Le Bucheron Et Mercure

recueil de fables se prend et se laisse au gré de l’humeur. -Enfin, les fables sont de la « morale en action » : elles ne proposent pas d’idées abstraites, mais des situations concrètes que l’on garde en mémoire, qui marquent l’esprit (Le bucheron et le mercure, V, 1) -La fontaine souligne la ressemblance entre le théâtre et les fables : elles instruisent par la représentation imagée du monde. Il ajoute : « Le conte fait passer le précepte avec lui. » La fable parle à l’imagination avant de parler

siècle : • Joachim Du Bellay Heureux qui comme Ulysse p.3 • Pierre de Ronsard Mignonne, allons voir si la rose… p.4 ➢ XVIIe siècle : • Pierre Corneille Stances à Marquise p.6 • Jean de La Fontaine La mort et le bûcheron p.8 ➢ XVIIIe siècle : • Jean-Baptiste Rousseau La cantate de Circée p.9 • André Chénier La jeune Tarentine p.12 ➢ XIXe siècle : • Alphonse De Lamartine Le Lac p.14 • Victor Hugo Demain, dès

concentration très limitée des enfants. Elle forment un tout à elles seules et n’exigent pas une lecture soutenue et continue. Les fables de proposent pas d’idées abstraites mais des situations concrètes qui marquent l’esprit comme dans « Le Bûcheron et Mercure » V, 1. La Fontaine souligne la ressemblance entre théâtre et fable, avec les représentations imagées du monde. Le but de la fable est de parler à l’imagination avant de parler à l’esprit. -------------------------------------------------

« J'oppose quelquefois, par une double image, Le vice à la vertu, la sottise au bon sens, Les agneaux aux loups ravissants, La mouche à la fourmi ; faisant de cet ouvrage Une ample comédie à cent actes divers, Et dont la scène est l'univers » (« Le Bûcheron et Mercure », V, 1). La Fontaine souligne la ressemblance entre le théâtre et les fables : elles instruisent par la représentation imagée du monde. Il ajoute : « Le conte fait passer le précepte avec lui. » La fable parle à l'imagination avant de parler

importante et la pollution du milieu. En effet, on utilise des métaux lourds comme le cyanure ou le mercure pour l'extraction des minerais. Les pipelines entraient souvent des fuites de pétrole dans la flore amazonienne. Une entreprise qui gère une exploitation minière, rejette, chaque jour, 300 000 tonnes de déchets dans les rivières en toute impunité. Ces déchets sont constitués au trois quart de mercure, produit extrêmement polluant et toxique. Il est abondamment utilisé pour extraire l’or. À cause

11Nommée d'abord « Petite Académie » ; l'Académie Française elle-même a été fondée par Richelieu en 1634. 12Il a donné en 1674 une synthèse des principes de l'art classique dans son Art poétique.1693 Les Souhaits ridicules paraissent dans Le Mercure galant13. 1694 Grisélidis, Peau d'Âne et Les Souhaits ridicules paraissent en librairie. 1694 Boileau publie sa Satire X, Cntre les femmes ; Perrault lui répond par son Apologie des femmes. 1697 Publication des Histoires ou Contes du temps passé

distribution consiste à amener le produit de son état de production vers le consommateur final. Elle fait partie de l’offre, pas de la demande. * La distribution apporte de la valeur et de l’utilité au produit. VA= PROD- CI Exemple : 1. Un bucheron qui coupe les arbres : VA : il faut retirer le prix de sa scie 2. A la scierie : VA : découpe de planches 3. A l’usine : VA : montage de chaises 4. IKEA : VA : vente, mise en place La TVA : la Taxe sur la Valeur Ajouté est uniquement

cadenassée Permettait de laisser l’argent sur le comptoir. Un beau jour, dom Bertrand se mit dans la pensée D’en faire un sacrifice au liquide manoir. 9 Le petit chien qui secoue de l’argent et des pierreries, Contes et nouvelles, III. Le Bûcheron et Mercure, V, 1. 11 L’Avare qui a perdu son trésor, IV, 20. 10 Quant à moi, lorsque je compare Les plaisirs de ce Singe à ceux de cet Avare, Je ne sais bonnement auquel donner le prix. Dom Bertrand gagnerait près de certains esprits ; Les raisons

construire une œuvre monumentale à partir de pièces brèves et qu'on aurait pu croire futiles. Dans leur variété et leur apparente désinvolture, les Fables sont bien : « Une ample comédie aux cent actes divers Et dont la scène est l'Univers. » (Le Bûcheron et Mercure, V, 1.) L'œuvre, très élaborée, se développe suivant un ordre organique plus que selon un plan. Sa texture, très serrée, est à la fois mémoire et invention ; chaque fable contient d'autres fables et les renouvelle par un mécanisme souterrain

"les trois sœurs qui ont de noirs serpents…"  : Nouvelle allusion aux Furies (ou Érinyes). Page 333 "un grand arbre, blessé par la cognée"  : La cognée est une hache de bûcheron. Page 334 "l’instrument du trépas qui s’apprête"  : Le lacet auquel Myrrha est décidée à se pendre. Page 335 "de ses bras débiles"  : Affaiblis par l’âge, ayant perdu leur vigueur. Page 336 "la reine