Le Bonheur Est Il Universel

nous faire subir a notre incus et qu'on nous fait prendrepour la liberte l'homme sans passe peut-il etre un homme libre. "dans la vie on fait pas ce que l'on veut mais on est responsible de ce qu l'on est?" Introduction: Etymologiquement le bonheur renvoie a l'idee de chance , de bon fortune,de hazard. Au contraire la philosophie va s'attacher a montrer que le bonneur est une conquete personnel, qu'il est interieure est donc nedepend pas des circonstgances exterieurs, et qu'on fin il resulte

DISCOURS SUR LE BONHEUR Madame du Châtelet Madame du Châtelet: Scientifique du XVIIIe. Célèbre pour ses livres sur le bonheur. Très liée à Voltaire (maîtresse), importante femme des Lumières, libertine. Reçoit une éducation particulière: son père lui apprend littérature/sciences => physicienne. Traduit Newton. Aime la vie à la cour. Introduction: Au XVIIIe, la philosophie va penser à un certain nb d'idées et va repenser à la philosophie humaine. La not° du bonheur est donc centrale. Mme

écarter les émotions puisqu’elles sont un mauvais guide pour la moralité. Par ailleurs, comme Kant veut que la morale soit applicable à tous, il faut fonder la morale sur des principes définis et universels. Pour ce faire, Kant dit d’agir de telle sorte que tu voudrais que « ta maxime devienne une loi universelle¹». En appliquant cette maxime à la situation actuelle, on ne peut vouloir que tous encouragent des principes auxquels ils ne croient pas, dans le seul but de faire de l’argent. Si tout le monde

peut unir la liberté sous la contrainte quand il y a une croyance en des principes universels. Si celui qui reçoit la contrainte croit qu’elle se fait au nom des principes universels, alors il peut acquérir la liberté, ou du moins croire acquérir la liberté. A l’époque de Durkheim, ce paradoxe de soumission et autonomisation simultanée, pouvais être assez bien résolu grâce à une croyance dans des principes universels ou en tout cas considérée comme telle : Dieu, la Science et la Raison. Au début

pour préserver notre propre vie – l'utilitarisme pose au premier plan la question du bonheur. Il s'agit, en effet, de construire une " arithmétique des plaisirs " qui permette d'accorder " le bonheur au plus grand nombre ". Est utile ce qui augmente le bonheur de la communauté, mais à condition de ne pas oublier que la communauté est un " corps fictif " et que le bonheur doit donc être compris comme celui des individus membres de la communauté. Au lieu

II) La morale 1. La liberté Contrairement à l’homme, l’animal n’est pas libre car il ne fait qu’obéir à ses instincts. Pour l’homme, la liberté s’acquiert par la maîtrise des désirs. Kant : « l’homme est libre quand sa volonté est universelle » Rousseau : « un peuple est libre quand il est l’auteur des loies sous lesquelles il vit » * Un peuple n’est donc pas libre lorsqu’il sombre dans une anarchie ou la seule loie est celle du plus fort 2. Le devoir Les stoïciens : « le

l’on se demande si la liberté de l’homme peut faire son malheur, nous pensons que cette question est contradictoire. Dans un premier temps la liberté de l’homme ne peut pas faire son malheur car quand on parle de liberté, on raccroche ce mot au bonheur parce qu’être libre c’est agir celon nos désirs. Mais une personne libre est une personne qui n’est influencé par personne et qui a des responsabilités qui conduisent à des choix difficiles. Ainsi l’homme libre est-il heureux ou la liberté peut-elle

empêchement. bonheur : Etat de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du coeur et de l'esprit. Le bonheur est traité dans la tradition philosophique comme un état accessible à l’homme le plus souvent par des exercices intellectuels contraignants et donc parfaitement conscients. Dans cette position on ne peut accéder au bonheur que si notre esprit se met en accord avec notre corps et lorsqu’on est plus soumis à son état sensible. L’idée d ’associer le concept du bonheur à un état d’inconscience

RESENTATION DE "IDEE D'UNE HISTOIRE UNIVERSELLE D'UN POINT DE VUE COSMOPOLITIQUE" DE KANT Cet opuscule marque la première intervention de Kant (1724-1804) dans les débats de ses contemporains sur l'histoire. Il défend la croyance au progrès de l'humanité contre les ennemis des Lumières, qui prônent le conservatisme en affirmant la supériorité des traditions sur la raison (Burke) et contre certains penseurs des Lumières, qui rejettent l'idée d'un progrès global et uniforme de l'humanité (Mendelssohn

(chapitre XIII du Livre III), Montaigne montre son adhésion pleine et entière à une morale de l'instant et du plaisir. Il défend en effet l'épicurisme qu'il présente comme une morale d'existence. I. Une réflexion sur la condition humaine et le bonheur. a) Le rapport au temps : pour comprendre la valeur de l’existence Montaigne procède d’abord par une analyse du langage. Il a remarqué que l’on dit usuellement (c’est une « phrase ordinaire ») « passer le temps » pour signifier que l’on dédaigne