Le Bossu

est d’entrée de jeu victime d’une violence traumatique à la fois physique et symbolique, violence qui s’illustre par le rejet du nouveau-né (« Elle retourna le bébé d’un geste brusque, et vit là, dans le dos, une courbure anormale. / -Un bossu ! cria-t-elle. Un bossu ! »). Et l’auteur de souligner que « si, par malheur, la femme le rencontrait, elle l’écartait d’un coup de pied, et l’envoyait rouler dans la boue. ». Difficile alors d’imaginer une existence plus désespérée que celle à laquelle notre

une heure, vous connaîtrez le danger qu'ils représentent pour nous et pour notre peuple." Frédéric était assis un peu penché en avant, sur le banc à côté de moi, son regard était suspendu à l'orateur, la bouche entrouverte. Il buvait chaque mot. Le bossu parut le sentir, on eût dit que son discours ne s'adressait qu'à Frédéric. Mais ses paroles s'imprimaient en nous tous, il s'entendait à faire vivre ce qu'il dépeignait. "... Armé d'un grand couteau long comme mon bras, le prêtre juif s'approche de

aussi appelé « le baiser de la fraternité ». C'est une peinture murale. L'auteur est un artiste russe : Dimitri Vrubel. Cette peinture a été crée en 1990 sur le mur de Berlin. La peinture est inspirée d'une photographie prise par le français Régis Bossu en 1979, lors de la célébration du 30ème anniversaire de la création de la RDA. Les dimensions sont : 365 x 480 cm. Cette peinture se trouve au East Side Gallery, Berlin-Est, Allemagne. Présentation L'artiste russe Dmitri Vrubel reproduit

Gringoire est furieux. Chapitre 5 Le plus grand désordre et l’euphorie règnent dans la salle du Palais. Gringoire devenait le seul spectateur de sa propre pièce. La foule, de son côté, s’amuse à élire le « pape des fous ». C’est Quasimodo, le mendiant bossu, sourd et sonneur de cloches qui remporte les suffrages Chapitre 6 Alors que la foule quitte la grande salle en hurlant, Gringoire reste, désabusé. Un jeune crie « Esmeralda », et tous se précipitent aux fenêtres. Livre 2 Chapitre 1 Le dramaturge erre

au « bon » travail. À la fin du poème, le poète utilise des antithèses pour montrer la destruction que peut être fait par ce travail au niveau d’un grand homme et même d’un dieu : « Et qui ferait…d’Apollon un bossu et de Voltaire un crétin ! » Ce travail transforme un dieu très beau en un bossu et fait d’un philosophe un idiot. Ils sont usés physiquement et complètement détruits. De plus, ces antithèses rendent ridicule l’idée du travail des enfants. Plus loin, Hugo implique que ce type de travail

tient sur un trépied tortueux. Le dernier panneau met en scène un personnage très animal, bossu maigre, dont le long cou finit sur une cavité buccale dentue et hurlante. Il paraît planté comme un clou par son unique jambe dans ce qui semble être une plateforme. La douleur visible de ces figures est rendue par la violence expressive passant par les cris d'horreur, les figures difformes et bossues, et l'équilibre dangereux dans lequel elles sont disposées. Néanmoins, aucune crucifixion n'est

seulement son but avec et dans la nature. Jean de Florette ne manque pas ce dont un paysan couronné de succès a besoin, soit de l'espoir, de la confiance et de l'enthousiasme pour l'agriculture. Mais ses conditions physiques ne sont pas optimales. Il est bossu et pas si fort qu'un homme en toute bonne santé. Il compense ce désavantage avec sa grande ardeur au travail. Il travaille infatigablement au champ, même pendant la chaleur la plus intense, jusqu'à la nuit. Il ne connait pas de doutes. Bien qu' Ugolin

C'est elle qui prenait la forme d'un buffle le soir, et pour les remercier, elle leur indiqua comment la tuer, mais à la condition qu'ils aillent chercher son double, une femme bossue et très laide, afin qu'elle se marie avec Nare Maghan Konaté. Quand ils amenèrent la femme en question, Sogolon Koudouma (Sogolan la bossue), beaucoup furent effrayés par sa grande laideur, mais des devins interrogèrent les ancêtres qui leur indiquèrent que cette femme enfanterait d'un garçon qui serait la personne

Explication linéaire de poème « Si un Homme Doit… » d'Eustache Deschamps. Ce texte est un poème de poète français Eustache Deschamps, qui est né vers 1340 et mort en 1440. Parmi ses œuvres Miroirs de mariage . Ce poème appartient au grand courant de 16ème siècle qui est l’humanisme. La poète à cette époque son objectif c’est d’analyser à la conscience de soi- même ,sa poésie a une relation étroite avec l’histoire, elle est de la moralisation. Donc le poème peut être divisé

plus ''intérieure'' peut elle aussi séduire le lecteur : la beauté morale, caractérisée par la grandeur de l'âme. Quasimodo, le personnage de Notre-Dame de Paris (1831), est abandonné à la naissance pour causes de déformations physiques car il est bossu et petit ; adulte, il devient sonneur de cloches à Notre-Dame, ce qui le rend sourd. De telle sorte, ce personnage n'a rien pour lui et est considéré comme un sorte de monstre au point de vue physique. Pourtant, il devient très vite une personne attachante