Le Bonheur Est Il La Fin De Toute Action Humaine

Dissertation de fin de sessionEst-ce que seule une vie réfléchie vaut la peine d’etre vécue Lecture Socrate : p.111 à 142Thèse : · Il est essentiel de se connaitre soi-même, connais-toi toi-même lien avec Plutarque (p.231) on voit la brindille… faut essayer de critiquer les autres et se critiquer soit même, si tu ne t’approprie pas c’est comme si tu étais une marionnette, questionner ses valeurs pour se les approprier il faut s’approprier ses idées c’est de s’approprier soi-même. · Évolution, reconnaissance

: le désir n'est pas le besoin. Ce qui caractérise le besoin est qu'il doit toujours être satisfait sous peine de mort. Si je ne satisfais pas un désir, je ne meurs pas pour autant. Le besoin est naturel (et aussi animal), le désir est culturel et humain. Par exemple, le désir sexuel est un besoin pour l'espèce (elle disparaît s'il n'est pas satisfait) mais un désir pour l'individu (on ne meurt pas de ne pas le satisfaire). Le désir est la recherche d'un objet que l'on imagine ou que l'on sait être

Lelièvre Pierrick 04/01/2010 2nde 4 Dissertation littéraire sur « Où est le bonheur dans Atala » François René Chateaubriand appartient au XVIIIè et au XIXè siècles, faisant ainsi le lien entre les Lumières de Voltaire pour lesquelles la raison est centrale et le romantisme de Hugo pour lequel l’Homme est avant tout un être sensible. Néanmoins Chateaubriand est surtout un auteur romantique

connaissances, enrichit et développe ses capacités d’intervention sur la vie. Non seulement sur la vie humaine, (le « bios » au sens d’Hannah Arendt dans la condition de l’Homme moderne ) mais aussi sur la vie en général ( le « zoé » ). Cette nouvelle capacité humaine ne se réduit pas à interagir seulement sur l’homme, il touche l’ensemble de la vie. Dorénavant, l’Homme est capable d’agir sur le génome humain, de prévoir les malformations ou anomalies chez un nourrisson avant même qu’il ne naisse, de créer

dans Protagoras, exprime la nature ambivalente de la technique : -l’homme peut survivre dans un milieu hostile grâce à sa seule capacité technique. La technique, dans ce sens, doit être comprise comme l’un des moyens fondamentaux du développement humain. L’homme grâce à ses outils, puis ses machines, peut augmenter sa puissance d’agir face à la nature. -la technique est cependant également source de « châtiment » : elle se retourne contre l’homme : elle produit des fins contraires à celles poursuivies

objectivité du besoin (ex : faim, mesurable en déficit de calories) alors que le désir n’est jamais objectif (envie de cuisses de grenouilles comme ma grand-mère sait les faire). Le besoin est étroitement basé sur le corps alors que le désir repose sur toute une élaboration psychique : partant, le besoin est limité (si j’outrepasse le point de satiété, je rentre dans l’inconfort de la nausée) alors que le désir, déconnecté du corps, est illimité.   La conséquence est qu’en principe, le besoin est facile

posséder cette voiture ou cette demeure ». C’est ici qu’apparaît le désir. Cette idée est en fait la recherche du plaisir mais cette recherche enveloppe aussi la douleur. Dans le texte de Schopenhauer, il est expliqué que la satisfaction ou le bonheur ne vient pas seul, qu’il n’y a satisfaction que parce qu’il y a désir en premier lieu. L’auteur explique que le malheur ou la souffrance existe elle aussi grâce au désir, par le manque. Tentons a présent d’expliquer le texte en détail. Dès les premières

particulièrement positive ; en effet, la satisfaction de ses plaisirs apparaît comme la clé de son propre bonheur. Les hédonistes font même du plaisir leur idéal. Cependant, le plaisir est définit négativement par les philosophes (sauf certains tels que les hédonistes), les moralistes, les religions. En effet, pour les premiers, le plaisir nuit à la réflexion ; certains ascétiques recherchent une vie dénouée de toute satisfaction, même les plus nécessaires. Les moralistes, quand à eux, refusent certains plaisirs

qu’il est vivant et en l’absence de vie, il n’y aurait plus rien à penser. Sans la vie, la distinction même entre être et non être, entre vivant et mort, devient inopérante. En bref, avant de s’atteler à toute réflexion sur la vie, il convient de prendre conscience que celle-ci conditionne toute compréhension d’elle-même. Mais que faut-il entendre exactement par vie ? I. Une ambiguïté fondamentale. Il n’y a peut-être pas dans les langues latines (vita, vida, vie), ni même anglo-saxonne

heureuse et prospère sur des terres modestes, Voltaire montre son personnage séduit par ce bohneur fondé sur le travail. Candide, au retour, développe « de profondes réflexions ». Le thème du travail de la terre réapparaît quand Candide tente de mettre fin au théories de Pangloss: « Je sais aussi qu'il faut cultiver notre jardin. » Cette formule vient clore un nouveau développement de Pangloss et sur elle se termine le conte. La leçon positive du récit est contenue dans ces quelques mots simples.