Le Bonheur Selon épicure Et Platon

L’importance du bonheur La vie n’a de sens que si elle mène au bonheur, car à quoi bon vivre si c’est pour être éternellement malheureux? Ainsi, puisque le bonheur est la finalité de la vie humaine, « chaque homme tente de trouver le bonheur » . C’est pourquoi la quête du bonheur est primordiale. Mais qu’est-ce que ce fameux bonheur exactement? Et surtout, comment l’atteindre? Il s’agit des deux questions qui font l’objet des réflexions de Bertrand Vergely, dans sa Petite philosophie du bonheur. La réponse

DISSERTATION Philosophie /Éthique et Politique Sujet : «Est-ce que la manière de concevoir (d'user de) la volupté en Utopie permet, contrairement à notre société actuelle, d'en arriver au bonheur?» Thomas More est un avocat, historien, théologien et homme politique anglais né en 1478. Grand ami d'Érasme, philanthrope, il participe pleinement à l'humanisme chrétien, dont il était le plus illustre représentant anglais dans une époque charnière entre le Moyen âge et la Renaissance

il entreprend des études à Athènes et intègre l’Académie pendant 20 ans jusqu’à la mort de Platon. Son œuvre sera cependant différente de celle de Platon. Il quitte donc l’Académie et devient le précepteur d’Alexandre. Aristote fonde une école péripatéticienne, le Lycée, où l’on enseigne en marchant dans un jardin.   Différences avec Platon : -       Œuvre immense -       Composée de notes de cours, Platon était plus littéraire -       Plus pauvre au niveau de la langue -       Importance considérable

temps, consommée, Épicure (-341/-270) ne philosophe plus, comme Platon ou Aristote, pour le citoyen ayant part au pouvoir politique, mais pour l’individu réduit à lui-même, et qui, au-delà même du désespoir politique, se résigne à ne plus se soucier que d’être heureux. Mais être heureux est tout un art, et ce qu’Épicure entend apporter à l’homme, c’est la méthode du bonheur. La Lettre à Ménécée est, de ce point de vue, un traité de la méthode. A quoi tient l’absence de bonheur ? Qu’est-ce qui rompt

ce genre est le bonheur : même l'honneur, le plaisir ou l'intelligence sont des fins en vue du bonheur. Le bonheur est donc la fin suprême de toutes nos actions. « Le bonheur est quelque chose de parfait et qui se suffit à soi-même, et il est la fin de nos actions. » Éthique à Nicomaque, Aristote, IVe siècle avant J.C. De même, Pascal insiste sur le fait que la quête du bonheur est universelle. Même les hommes qui se pendent ou qui partent à la guerre le font en vue du bonheur. « Tous les

joui moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on est heureux qu'avant d'être heureux. 1) Désir et bonheur Le bonheur par la satisfaction des désirs La tragédie du désir Désir nécessaire et désir naturel. Le premier pour la survie le deuxième cause de souffrance. Epicure: le plaisir est le commencement et la fin de la vie humaine. Epicure distingue 2 types de plaisir: - plaisir en mouvement (lié a un manque, ne dure pas dans le temps). - plaisir

guerre, et l’amour, le travail étant réservé aux autres. L’éducation est fondamentale, et pour cela il faut des écoles des professeurs et des académies, qui soit dit en passant veut dire loin du peuple ! Tout cela pour vous expliquer que notre bon Épicure fils de professeur et d’une magicienne n’avait pas de soucis à se faire pour savoir comment il allait dormir ou manger, il fut probablement un enfant et un adolescent « normal », studieux cela est sur, puisqu’ à l’âge de 14 ans il interrogeait déjà

 PHILOSOPHIE La sagesse constitue t-elle à ne rien désirer ? La sagesse est un mode de vie qui consiste à ne pas tomber dans les excès et à juger de ce qui est bon ou mauvais pour moi selon sa raison. C'est également un état de connaissance intégrale de soi et du monde extérieur. Le désir quant à lui désigne la tentation vers un objet que j'imagine source de satisfaction, dont le seul but est d'atteindre la plénitude ou l'ataraxie (autrement dit l'absence de troubles). Mais la spécificité

cette chose. Selon Platon le désir est un manque inlassablement répété qui ne donne pas de sens à notre vie. Les désirs sont vains et parce qu’ils sont illimités ils ne mènent à rien. Ainsi on voit la différence entre le désir et le besoin qui pour ce dernier est nécessaire à la vie. Le désir illimité pose le problème de l’hubris. En solution à ce problème, les Cyniques avec Diogène proposent de supprimer les désirs poussant ainsi l’Homme à vivre tel un animal. Par opposition Epicure propose de maîtriser

s'il est logique mais aussi s'il est bon de le faire. Or on ne se demanderait pas s'il faut aspirer à combler l'intégralité de nos attentes s'il n'était en quelque façon dans la nature de nos désirs de nous faire désirer les satisfaire, ainsi que Platon l'a bien donné à imaginer sous la figure d'Éros dans le Banquet, tout en sachant que nous ne saurions céder à nos désirs sans discernement, ainsi que Socrate le donne à entendre dans le Gorgias à Calliclès, partisan inconditionnel d'une jouissance