. La recherche du bonheur par l’être humain s’est tardivement traduite en objectif politique 1. La recherche du bonheur, ancrée dans l’être humain a. Le bonheur dans l’Antiquité Dès l’Antiquité, de nombreux philosophes traites du bonheur (Epicure, Aristote, les Stoïcien). On en arrive à une définition qui tourne plus

l’action morale avec la recherche du bonheur. Pour lui, le bonheur renvoie aux dimensions affectives et animales de l’être humain, donc elle est de l’ordre de la nature, et non de la raison. La question n’est pas de savoir si ce que les femmes voilées sont conformes ou non à ce que nous sommes, ou à ce que nous nous attendons d’elles, mais de savoir si leur décision du port du voile rend compte de la liberté de leur jugement. Kant défend une éthique individuelle, c’est-à-dire une étique qui se préoccupe

entière ? On peut ainsi s’interroger sur est-ce que l’Homme est-il porté au bien ? Cette question peut nous amener à nous enquérir sur est-ce que le bien recherché est-il personnel ou collectif ? En effet, le terme bien peut aussi être définit comme étant quelque chose de satisfaisant, de bon, nous menant au bonheur. Sommes nous alors réellement portés vers le bien d’autrui ou notre bien personnel ? N’il y aurait-il pas une part d’égoïsme dans notre quête ? De plus, on peut aussi interpréter bien

culturels. Les philosophes sont donc animés par leur considération pour le genre humain et par leur foi dans sa marche vers le progrès. Si l'on peut tout connaître, ne pourrait-on pas aussi transformer le monde selon sa volonté ? La recherche du bonheur individuel en rapport avec l'ordre social favorise le développement et le goût pour les écrits mythiques. Les esprits philosophiques s'engagent donc dans la voie de l'utopie et imaginent une société idéale, des villes parfaites, un homme nouveau. C’est