Le But De La Comédie Est Il De Faire Rire Les Spectateurs

Fiche récapitulative sur le théâtre I Les grands genres dramatiques Comédie : Œuvre dramatique, soit en prose, soit en vers, dont l’action a pour objet de divertir, soit par la peinture des mœurs et des ridicules, soit par des situations plaisantes. Ex : « Dom Juan » de Molière, Marivaux, Beaumarchais Farce : C’est un genre dramatique qui a comme but de faire rire et qui a souvent des caractéristiques grossières, bouffonnées, et absurdes Ex : Tragédie : Pièce de théâtre qui offre une

Donc le but du classicisme est de plaire et d’instruire le public . « Donc le Classicisme doit claire, simple et précis. » B) Comédie et tragédie Dans ce mouvement on peut retrouver le théâtre avec la comédie et la tragédie. La comédie n’est pas soumise à des règles strictes, le dénouement doit être heureux, les personnages issus du milieu bourgeois et doivent parler un langage courant. La fonction de la comédie est de divertir, et de faire rire tout en

en quoi le théâtre constitue-t-il pour le spectateur une source de plaisir ou de divertissement ? Il faut alors essayer de démontrer que le théâtre peut constituer une véritable source de plaisir ou de divertissement, d'émotion ou de réflexion pour le spectateur. Le plan: I /Pourquoi aller au théâtre ? a) Les différents genres : comédie, tragédie… b) Les raisons : Le plaisir, se distraire, ressentir des émotions c) A chaque type de spectateur, ses préférences, raisons II/ Ce qui fait

trois sortes de spectateurs: la foule, les femmes, les penseurs. "Tous veulent un plaisir, mais celle-ci le plaisir des yeux, celles-là le plaisir du cur, les derniers le plaisir de l'esprit". Peut-on considérer Ruy Blas de Victor Hugo comme une pièce révolutionnaire ? (ceii du brouillon) AIDEZ MOIIII plz Pour répondre à cette question, nous analyserons dans un premier temps les différents genres théâtraux, ensuite nous verrons les préférences de chaque type de spectateur qui permettront

« Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligée d’en pleurer », lance Figaro à son maître le comte Almaviva, dans le Barbier de Séville de Beaumarchais. Il entend par là que le fait de traiter certains évènements de manière détachée, en plaisantant, permet de mieux les affronter. On remarque en effet que les auteurs des Lumières ont privilégié le ton comique et ironique, alors même qu’ils abordaient des sujets sérieux. Ainsi dans Candide, Voltaire engage une réflexion sur des problèmes graves

(193) et il expose par une tirade les nouveaux rapports et l'enjeu de la pièce de façon raisonnée, car la tirade est construite. Cet Arlequin n'est pas aliéné, il comprend très bien les nouvelles règles du jeu. - 2 attitudes opposées d'Arlequin (le rire et le sérieux) II - Les relations entre les personnages - Relations marquées par une grande tension entre les deux personnages (enchaînement des répliques, communication...). On passe de l'insulte (l.88 "esclave insolent") à la moquerie et l'insolence

dévot qui cherche à profiter des autres. Cette œuvre drole, a-t-elle pour seul but de faire rire ? La première partie montrera les ressorts comiques de cette pièce, alors que la seconde décrira d’autres lectures de « Tartuffe. » Molière, comme nous le savons, est très connu pour son humour et son sens de la comédie, il est donc plausible de penser que cette œuvre a l’unique but de faire rire. D’abord parce que la pièce rend les hommes ridicules puisqu’ils se laissent tromper

costumes, le maquillage, tout est faux. Les comédies-ballets notamment «Le bourgeois gentilhomme» de Molière est un genre ou le beau et l’apparence sont amplifiées jusqu’à excès, l’intrigue est mise au second plan pour laisser au spectateur la pleine vue du spectacle. Les ajouts scéniques auraient pour fonction de créer un monde de l’imaginaire et du rêve, pour éloigner le spectateur de ses problèmes, mais de faux décors ne suffisent pas au spectateur pour que sa pensée s’évade. 2)Les situations

COMEDIE ET TRAGEDIE Dans son ouvrage consacré à Beethoven, Eric-Emmanuel Schmitt a raison de rappeler la distinction qu’effectuait Aristote entre comédie et tragédie. La première sʼattache à mettre en lumière ce qui dans l’être humain est petit, mesquin, tordu ou pervers. La seconde exalte plutôt ce en quoi l’Homme est capable de se dépasser, ses vertus et leur possible épanouissement jusque dans lʼhéroïsme. Même si cette distinction un peu radicale a été contestée, rien nʼempêche dʼen tirer

Béjart. Après la faillite de la troupe, ils quittent Paris en 1646 et Molière écrit ses premières comédies (Le Docteur amoureux, Le Médecin volant) puis ses premières comédies en cinq actes et en vers (L'Étourdi, Le Dépit amoureux). Ils reviennent à Paris 1658, Molière obtient la protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente ses deux premières comédies et des tragédies de Pierre Corneille, de Rotrou et de Tristan l'Hermite[]. Sa carrière débute vraiment